Adénosine

(+Asp) NM excitateur dans TOUT le SN GABA NM inhibiteur dans TOUT le SN (cf. seulement 1 COOH de différence avec Glu !) Gly (+Tau) NM inhibiteur dans les structures inférieures du SN (tronc + moelle → 50/50 avec GABA) III. Purines (ATP, ADP, AMP, adénosine) Système périphérique, ganglions de la racine dorsale, hippocampe (ATP). IV. Neuropeptides • Opioïdes : endorphines (15-30 AAs) ; enképhalines (5 AAs) ; dynorphines (17) • Substance P (11 AAs ; douleur) • Hormones hypothalamohypophysaires : OCT

par kg de poids corporelle. Quelque soit la vitesse, un homme de 80kg qui court 10km dépense en moyenne 10Kcal. De nombreux facteurs influencent cette dépense énergétique : le vent, la pente... III. La production d’ATP Une molécule d’ATP (Adénosine Tri Phosphate) est composée d’adénosine combinée à 3 groupements phosphate (inorganique). La dernière liaison est la plus riche en énergie. Son hydrolyse par l’ATPase va libérer de l’énergie qui correspond à 7.6Kcal par mole d’ATP. L’ATP est ainsi

elle stimule la respiration cellulaire, phénomène qui se passe dans les mitochondries et qui, à partir d'une molécule de glucose complètement minéralisée en CO2 et H2O par les réactions du cycle de Krebs, permet la régénération de 38 ATP. L'ATP ou adénosine triphosphate est la seule forme d'énergie utilisable par la cellule. A l'image d'une batterie rechargeable, les ATP sont constamment utilisés (déchargés) pour le métabolisme cellulaire, et reconstitués (rechargés) dans les mitochondries à partir

réaction est la plus importante en terme quantitatif. Une deuxième réaction permet la resynthèse anaérobie alactique de l’ATP au niveau du muscle : 4 Bioénergétique de l’exercice physique L2 STAPS 2010-2011 Séverine F ADP + ADP  ATP + AMP (Adénosine Mono Phosphate) L’enzyme qui catalyse cette réaction est l’adénylate kinase (autrefois appelée myokinase). L’importance quantitative de la réaction catalysée par l’adénylate kinase reste à établir en ce qui concerne sa participation directe au métabolisme

micromètre soit 10E-9m Organites intracellulaires3 : éléments constituants l’intérieur d'une cellule vivante Glycoprotéines4 :Substance formée d'une protéine liée à un glucide. Enzymes5 : Protéine accélérant les réactions chimiques de l'organisme Adénosine tri-phosphate6 : c'est la molécule fournit par hydrolyse nécessaire aux réactions chimiques du métabolisme Chromoprotéine7 : Protéine associée à un tétrapyrrole centré sur un atome de fer ou de magnésium, telle que la chlorophylle, l'hémoglobine

fermentation alcoolique. Le dioxygène de l'air introduit avec les fèves est rapidement consommé: les levures provenant de l’environnement survivent et se développent par la « respiration » en voix aérobie, transformant du glucose en gaz carbonique et ATP (adénosine triphosphate constituant une source d’énergie) ceci à l’aide du dioxygène. Les conditions deviennent rapidement anaérobies: les levures dont le Saccharomyces spp passent à un «métabolisme fermentaire» et vont transformer les sucres de la pulpe en

est sécrété par les deux couches de la membrane. Cette sérosité permet aux organes de glisser les uns contre les autres. 
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 Physiologie Résumé Marieb UNIL/ISSEP 08/09 Sidonie Monnin 
 Chapitre 2 – La chimie prend vie ATP, adénosine triphosphate : énergie chimique stockée sous cette forme est la plus utile parce qu’elle alimente tous les processus fonctionnels. L’énergie qui résulte de la dégradation du glucose est emmagasinée par petits paquets dans les liaisons de l’ATP

du récepteur. Du coté intracellulaire, cela entraîne l’autophosphorylation du résidu tyrosyl de la protéine. Cette réaction consomme une molécule d’ATP22 afin d’échanger un groupement phosphate. L’ATP, ayant perdu un phosphate, devient de l’ADP (adénosine diphosphate). Ces récepteurs exercent ainsi leur activité tyrosine kinase sur des substrats protéines du cytoplasme23, qui 17 18 Prolifération incontrôlée des granulocytes (type de globule blanc). Région de l’ADN située à proximité d’un gène

conjointe de plusieurs puissants systèmes vasodilatateurs : monoxyde d’azote NO sécrété par les cellules endothéliales normales, vasodilatation bêta-2 adrénergique, prostaglandine vasodilatatrice (prostacycline) et vasodilatation d’origine métabolique (adénosine). C – Circulation coronaire athéromateuse L’existence d’une maladie coronaire athéromateuse modifie profondément la physiologie de la circulation coronaire : • Réduction globale des capacités vasodilatatrices essentiellement par altération des capacités

carboxylase (RuBPCase). Comme il n'y a pas de lumière a 2500m de fond, il y a fixation du CO2 avec une enzyme, mais pas de lumière. 3. Nature de la source d'énergie : présence d'activités enzymatiques caractéristiques de l'oxydation du soufre → adénosine-5'-phosphosulfate réductase (APS réductase). Les bactéries tirent donc leur énergie de l'oxydation du soufre, et non de la lumière (et de la photosynthèse). 4. Transferts bactéries-hôte : on cherche chez d'autres invertébrés (endofaune) des sédiments