Adidas Stella Mccartney

en temps réel, dans la vraie vie, grandeur nature, sous les yeux de l’internaute. Sony propose ainsi à ses clients une expérience de marque nouvelle et excitante. - tirage n° 36551 n° © Groupe Eyrolles À Londres, pendant le marathon, Adidas a semé tout au long du parcours des affiches géantes. Les coureurs qui le souhaitaient pouvaient équiper leurs chaussures de puces permettant à leurs amis, où qu’ils soient dans le monde, de les localiser à partir de leur téléphone mobile. Toujours

couleur sur l’immeuble pour qu’il prenne cette couleur en temps réel, dans la vraie vie, grandeur nature, sous les yeux de l’internaute. Sony propose ainsi à ses clients une expérience de marque nouvelle et excitante. À Londres, pendant le marathon, Adidas a semé tout au long du parcours des affiches géantes. Les coureurs qui le souhaitaient pouvaient équiper leurs chaussures de puces permettant à leurs amis, où qu’ils soient dans le monde, de les localiser à partir de leur téléphone mobile. Toujours

H&M, dans le but de concevoir une collection limitée, inspirée du style du créateur mais avec des matières moins raffinées et donc à prix très abordables. Depuis Karl Lagerfeld, d’autres stylistes ont continué dans cette voie, comme Stella McCartney avec H&M et Adidas ou encore Jean-Paul Gaultier avec La Redoute. Cette tendance a été qualifiée de « masstige », contraction de deux mots : "mass market" (marché de masse) et "prestige". La frontière entre marques de luxe et marques à la mode, dans l’esprit

mode et de l’art est accomplie. Mais il ne faut pas oublier la culture jeune : cette fois, elle n’est pas blanche mais noire (le break-dance et la beat-dance), les adeptes portent des marques comme Reebook, Nike et surtout Adidas. La jeunesse, conquise, s’efforce de faire mieux que l’original. En 1985, l’ambiance de fête cède le pas à la morosité. La fin du culte yuppie et de la culture du luxe est scellée avec l’effondrement de la bourse en 1987.

ont profondément muté, abandonnant peu à peu le royaume du superflu et de la démesure. Éternel symbole de rareté et de pérennité, il se démocratise et généralise une nouvelle tendance qui privilégie le luxe abordable par tous. Stella McCartney griffant des produits Adidas et H & M, tout comme Jimmy Choo qui a donné le ton cette année, en sont quelques exemples. C‟est ainsi qu‟en se démocratisant, le luxe opère des transformations et s'élargit à la notion d'art de vivre, plus flou, plus large, plus

achats de marques, y compris Bottega Veneta, Boucheron et Balenciaga, et c’est aussi un des rares groupes ayant racheté des marques existantes mais en ayant développé aussi les siennes dès le départ comme avec par exemple Alexander McQueen ou Stella McCartney. Pour PPR Gucci, les résultats du département luxe sont difficiles à obtenir. Le tableau 1.11 résume les données existantes. Tableau 1.11 – PPR département luxe : résultats (en millions d’euros) Chiffre d’affaires 2006 Gucci YSL mode YSL Beauté

achats de marques, y compris Bottega Veneta, Boucheron et Balenciaga, et c’est aussi un des rares groupes ayant racheté des marques existantes mais en ayant développé aussi les siennes dès le départ comme avec par exemple Alexander McQueen ou Stella McCartney. Pour PPR Gucci, les résultats du département luxe sont difficiles à obtenir. Le tableau 1.11 résume les données existantes. Tableau 1.11 – PPR département luxe : résultats (en millions d’euros) Chiffre d’affaires Résultat d’exploitation 2006

achats de marques, y compris Bottega Veneta, Boucheron et Balenciaga, et c’est aussi un des rares groupes ayant racheté des marques existantes mais en ayant développé aussi les siennes dès le départ comme avec par exemple Alexander McQueen ou Stella McCartney. Pour PPR Gucci, les résultats du département luxe sont difficiles à obtenir. Le tableau 1.11 résume les données existantes. Tableau 1.11 – PPR département luxe : résultats (en millions d’euros) Chiffre d’affaires 2006 Gucci YSL mode YSL Beauté