Adieu De Lamartine

la sqce : Lamartine, « L’Automne » ; Nerval, « Fantaisie » ; Aloysius Bertrand, « Ondine » et « La ronde sous la cloche ». - Alphonse de Lamartine, « L’Automne » in Méditations poétiques (1820). - Bilan de la question de synthèse : Dans ces 4 poèmes, le narrateur utilise la 1° personne du singulier (« je », « me », « mon »). (Peut-être le poète lui-même ?) Il est au centre de son texte. 1° approche du registre lyrique = parler de soi. f - Lecture du texte de Lamartine puis lecture

viendront le sauver. Guillaume Apollinaire a lui aussi rédigé des poèmes lyriques dont « Adieu » est le plus poignant de tous. Ce poème est destiné à Lou, son amoureuse, et a été rédigé alors qu’il combattait au front comme artilleur lors de la Première Guerre Mondiale. Lorsqu’il écrivait ses lettres dans les tranchées, il oubliait tous les moments difficiles auquel il était confronté en permanence. Et en lisant « Adieu » le lecteur a l’impression que c’est le dernier poème que l’auteur écrira à sa bien-aimée

Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu?... La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire; A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux; Moi, je meurs; et mon âme, au moment qu'elle expire, S'exhale comme un son triste et mélodieux. Alphonse de  Lamartine, Méditations Poétiques, 1820 Page d’écriture Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize... Répétez! dit le maître Deux et deux quatre quatre et quatre

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Alphonse de LAMARTINE (France) (1790-1869) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont commentées (surtout ‘’Méditations poétiques’’). Bonne lecture ! Il est né à Mâcon. Il vécut ses dix premières années en petit campagnard, dans le village de Milly, près de Mâcon, où son père, échappé aux cachots de la Terreur, exploitait le maigre domaine familial. Au charme de la nature s’ajoutait la douce influence de

des six poèmes suivants : « Westwego » de Philippe SOULAUT « Ma bohème » de Arthur RIMBAUD « 26mai 1954 » de Bernhard BERENSON « Signes pour voyageurs » de Jean FOLLAIN « Voyage solitaire » de Christian RULLIER « Les voiles » d'Alphonse de LAMARTINE Si j'ai choisi ces textes c'est parce que ils étaient en rapport avec mon sujet et que leur contenu me plaisait. Chacun de ces poèmes à une vision différente du voyage qui permet l 'exhaustivité de cette anthologie. Alors, cher ami lecteur

7 8 Remarques : Le « e » est toujours muet en fin de vers et à l’intérieur d’un vers s’il est suivi d’une voyelle. Il est prononcé s’il est suivi d’une consonne. Ex : « L’hom/ me/ n’a/ point/ de/ port,/ / le/ temps/ n’a/ point/ de/ rive/ » de Lamartine. La diérèse sépare les éléments d’un mot, ex : « inflexion » peut se prononcer de deux façons : In/ flex/ ion = 3 syllabes ou In/ flex/ i/ on = 4 syllabes. Exemple pris à Du Bellay, Les Regrets, « Heureux qui comme Ulysse… », v.9 et 10 : « Plus

vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire, Tout dise : «Ils ont aimé!» En tant qu'adepte des sports nautiques j'ai choisi ce poème d' Alphonse Lamartine pour rappeler ce que l'on ressent lorque l'on est sur l'eau. Ici tout est déjà dit, sur l'eau tout ce qui peut attirer notre attention se limite au bruit de l'eau et de la nature environnante. Lorsque l'on a ce genre d'occupation, il nous est possible

le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l’air marin la douleur angevine. Joachim Du Bellay XVIème siècle [pic] Adieu Oui, j’ai quitté ce port tranquille Ce port si longtemps appelé, Où loin des ennuis de la ville, Dans un loisir doux et facile, Sans bruit mes jours auraient coulé. J’ai quitté l’obscure vallée, Le toit champêtre d’un ami ; Loin des bocages

lientDéjouant la verdure et l’incessant complotQu’ourdissent dans son flux les algues alanguies. Claude Roy Claude Roy: Claude Orland est né à Paris le 29 août 1915 est et mort le 13 décembre 1997 est un poète,journaliste et écrivain français. Adieux à la mer Murmure autour de ma nacelle,Douce mer dont les flots chéris,Ainsi qu'une amante fidèle,Jettent une plainte éternelleSur ces poétiques débris.Que j'aime à flotter sur ton onde.A l'heure où du haut du rocherL'oranger, la vigne féconde,Versent

| | |Séance 2 (2h) |- Corpus de la sqce : |- Bilan de la question de synthèse : Dans ces 4 poèmes, le narrateur utilise la 1° |Pour la s. 3 / 4 : | | |Lamartine, « L’Automne » ; |personne du singulier (« je », « me », « mon »). (Peut-être le poète lui-même ?) Il |Rédiger l’introduction, | |[pic] Découvrir la |Nerval, « Fantaisie » ; |est au centre de son texte.