Adieu Tristesse

À Thébes 28 Mars Cher Hémon, Je t'écris cette lettre pour te dire adieu, pour t'expliquer mon acte rebelle, et que tu me comprenes. La raison pour laquelle je veux mourir c'est pour mon frère. Mais Créon avait raison. Quand mon oncle m'a raconté la vraie histoire de Polynice, de commnet il traité mon père je ne le croyais pas, et j'étais dessue. Mais de toute façon il est mon frère, et les frères sont irremplacables, je peut pas creer un autre et n'importe pas ses accions mauvaises ou pas il

m’a trompé Adieu, plaisant soleil ! Mon œil est étoupé, Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble. Quel ami, me voyant en ce point dépouillé, Ne remporte au logis un œil triste et mouillé, Me consolant au lit et me baisant la face, En essuyant mes yeux par la mort endormis ? Adieu, chers compagnons ! Adieu, mes chers amis ! Je m’en vais le premier vous préparer la place. Pierre de Ronsard, Derniers vers (posthume, 1586) Pierre de Ronsard exprime ses sentiments de tristesse et de joie,

jour. De plus en plus de gens nous aident pour vaincre l’ennemi ! Je voulais et je le veux encore, que vous soyez heureux, que vous grandissiez dans un pays libéré ! Je vous demande d’aider votre mère, elle en aura besoin. Ne lui montrez pas votre tristesse, cela ne fera que rendre les choses bien plus difficiles qu’elle ne le sont déjà. En ce moment même, je suis assis dans ma cellule, comptant chaque heure qui s’écoule, attendant que l’on vienne me sortir de mon sombre cachot, pour m’abattre avec

«L’automne», a su illustrer le thème de la tristesse à-travers son œuvre par plusieurs descriptions et procédés stylistiques. D’abord, Lamartine est dans le deuil de la nature lorsque l’automne démontre ses premiers signes. Ensuite, il perd tout espoir en la vie puisque la nature est en train de mourir. Premièrement, les ravages causés par l’automne sur la nature plonge Lamartine dans un profond deuil puisque de voir disparaître la vie et la lumière le rempli de tristesse. D’une part, l’automne amène une

Adieu. Adieu ! Je crois qu'en cette vie
 Je ne te reverrai jamais.
 Dieu passe, il t'appelle et m'oublie ; 
 En te perdant je sens que je t'aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine.
 Je sais respecter l'avenir.
 Vienne la voile qui t'emmène, 
 En souriant je la verrai partir. Tu t'en vas pleine d'espérance, 
 Avec orgueil tu reviendras ; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, 
 Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! Tu vas faire un beau rêve
 Et t'enivrer d'un plaisir dangereux ; 
 Sur

Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s’ouvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle Reviendra près de toi comme une soeur fidèle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gémit : Rappelle-toi. Alfred de Musset Tristesse Au docteur Veyne. Si je pouvais trouver un éternel sourire, Voile innocent d’un coeur qui s’ouvre et se déchire, Je l’étendrais toujours sur mes pleurs mal cachés Et qui tombent souvent par leur poids épanchés. Renfermée à jamais dans mon âme abattue

caméra avec un sourir plien de tristesse. Moi : Adieu. Je me lève lentement et me dirige vers un comptoir où il y a un couteau. Je le prend et je m'assis dans un coin. Moi : Bon tu y es, tu y es, va si ! (Je baisse la tête et pleur) pourquoi c'est si dur de le faire et de quitter ce foutu monde. (Je me redresse un peu et respire en pensant très fort) Bon, c'est simple dis-toi que c'est un rêve, mais que ce sera éternel. Aucun mal, aucune guerre, aucune tristesse, aucun désastre...seulement

dans une tragédie: il suffit que l'action soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Jean Racine, préface de Bérénice En vous référant à Bérénice expliquez ce qu'il faut entendre pas « tristesse majestueuse ». La tragédie est un style littéraire où se passer beaucoup d'actions funestes, qui montent d'intensité croissante pour arriver au point le plus culminant :

POEME 2 12 La tristesse L'âme triste est pareille Au doux ciel de la nuit, Quand l'astre qui sommeille De la voûte vermeille A fait tomber le bruit ; Plus pure et plus sonore, On y voit sur ses pas Mille étoiles éclore, Qu'à l'éclatante aurore On n'y soupçonnait pas ! Des îles de lumière Plus brillante qu'ici, Et des mondes derrière, Et des flots de poussière Qui sont mondes aussi ! On entend dans l'espace Les choeurs mystérieux Ou du ciel qui rend grâce, Ou

séparation entre les deux amours. En lisant le mot cruel, on éprouve aussi la tristesse au fond du cœur de Bérénice. Dans les vers suivants, on peut trouver que Bérénice ne lutta plus. Mais elle ne soumit pas. Elle mit titus face à sa trahison et sa ingratitude. Elle est déchirée, parce que c’est la même bouche faisant la promesse et le mensonge. Puis ,on trouve la mot adieu .c’est tel sorte de désespoir et de tristesse qui la conduit à dire le discours d’adieu. Il est évident qu’elle pensa que