Adolphe Crémieux

des journalistes). Les députés en sont absents. Le 27 est le « déclenchement » ou début des manifestations. C'est à partir du 27 que l'on parle des « Trois Glorieuses » : plusieurs journaux paraissent malgré l'interdiction. Le National fondé par Adolphe Thiers en 1830 va participer à ces manifestations. Des barricades sont mises en place et des manifestations dégénèrent. Le 28 est la journée de « l’insurrection » avec la multiplication des barricades et les troupes envoyées contre les insurgées

gouvernement propose la suppression de la loi électorale du 31 mai 1850. Il s'agit d'une loi réactionnaire car elle prive du droit de vote trois millions d'électeurs en posant des cas de déchéance électorale. Au moment de l'élaboration de cette loi par Adolphe Thiers, ce dernier a pour objectif d'écarter la gauche. Lorsque Bonaparte propose la suppression de cette loi et le rétablissement du suffrage universel entier, il apparaît comme plus démocrate que l'assemblée qui refuse de voter son abrogation le

que la décision ne pourra être prise que par la future instance législative9. Les pétitions en faveur rétablissement du divorce ne rencontrent pas plus de succès que leurs devancières des années 1830 : la proposition du Ministre de la Justice Adolphe Crémieux à la Chambre en mai 1848 est accueillie sous les quolibets10. On s’inquiète notamment de la menace que la parole libérée des femmes ferait peser sur la famille. Le Club des femmes, ouvert en avril 1848, est un lieu de débat qui provoque de virulentes

Lyautey plus conciliant au Maroc, Doumer en Indochine.· Les premières colonies = Martinique, Guadeloupe, Réunion, Guyane, comptoirs en Inde bénéficient de plus de droits mais réservés à l’Elite blanche.· Algérie = exception En octobre 1870, Adolphe Crémieux réforme l’Algérie et donne la citoyenneté aux Juifs. Mais les musulmans d’après le sénatus consulte du 14 juillet 1865 sont régis différemment : « l’indigène musulman est français ; néanmoins il continuera à être régi par la loi musulmane ».

personnalités civiles. Les onze membres du gouvernement provisoire reflètent cette hétérogénéité : du côté du National d’Armand Marrast (lui-même membre du gouvernement), les anciens députés Lamartine, Ledru-Rollin, Dupont de l’Eure, François Arago, Adolphe Crémieux, Marie, Garnier-Pagès.  du côté de la Réforme de Ferdinand Flocon (également membre du gouvernement), le théoricien socialiste Louis Blanc et l’« ouvrier » Albert. En dépit des espoirs du peuple insurgé, cette faible représentation socialiste

République | |1.2.1 Adolphe Thiers, administrateur nécessaire de l'infortune nationale | |1.2.1.1 Les réformes de Monsieur Thiers | |1.2.1.2 Adolphe Thiers premier président de la République

décrets, sinon la France en comptera plus de 17 millions « de prolétaires ». Les pétitions en faveur rétablissement du divorce ne rencontrent pas plus de succès que leurs devancières des années 1830 : la proposition du Ministre de la Justice Adolphe Crémieux à la Chambre en mai 1848 est accueillie sous les quolibets. On s’inquiète notamment de la menace que la parole libérée des femmes ferait peser sur la famille. Le Club des femmes, ouvert en avril 1848, est un lieu de débat qui provoque de virulentes

ans : ils sont 10 millions de votants pour 30 millions d’habitants Consensus solide car le Gvt provisoire mis en mars est soucieux de l’équilibre des républicains Constitution du Gvt : 5 personnes appartiennent aux classes moyennes : 3 avocats (Crémieux, Ledru-Rollin et Marie), 1 courtier de commerce (Garnier-Pagès) et 1 scientifique : F. Argot Le poète Lamartine 2 représentants de la classe ouvrière : L. Blanc et Albert 2 journalistes : Flocon et Marasme 1 député : Dupont de l’Eure Gvt équilibré

fixée d’avance, nous déchaînerons la révolution qui, ruinant toutes les classes de la Chrétienté, nous asservira définitivement les Chrétiens. Ainsi s’accomplira la promesse de Dieu faite à son peuple. [10] » Baruch Lévy, Juif Ami de Adolphe Crémieux et de Rothschild, Baruch Lévy a écrit la lettre suivante à Karl Marx. Cette lettre méconnue fut pourtant reproduite dans de nombreux livres et journaux, dont la « Revue de Paris » du 1er juin 1928, page 574 : « Dans la nouvelle organisation de

société secrète de la Charbonnerie : on a en 1848 l'idée qu'il est un homme de progrès, et il est bien vu de la classe ouvrière. Il dispose en outre du soutien du parti de l'Ordre, composé de personnages ayant eu une carrière sous la monarchie, dont Adolphe Thiers. D'autre part, son nom lui assure une certaine renommée qui fait défaut à ses concurrents. Bonaparte reçoit 5 500 000 voix, contre 1 500 000 pour Cavaignac, 400 000 pour Ledru-Rollin, 40 000 pour Raspail et 20 000 pour Lamartine : Louis-Napoléon