Adolphe Thiers Et Le Suffrage Universel

parle du pouvoir fédératif. C'est le pouvoir de maintenir la cohésion du territoire, qui est aussi une fonction diplomatique (pouvoir international). Maurice Hauriou nous dit au contraire que le troisième critère est la fonction élective (pouvoir de suffrage). Lorsqu'il y a conflit entre législatif et exécutif, le peuple joue le rôle de trancher les litige entre les deux pouvoirs. → Le point commun = dans les régimes pluralistes, il faut qu'il y ait une séparation du pouvoir. La fonction de juger

politique, ce qui revient un peu au même. À cet égard, il faut réhabiliter le Consulat et l'Empire de Thiers. On a pris l'habitude de railler cet ouvrage. La mode en est passée. Mais ce qui est aussi passé de mode, c'est d'exposer les motifs et les intentions des hommes qui conduisent les grandes affaires et c'est pourtant ce qui importe le plus à la clarté des événements. On peut dire que Thiers y excelle. Avec un esprit plus philosophique, dans l'Europe et la Révolution française, Albert Sorel l'a

tous les travailleurs, la grève générale ? L'idée était ancienne, mais elle prend forme à la fin des années 1880. Joseph Tortelier, un anarchiste, est l'un des premiers à en parler  (« Ce n'est que par la grève universelle que l'ouvrier créera une société nouvelle, dans laquelle on ne trouvera plus de tyrans »).  Après lui, Aristide Briand et son ami Fernand Pelloutier, tous deux collaborateurs à  La Démocratie de l'Ouest , rédigent

politique, ce qui revient un peu au même. À cet égard, il faut réhabiliter le Consulat et l'Empire de Thiers. On a pris l'habitude de railler cet ouvrage. La mode en est passée. Mais ce qui est aussi passé de mode, c'est d'exposer les motifs et les intentions des hommes qui conduisent les grandes affaires et c'est pourtant ce qui importe le plus à la clarté des événements. On peut dire que Thiers y excelle. Avec un esprit plus philosophique, dans l'Europe et la Révolution française, Albert Sorel l'a

quelque chose de choisit. Renan nous dit que : « La langue et la religion nous donnent un sentiment de similitude. » Ce sont donc des points communs qui nous rassemblent. Mais hormis ces points communs, qu'est-ce qui est bien ? Est-ce les valeurs universelles ? Au-delà des religions, dans le respect des interdits et dans l'acceptation des différences, dès lors que l'on partage des idéaux communs, pourquoi n'existe-t-il pas de nation multiculturelles ? En Chine, il existe plus de 50 nationalités, il

nationale, est-ce que tout État constitue une communauté nationale ? Principe de l'État-Nation en France. Principe des nationalités : toute Nation a vocation à devenir un État. Volonté de faire coexister nation à l'État c'est quelque chose qui n'est pas universel, qui a marqué le 19ème siècle avec par exemple l'unité italienne : Garibaldi... Pour rassembler dans un seul État tous les italiens. On le retrouve plus tard au 20ème siècle : après la 2nde GM : la Charte des Nations Unies : article 1/ONU §2 « le

conservatrice de l'Assemblée législative dont il désapprouve la politique réactionnaire. En janvier 1850, Victor Hugo combat la loi Falloux réorganisant l'enseignement en faveur de l'Église catholique romaine ; en mai, il combat la loi qui restreint le suffrage universel et, en juillet, il intervient contre la loi Rouher qui limite la liberté de la presse119. En juillet 1851, il prend position contre la loi qui propose la révision de la Constitution afin de permettre la réélection de Louis-Napoléon Bonaparte

avec le client" (p398) ( c'est le courant de la "Scientific Charity" anglaise et des "Case Work" américain (appliqué pour ces derniers ds les années 20) ( "prégnance du model clinique". Cette peur de la charité aveugle se retrouve aussi bien chez Thiers que chez Tocqueville (critique très virulente de ce que l'on appellerai aujourd'hui l'Etat providence ou social pour Castel ; et du socialisme p399-400). C'est en réalité la peur de voir se lever un Etat-Léviathan. 2. Institution d'épargne et mutuelle

principes communs et des valeurs communes. La Nation est fondé sur la libre adhésion, c’est une conception politique, une conception artificiel, car elle est fondée sur des valeurs. C’est une nation ouverte à tout le monde, elle a une vocation universelle, on ne naît pas membre de cette nation, on le devient. Ernest RENAN, est un auteur nationaliste, il déclare « la nation est un plébiscite de tous les jours » c‘est à dire que la volonté de faire partit de la nation, est une demande en permanence

les personnes qui incarnent ces valeurs bénéficient d’une autorité incontestable. Lorsque dominent les valeurs guerrières, ce sont les militaires qui bénéficieront de cette autorité. Le suffrage universel reste la pierre angulaire du système démocratique. Il a ici 2 fonctions majeures : Le suffrage universelle à pour but d’investir les représentants élus de la compétence juridique de dire le droit ou de produire le droit, ces représentants ont aussi l’autorité qui s’attache à la qualité de mandataires