Adolphe Thiers Les Libertés Nécessaires

la difficile entrée dans L'âge démocratique la deuxième république et le Second Empire de 1848 à 1870 Le 24 février 1848 Louis-Philippe adict après une révolution qui parlait la Monarchie de Juillet qui s'appuyer sur le suffrage censitaire et des libertés individuelles Des le lendemain, la Seconde République est proclamée en France et avec elle le suffrage universelPourtant cette République ne survivra pas à son premier président qui est habillé en 1852 Le Second Empire s'appuyant lui aussi sur le

constitutionnelle qui renforce le Parlement ou la justice, c’est le respect des institutions. Le meilleur texte ne résiste pas à la pire des pratiques. >> (francois hollande) Intro « La république est le gouvernement qui nous divise le moins » Adolphe Thiers (homme politique du XIXeme siecle) I. la France, un état unitaire A. une république déconcentrée La déconcentration est un système dans lequel le pouvoir central reconnaît à certains agents implantés dans une circonscription territoriale

naissance d’un régime représentatif dans lequel les représentants que l’on appelle parlementaires exercent la souveraineté par délégation de la nation. Comme le représentant a été élu pour représenter la nation et non le peuple il doit disposer d’une liberté suffisante pour interpréter la volonté de la nation ce qui implique un mandat représentatif. Cela veut dire que le représentant n’a aucun compte à rendre à ses électeurs. Il ne reçoit ni ordres ni instruction. Il prend ses décisions en toute indépendance

par Léon Bonnat, Château de Versailles, 1879Les exposésMercredi 8 mars-la Révolution des 3 Glorieuses (1830) : Héloïse + Mani Mercredi 15 mars-François Guizot : non pourvu-les femmes dans la Révolution de février 1848 : non pourvuLundi 20 mars -Adolphe Thiers : Claire + NinaMercredi 23 mars-les femmes dans la Commune de Paris : Alexia + Ilona I. Le temps des monarchies et des révolutions (1815-1851)1. La Restauration et les Trois Glorieuses de 1830 (1815-1830)2. La monarchie de Juillet (1830-1848)3

sont des libéraux. On les appelle légalistes car ils veulent se battre que sur le terrain de la légalité, en respectant la loi. Et libéraux car ils veulent faire évoluer le pays vers plus de liberté. Il y a une autre séparation : Les modérés (Fabre, Picard), ils réclament les libertés « nécessaires » (les libertés des droits de l’homme et des citoyens). Ils souhaitent faire évoluer le pays vers un régime parlementaire, sans révolution. Les radicaux (ou intransigeant) ce sont des républicains qui ne

républicains A/ L’évolution de l’idéologie républicaine 1/ Durant la Restauration : Un héritage qui fait peur Au lendemain de la Restauration, peu de libéraux n’osent évoquer la république, la majorité préférant s’attacher à la défense des libertés. La mémoire commune continuait d’associer l’idée républicaine aux exactions de la Terreur (« La République, une guillotine dans un crépuscule, l’Empire, un sabre dans la nuit. »). La tradition républicaine survit de façon diffuse. A la chambre, les

introuvable » 5 septembre 1816 : Decazes convaincs le roi de dissoudre la « chambre introuvable » 14 février 1820 : assassinat du duc de Berry 20 février 1820 : Decazes est remplacé au gouvernement par le duc de Richelieu 26 mars 1820 : libertés individuelles suspendues 30 mars 1820 : censure de la presse 12 juin 1820 : loi du double vote 1824 : « chambre retrouvé » 16 septembre 1824 : mort de louis XVIII 29 mai 1825 : sacre de Charles X 27, 28, 29 juillet 1830 : les 3

esquisses, rejets, conflits, etc. Il faut absolument en lire attentivement le préambule. Elle expose les principes de philosophie politique de l’idéologie nouvelle et les droits naturels qui ont été « oubliés, méprisés ou ignorés[10] » : liberté, propriété, sûreté et résistance à l’oppression. Le droit de propriété est proclamé de manière particulièrement solennelle sans exclure l’expropriation (a. 17). Le texte a une portée universelle, il est bref (17 articles) et « d’une densité de pensée

majorité monarchiste à la tête de la république . Dès lors, on peut entamer les négociations de paix avec la Prusse. 2. Thiers, premier président de la IIIe République L’homme fort de cette assemblée tout juste élue est Adolphe Thiers, libéral et favorable à une monarchie constitutionnelle , il est nommé chef du pouvoir exécutif c'est-à-dire que, dans ce contexte

détenir toute personne jugée dangereuse sur simple décision administrative. Elle fut employée principalement contre les opposants républicains. Les manières d’encadrer les élections et de museler l’opposition peuvent également être autres. La liberté de la presse est entravée par des mesures préventives (autorisations préalables et auto-censure par le système de l’avertissement adressé par le préfet, deux avertissements entraînant une suspension du journal). À la fin des années 1850, les oppositions