Adolphe Thiers

po, ex monarchiste, orléaniste, contre l'Empire: Adolphe Thiers, chef du pouvoir de la RF. Il négocie le traité avec la Prusse. Ca déclenche la Commune de Paris qui refuse la paix, mvt insurectionnel très à G. Thiers envoie l'armée. On ne connait pas les 1000ers de morts. Cf - mur des fédérés au Père Lachaise. Cette répression sanguinaire enracine la REP. Les 2/3 des monarchistes ne sont pas monarchistes mais voulaient la paix et l'ordre. Avec Thiers, on voit que la REP peut être un REG d'ordre. La

recueillent les 2/3 des suffrages ). L’opposition passe alors de 665000 à 1,9 millions de voix. Les républicains ne forment pas un groupe homogène sous le second Empire. Il y a ceux qu’on qualifie « d’ouverts » comme Favre et Picard qui se rapprochent de Thiers et de ses partisans et ceux plus radicaux comme Léon Gambetta. Ce dernier diffuses ses idées à travers le programme qu’il élabore en mai 1879 ( « programme de Belleville ). Il y milite pour plus de réformes sociales et pour une séparation des Eglises

républicain est nommé : Adolphe Tiers. Il gouverne sous l'autorité de l'Assemblée Constituante. Adolph Tiers jouit d'un grand prestige politique et est un très bon orateur dont l'Assemblée se méfie. Mars / Mai 1871 : Communes.Mouvements d'insurrection des Républicains qui ne reconnaissent pas la légitimité de l'Assemblée à majorité Monarchique et tentent un Coup d’État réprimé dans le sang. II : Les Trois Lois Constitutionnelles Provisoires. → Diminuent l'influence de Thiers sur l'Assemblée

place. Celui-ci est dirigé par Adolphe Tiers et, comme Paris est inaccessible, le gouvernement est installé à Versailles. Il signa le Traité de Francfort qui stoppa la guerre franco-prussienne de 1870 à 1871 et qui aboutit à la perte de l’Alsace et de la Lorraine. Adolphe Tiers se méfie de la population de Paris, il veut posséder la capitale et supprimer tout moyen de défense des Parisiens, c’est-à-dire retirer les canons de Montmartre. Lorsque les troupes de Thiers atteignent Montmartre afin de

Les monarchistes l'emportent. Le 10 mai 1871, signature du traité de Francfort par le nouveau président de la République : Adolphe Thiers. La France doit céder l'Alsace et la Lorraine ainsi que 5 milliards de Francs. B) L'insurrection de la Commune à Paris. Les Parisiens refusent la défaite et reprochent à Thiers d'avoir signé l'armistice. Donc, le 18 mars 1871, Thiers méfiant, fait retirer les canons de Montmartre. Révolte directe des parisiens. Ils forment ce qu'on appelle la Commune et le

forcé de composer avec certains acquis Républicains qui ont convaincu les Français. Le changement dans l’opinion progressif conduit même a la libéralisation du régime. De plus en plus de libéraux et de républicains sont élus à la chambre, dont Adolphe Thiers, qui défendra a la tribune le libéralisme. Avec la loi Emile Ollivier en 1864, autorisant les syndicats, et les droits d’adresses et d’interpellation accordés aux députés dans la deuxième moitié des années 1860, l’empire continue de se libéraliser

revue militaire en présence de Louis-Philippe. Mais, alors que celui-ci venait d'être visé par un nouvel attentat le 25 juin, le président du Conseil, Adolphe Thiers, convainc le roi de s'abstenir. La revue militaire est décommandée et remplacée par un grand banquet offert par le roi à 300 invités, tandis que le monument est inauguré en catimini par Thiers, à sept heures du matin. En 1842, Honoré de Balzac en a fait un symbole de la fidélité des soldats à l'Empereur : « mais tous les cœurs, même les

ainsi que la petite bourgeoisie prennent le contrôle de la ville lorsque Thiers veut récupérer les canons de la garde nationale, sur la colline de Montmartre. Etablissant une commune socialiste et prônant des valeurs égalitaires, les communards sont alors écrasés par l’armée puis fusillés ou déportés lors de la semaine du 21 au 28 mai. C’est la semaine sanglante, faisant 30 000 morts chez les communards. 1873 : -24 mai  Thiers est remplacé par Mac-Mahon, royaliste convaincu, après avoir été blâmé

Huyot et sous la direction de Héricart de Thury. En 1830, Louis-Philippe reprit la pensée initiale de Napoléon mais, afin de réconcilier les pays concernés, il décide d’associer les armées qui ont combattu entre 1792-1815. C’est Louis-Philippe et Adolphe Thiers qui ont décidé du choix des thèmes et des sculpteurs : Le départ des Volontaires, appelé aujourd’hui La Marseillaise, de François Rude et Le Triomphe de Napoléon de Jean-Pierre Cortot. De plus, au sommet de l’arc se trouve une frise spectaculaire

détaillé : Chronologie de la Commune de Paris (1871). Thiers avait commandé la construction des fortifications qui entouraient Paris, alors qu'il était ministre de Louis-Philippe. Il avait conçu cette enceinte pour défendre la ville contre des ennemis, mais avait aussi déjà calculé à l'époque que, pour mettre un terme aux insurrections populaires, il suffisait d'enfermer les insurgés dans la ville, puis de les réprimer. En février 1848, Thiers avait vainement proposé ce plan au roi Louis-Philippe