Adoptianisme

I) Un bouleversement de la hiérarchie des charges. A) La faiblesse de la papauté B) La vacance de la dignité impériale en orient. II) La royauté franque (carolingienne), rempart de la chrétienté. A) La dignité royale octroyée par le christ surpassant les deux autres. B) La mission divine de Charlemagne.  À travers cette lettre datant de juin799, alcuin va diffuser son idéologie. Ce dernier est un moine (clerc) anglo-saxon . Conseiller de charlemagne .  expose donc, ici, la conception

est considéré comme une langue morte mais la remette au gout du jour dans l’Eglise et l’administration * Dev de langue vernaculaire comme le Fr et l’All III. Alcuin et la religion F. Le combat contre l’adoptianisme * Adoptianisme : doctrine hérétique qui affirme que le Christ n’est pas le fils du père considéré comme le principal menace * Virginité de la Vierge Marie discuté Christ, le fils adoptif du père * Alcuin met en place des correspondances ou il def

cette séparation, Irénée de Lyon (120-140) affirme que Dieu veut partager sa vie avec l'homme et que donc la nature de l'homme n'est pas opposée mais volontairement adaptée à celle de Dieu et que tout cela est récapitulé en Jésus, Dieu et homme. Adoptianisme [modifier] L'adoptianisme : Dieu adopte l'homme Jésus comme Fils, seulement lors de son baptême. Cette christologie s'appuie sur une version de Luc 3, 22, présente dans certains manuscrits, qui cite le psaume 2, 7 : « Tu es mon Fils, moi aujourd'hui

priorité dans ce combat c’est de combattre les hérétiques en priorité et non les païen, les musulmans, etc… En matière de dogme, comme Constantin, Charlemagne tranche et décide de ce qui est la vérité ou pas. Il condamne par exemple la discipline adoptianisme, que Jésus Christ serait le fils de Dieu par adoption ou encore il rend licite le culte des images saintes. L’empereur ne consulte pas le pape, il ne consulte pas non plus l’empire d’Orient alors même que ces questions concernent aussi ce dernier

l'éthique. La société coloniale est mûre pour une nouvelle forme de « déisme chrétien ». •  Le rationalisme unitarien Le dogme trinitarien (conciles de Nicée, 325, et de Chalcédoine, 451) entendait réduire les multiples hérésies (sabellianisme, adoptianisme, arianisme, etc.) qui affirmaient à des titres divers la nature humaine du Christ, agent privilégié d'un Dieu indivisible et Personne une. L' unitarisme moderne invoque les doctrines de Michel Servet et surtout des Socinus (xvie s.), pour qui l'Écriture