Adoubement

noblesse s’attribue directement « les secrets » de Dieu et le mystère eucharistique30. Passons maintenant au rôle de la chevalerie à cette époque. Comment était organisée cette société féodale ? La chevalerie connaissait le rite de l’adoubement. Cet adoubement avait un caractère d’initiation d’abord laïque puis religieuse. C’est toujours un chevalier plus ancien qui adoubera un nouveau chevalier. Ces deux chevaliers formeront un compagnonnage. Le concept de la naissance et du sang noble, du lignage ne

chevaucher plus de 7 jours consécutifs Estage : La garde du château, garde du seigneur. * Financière (Illimitée) Si le seigneur a besoin d’argent, il peut se tourner vers son vassal. * Paiement de l’équipement du fils aîné lors de son adoubement en tant que chevalier * Paiement de la dot de la fille aînée * Paiement de la rançon du seigneur * Paiement des frais de croisade Le conseil fait partie des obligations positives. Le vassal doit comparaitre au coter du seigneur, lorsque

à ces finances sans problème, car il avait les revenus de son propre domaine Il n’avait besoin de l’autorisation de personne pour prélever ces revenus. S’agissant des finances extraordinaires, c’était généralement des dépenses très importantes (adoubements, mariages, rançons, guerre, etc.). Pour ces dépenses extraordinaires, il fallait trouver de l’argent ailleurs. Il y avait trois solutions civilisées : L’emprunt. A un inconvénient : il faut le rembourser, avec des intérêts. Donc l’emprunt est couteux

que lui inspire la belle guerrière Bradamante, il serait fortement tenté de s’en aller. Or Bradamante a été elle aussi conquisse par ce zèle. Sur ces entrefaites, Torrismond de Cornouailles conteste, au cours d’un festin, l’exploit qui a valu son adoubement à Agilulfe. Charlemagne, trop content de se débarrasser de lui, l’envoie chercher la preuve de son haut fait. Il part donc, avec son écuyer, Gourdoulou, dans une quête aux rebondissements imprévus. Après lui court la belle amazone Bradamante, que

l’appartenance à cette catégorie ? Quelles sont les conséquences de cette appartenance à la noblesse ? * Appartenance à la noblesse - La chevalerie : éthique donnée par l’église, c’est une élite militaire au service de l’église. Apprentissage, adoubement, veillée d’armes pour prier devant l’autel avec l’épée béni. Seul un fils de chevalier peut devenir chevalier. - L’acquisition d’un fief : depuis la fin du 13ème, le roi Philippe III a accordé que tout roturier peut acquérir un fief mais il doit

la violence excessive. L’action de l’épiscopat méridional et de Cluny fait progressivement adopter des exigences croissantes qui finissent par interdire l’activité militaire une bonne partie de l’année. IV. Hommage, investiture et adoubement Les serments sont l’occasion d’assemblées nobiliaires où les gens de pouvoirs se mettent en scène dans des cérémonies peu à peu codifiées. Ces gestes ne sont pas des nouveautés féodales, mais l’accent est mis peu à peu sur trois cérémonies :

chevalier. Ce serment est donc important, c’est le serment de protéger et défendre l’Église, les veuves et les orphelins, observer les règles justes de la guerre et enfin combattre non pas pour tuer mais pour lutter contre les puissances du mal. Cet adoubement a aussi un autre aspect qui est juridique car il marque aussi une coupure dans la vie. On considère bientôt qu’avant l’adoubement le jeune garçon est encore mineur et sa capacité juridique reste en suspend. S’il doit hérité d’un fief par exemple

des princes). Avec le temps, on va distinguer les simples combattants à cheval de ceux qu’on va appeler « chevaliers ». Les chevaliers apparaissent entre le 9ème et 10ème siècle. Le chevalier est celui qui a accompli un rite de passage appelé « adoubement ». C’est une cérémonie au cours de laquelle le simple combattant devient chevalier. L’adoubement tire ses origines de la tradition germanique. Chez les Francs, on passait du statut d’enfant à celui d’adulte par la remise des armes. Fin du 11ème

pour ne pas perdre la main, se livre à des pillages. Elle pille un peu partout, y compris les monastères. L'Église s'inquiète. En 1024, l'évêque de Beauvais rédige un "serment de ne plus piller", que le jeune chevalier doit prononcer lors de son adoubement. Ils s'arrêtent quelque temps. Puis, n'écoutant plus que leur débordante vitalité, ils reprennent. Alors, l'Eglise invente les croisades, que l'hagiographie officielle présente comme une glorieuse manifestation de foi conquérante. En fait, c'est

code était durement sanctionné, elle entrainé la forfaiture. Quand on en était coupable, on perdait directement la qualité de chevalier. L'entrée en chevalerie se fait à l'occasion d'une cérémonie particulière que l'on appelle l'adoubement. Cet adoubement a lui aussi évolué pour devenir de plus en plus religieux. Avant l'adoubement, il y a une formation. Le futur chevalier suit un véritable apprentissage, qui est long. Il commence à l'âge de 7 ans. Jusqu'à 7 ans, il est éduqué par la mère. Après