Adoubement

une force de nature prodigue comme en témoignent ses “propos quotidiens” écrits entre 1906 et 1938 pour “la Dépêche de Rouen” et dans “suite à Mars”. Alain était pour son époque, une personnalité dérangeante, ne cherchant jamais un quelconque adoubement par ses pairs, résistant forcené à l'obéissance poussant à l'extrême la désacralisation de l'Etat luttant pour le maintien au cœur de la démocratie de l’essentielle confrontation des pouvoirs et du citoyen ! C’est avec passion qu'il suivit les

fêtes, de tournois et donc au cours de ces fêtes, le nouveau promue va pouvoir prouver ses aptitudes au combat. Assez vite au 11ème siècle, ce rituel s’allège, il devient plus simple mais alors un rituel d’origine ecclésiastique s’ajoute à cette adoubement laïque, un rituel assez lourd pour le candidat parce que le futur chevalier doit passer toute une nuit à prier et au terme de la nuit, il assiste à une messe, son épée est bénie et le nouveau chevalier prête serment de défendre la foi et les faibles

s’attribue directement « les secrets » de Dieu et le mystère eucharistique[30]. Passons maintenant au rôle de la chevalerie à cette époque. Comment était organisée cette société féodale ? La chevalerie connaissait le rite de l’adoubement. Cet adoubement avait un caractère d’initiation d’abord laïque puis religieuse. C’est toujours un chevalier plus ancien qui adoubera un nouveau chevalier. Ces deux chevaliers formeront un compagnonnage. Le concept de la naissance et du sang noble, du lignage ne

des Etats-Unis -De défendre le principe de la suprématie de la race blanche -De venir en aide à ses frères sauf trahison -De ne jamais divulguer les activités du Ku Klux Klan et de respecter la Klonstitution. On assiste ensuite à un véritable adoubement comme au moyen âge. Le Grand Cyclope sacre « corps et âme » l’initié dont le genou droit est à terre. Après avoir plongé ses mains dans l’eau bénite, il pose ses doigts humides sur son front et sa tête. Puis tout en prononçant des paroles rituelles

chevalerie. Au XIIe siècle, prestige immense de la chevalerie. Chevalier = respectabilité et a de plus en plus de pouvoir: possède vassaux + terres de plus en plus grandes. Fusion noblesse de robe et celle d'épée. Mais non héréditaire, s'acquiert par adoubement. Morale chevaleresque: respect de la prouesse (être preux, courageux, vaillant et loyal) et de la largesse (générosité). → vaillance dans combat + vie quotidienne. Loyauté en vers son seigneur, son roi et sa dame.... Il se doit de dépenser

siècle I) Le roi en son pouvoir. Image de Francois Premier en acouttrement d’Athéna et de Cupidon (carquois) + Diane (cor de chasse) et Hérmès (Dieu de la communication, de la prospérité) ( Mise en scène d’un roi bienveillant et héroique (adoubement par Boyart). Le roi est un homme a pars, il est sacré, pretre du dehors (Reims) ( Saint Chreme de son bapteme. Il est aussi thaumaturge (notamment des écrevelles) par son droit divin. Ce roi doit etre montré au peuple donc il circule (Fontainebleau

service Fulbert de Chartre : pour fief, le vassal doit fournir aide et conseil au seigneur 1. L’aide du vassal Aide militaire et pécuniaire : garder le château, participer au service d’Ost, payer rançon si le seigneur est prisonnier, payer adoubement du fils aîné du seigneur, la dot de la fille, frais du seigneur 2. L’obligation de conseil Le vassal se rend à la cour quand son seigneur le lui demande « La Cour du seigneur » peut aussi être cour de justice 3. Les sanctions _ Saisie

chevaliers pour les mettre à disposition de son seigneur. =>Il doit aussi un service d’escorte, et parfois de garde du château. => L’aide pécuniaire: limitée à quatre cas en France au XIIème: - paiement de la rançon du seigneur prisonnier. - adoubement comme chevalier de son fils aîné. - mariage de sa fille aînée. - départ en croisade. => Service de cour et de justice féodale: le vassal doit venir siéger à la cour du seigneur pour montrer la puissance et le luxe de celui-ci: - service de

partie de l’année. La société évolue vers un monde local moins conflictuel. La norme sociale se durcit et annonce le retour d’une organisation plus hiérarchique, plus chevaleresque qui triomphe aux XIIe et XIIe siècles. Hommage investiture et adoubement L’hommage est soit le signe de l’entrée en vassalité soit le signe de reconnaissance du lien hiérarchique et de ce qu’il implique. Le rituel se fixe progressivement même si il ne prend pas toujours la forme d’un agenouillement mains jointes.

on voit bien le rapprochement entre la force armée et la protection des faibles. Ces règles de conduite vont recevoir une traduction morale. Pour être chevalier chrétien il faut être adoubé, ce qui correspond au sacre du roi carolingien, cet adoubement doit être accompagné du serment de fidélité = cérémonie germanique sacralisée par l’Eglise. Le futur chevalier doit être un homme libre, il doit être fait chevalier par un autre chevalier, généralement sont parrain. La cérémonie est symbolisé par