Aerospatiale

aux Etats-Unis. L’importance accordée à la recherche-développement (progrès techniques et découvertes scientifiques) explique largement la puissance américaine. Les entreprises américaines dominent ainsi le secteur des nouvelles technologies : aérospatiale et aéronautique, électronique, informatique, télécommunications, armement… En effet l’état fédéral s’associe aux grandes firmes américaines et défend leurs intérêts à l’étranger. Des lobbies se constituent pour faire pression sur le gouvernement

chômeur l’an passé de 400000 et fait perdre un point de croissance. Le déficit français apparaît alors que l’industrie française possède certains secteur industriels à très forte valeur ajouté. Ex : luxe, pharmaceutique, nucléaire, aéronautique et aérospatial même si les dernières ventes réalisé avec certains pays ont des délai de paiements de 10 ans. Le solde commerciale traduit la capacité industriel. Le solde des invisibles traduit la qualité de nos services. Ce solde caractérise l’évolution

Service public Automobile Distribution et consommation Services professionnels Transport et logistique Chimie Energie, matières premières et extraction Ingénierie et construction Hôtellerie et loisirs Industrie manufacturière Industrie pharmaceutique Aérospatial et défense 0% 73% 65% 55% 50% 44% 41% 37% 36% 34% 33% 31% 30% 30% 29% 24% 23% 23% 20% 39% 45% 53% 59% 57% 64% 64% 57% 67% 70% 67% 69% 76% 74% 74% 80% 3% 3% 0% 10% 2% 0% 3% 2% 6% 0% 2% 25% 35% 6% 5% 3% 2% Externe Interne Autres tiers 10%

réaliser des percées remarquables dans l’industrie aérospatiale. C’est ainsi que la Chine possède à elle seule trois aires de lancement de satellites et se trouve classée le cinquième pays du monde pour le lancement des satellites avec des fusées de sa conception. Ceci met en évidence les difficultés de coopération inhérentes aux divergences politiques et aux aspirations stratégiques. Dans ce contexte la coopération dans la recherche aérospatiale reste limitée à des régions, des entités et des regroupements

commun le projet d'acquisition en commun de la filiale canadienne de Boeing, de Havilland, par les groupes français Aérospatiale et italien Alenia. Les faits de l'affaire concernent l'opération d'une concentration. Cette concentration se présente sous la forme d'une entreprise commune : * de Havilland serait gérée par une société d'exploitation contrôlée en commun par Aérospatiale et Alenia ; * les activités d'Aérospatiale et d'Alenia dans les avions de transport régional à turbopropulseurs

aéronautiques sont des sociétés multinationales, et il n'est pas inhabituel pour elles d'avoir des usines sur des sites très éloignés. Airbus, cependant, est unique dans le fait que c'est une société européenne née de la fusion des entreprises aérospatiales majeures françaises, britanniques, allemandes et espagnoles. La localisation géographique des différents sites de l'entreprise est moins un problème pratique et de coût qu'un sujet d'intérêts nationaux et de fiertés nationales. En conséquence

connaissent un "miracle économiques". Quelques inégalités : géographique ( PID : 70 % des richesses M ), sectorielle ( industrie, automobile, sidérurgie en hausse ), nouveautés ( pétrochimie, optique, chimie, aéronotique, électroménager, électronique, aérospatial ). Tertiarisation, déclin de l'agriculture B. elle s'explique par plusieurs types de facteurs facteurs économiques → Le développement des échanges (7,5%) est stimulé par un système monétaire stable (1944, accords de Bretton Woods) et

une politique de rigueur budgétaire menée par Antoine Pinay ministre des Finances (1959-1960) stabilise la monnaie. La politique budgétaire stricte menée ensuite par Valéry Giscard d’Estaing, le développement de la technologie française (atome, aérospatiale), les mesures d’accompagnement de la PAC appuient l’expansion des années 1960. La France, sur les bases jetées de la 4ème République – ce que de Gaulle refuse à reconnaître – est alors au cœur des « Trente Glorieuses », poursuivant sa modernisation

modèle capitaliste libéral qui tend à s’imposer, par la capacité de production industrielle de ses grandes sociétés multinationales, implantées sur tous les grands marchés régionaux du monde, dans des domaines variés : des hautes technologies (aérospatiale, informatique) à l’agroalimentaire : les productions agricoles sont variées et en quantités énormes au point que les bourses de Chicago et de New-York mettent les prix de certains produits comme le blé au niveau mondial. Les Etats-Unis deviennent

antérieures tient à ce que les pays dits émergents (Chine, Inde, Brésil, Russie), ainsi qualifiés en raison d’un niveau de vie inférieur aux puissances les plus riches, disposent cependant de capacités technologiques et scientifiques avancées (aérospatial, électronique, informatique, chimie). Ils constituent donc des destinations privilégiées d’investissements en R&D. L’objectif de ces infrastructures nouvelles ne se limite plus à l’adaptation de technologies et de produits aux marchés locaux mais