Affaire Caius Resume Gratuit

il publie ses premiers poèmes où il chante la nostalgie de son enfance, passée en Guadeloupe. En 1905, il rencontre Claudel : cette rencontre encourage ses premiers essais poétiques et l’oriente également vers la diplomatie. En 1914, il entre aux Affaires Etrangères et séjourne souvent à l’étranger. En 1940, il s’établit aux Etats-Unis car sa carrière politique s’est terminée par son opposition au nazisme. Il se consacre à sa poésie et à l’étude : il est non seulement poète mais aussi philosophe

progressivement les patriciens à se rapprocher d'eux. Le peuple qui a fait sécession va créer ses propres institutions : La Plèbe se dote de deux chefs : les tribuns de la Plèbe. Ils n'ont pas pour mission de commander la Plèbe, mais leur mission se résume sous l'expression de puissance tribunissienne qui se décline en trois éléments : l'auxilium (le pouvoir d'aider la Plèbe face aux décisions des Patriciens grâce au pouvoir d'intercessio), l'inviolabilité tribunissienne (en faisant adopter une loi

l'ensemble des règles (nomoï) qui règlent la vie de la maison (oikos) et donc l'acquisition des biens naturels, qui est bonne en soi et très importante et la chrématistique (de chrematos : l'argent) qui est l'enrichissement par la spéculation et les affaires , activité sinon à proscrire du moins indigne d'une certaine image du bon citoyen. La marchandise doit être laissée aux étrangers, aux métèques (l'étranger qui vit à Athènes moyennant le versement d'une redevance ; ce terme (metoikos) n'a pas le

théorie dualiste l’obligatio intègre les deux dimensions : la contrainte n’est pas une conséquence extérieurement rattachée par le droit objectif mais un élément constitutif de l’obligatio. Ces deux éléments doivent être réunis pour que l’on ait affaire à une obligation complète et généralement, ces deux éléments coexistent. Mais il peut arriver qu’ils soient séparés : on peut avoir des cas de dette sans contrainte (cas de l’obligation naturelle : comporte bien une dette, à telle enseigne que si

diplomate) existe depuis 460 (avant JC) magistrature collégiale avec impérium (avec pouvoir civil, judiciaire…) réservé aux patriciens (plus vieilles familles de Rome). Consuls principaux administrateurs de la cité, pouvoir militaire (dirige) gère les affaire extérieure, président les comices centuriates, prévoit le budget, annonce les lois plus importantes magistratures. => La nobilitas, c’est un ensemble

sont ôtées et sont confiées au polémarque qui est lui aussi un magistrat viager. Puis, un autre personnage apparaît. C’est l’archonte, mot qui signifie chef. C’est lui qui vide la fonction royale de sa substance. Ainsi, il gouverne la cité dans ses affaires intérieures et convoque l’Assemblée. Il préside aussi probablement le conseil. Il exerce aussi les fonctions de juge pour les familles qui ont perdu leur chef naturel, se substituant à lui. Ainsi, il est le juge des orphelins, des veuves, des héritières

une notion précise de ces faits, il est naturel que leurs institutions en aient conservé la trace. C’est en effet ce que révèle aux moins attentifs la connaissance de la vie antique. Les Grecs et les Romains avaient au plus haut degré le goût des affaires et l’esprit de spéculation. De bonne heure naquirent sur le pourtour de la mer Égée des places de commerce, telles que Corinthe, Égine, Milet, Chalcis, dont les opérations s’étendaient au loin, et finalement Athènes les éclipsa toutes au Ve siècle

succédés 6 rois. Rejet des rois (Tarqun). La part de légende y est importante à l’époque des rois. Au début, fondation de plusieurs villages, constitution de groupes familiaux (qui se rattachent à un ancêtre commun). Le citoyen romain porte 3 noms (Caius Julius Caesar). Ce sont ces groupes qui ont formé la cité. Le pouvoir du roi a été conçu comme un pouvoir fort, souverain. Si le roi disparaît, le pou voir suprême reste, mais prendra une autre forme. I) L’instauration et le développement de la république

: Peste de la carogne ! MARTINE : Que maudit soit l’heure et le jour où je m’avisai d’aller dire oui ! SGANARELLE : Que maudit soit le bec cornu de notaire qui me fit signer ma ruine ! MARTINE : C’est bien à toi, vraiment, à te plaindre de cette affaire. Devrais-tu être un seul moment sans rendre grâce au ciel de m’avoir pour ta femme ? Et méritais-tu d’épouser une personne comme moi ? SGANARELLE : Il est vrai que tu me fis trop d’honneur, et que j’eus lieu de me louer la première nuit de nos noces

les faisceaux, symbole de la justice. Il rendait les décisions en dernier ressort, surtout en matière pénale. C'est aussi resté, le Roi jusqu'à la Révolution est considéré comme celui qui détient toute la justice, il peut toujours revenir sur une affaire et la juger directement, d'où la création de tribunaux spéciaux. Justice retenue. Ca se retrouve y compris dans la République, c'est le problème du droit de grâce, le président peut modifier une décision pénale. On distingue deux périodes dans