Affaire de la station de métro Charonne

à Paris son visage "administratif" actuel : • Paris absorbe quatre communes entières : Belleville, Grenelle, Vaugirard et La Villette • sept autres communes sont partagées avec d'autres communes : Auteuil, BatignollesMonceau, Bercy, La Chapelle, Charonne, Montmartre et Passy • enfin, douze communes sont partiellement annexées : Aubervilliers, Bagnolet, quartier de Glacière et de Maison-Blanche (Gentilly), quartier de Javel (Issy), quartier de la Gare (Ivry), quartier du Petit-Montrouge (Montrouge)

hésité quelques instants avant de se jeter à l’eau. « Vers cinq heures, cela vous irait ? J’habite 118, rue de Charonne. » Daragane nota l’adresse à la même page que celle où était écrit le nom : Guy Torstel. « Au quatrième étage, au fond du couloir. C’est écrit en bas sur la boîte aux lettres. Elle est au nom de Joséphine Grippay, mais j’ai changé de prénom... — Au 118, rue de Charonne. À six heures du soir... quatrième étage, répéta Daragane. — Oui, c’est bien ça... Nous parlerons de Gilles...

j'ai balancé mon Guide de la mythologie grecque en travers de ma chambre. Les mots s'étaient mis à danser devant mes yeux, à tourner autour de ma tête, les lettres à faire des grands 8. Jamais je ne pourrais retenir la différence entre Chi-ron et Charon, Polydectès et Polydeucès. Et toutes ces conjugaisons latines ? N'en parlons pas. J'arpentais ma chambre avec la sensation d'avoir des fourmis qui grouillaient sur ma peau, sous mon tee-shirt. Je me suis souvenu de l'expression grave de M. Brunner

mais la concurrence de la radio se fait bientôt sentir. Face au nouveau média, plus réactif et surtout plus rapide, la presse tente d’abord de limiter l’essor de la radio. Certains groupes de presse, comme Le Petit Parisien, investissent dans les stations de radio, tandis que Jean Prouvost décide de répondre en multipliant les éditions et les reportages, et en privilégiant la photographie, tant pour son quotidien Paris-Soir que pour son hebdomadaire Match. Le photojournalisme (Vu de Lucien Vogel

résulte d’une véritable « terreur d’État » instaurée par le système de répression du nationalisme algérien que le préfet Maurice Papon construit à partir de son arrivée à Paris au printemps 1958. La manifestation du 8 février 1962 organisée au métro Charonne contre les violences de l’OAS à l’appel de plusieurs syndicats, du PCF et du PSU (Parti socialiste unifié, fondé en 1960) est violemment réprimée par les forces de l’ordre. Les autorités s’efforcent alors de régler la question algérienne par

en France en 1961-1962 est très tendu. La manifestation des Algériens du 17 octobre 1961 voit la répression et la mort de dizaines de personnes. Une manifestation organisée par le PCF favorable à l’indépendance est réprimée le 8 février 1962 au métro Charonne. Face à cela, l’OAS (Organisation de l’armée secrète) dirigée par Salan et Jouhaud, favorable à l’Algérie française, commet plusieurs attentats en Algérie et en France (tentative d’assassinat du général DG le 22 août 62 au PetitClamart). Dans

forces de police au métro Charonne et un autre mourra à l'hôpital. Selon l'historien Jean-Paul Brunet, Charles de Gaulle est « tout autant responsable de cette tragédie que le ministre de l'Intérieur Roger Frey, le préfet de police Maurice Papon, et toute la hiérarchie policière ». Une des raisons est, explique J.-P. Brunet, « l'autoritarisme » du Général. Selon l'historien Alain Dewerpe, directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales, le massacre de Charonne n'est qu'une conséquence

d'influence se dessiner. Les deux camps sollicitent l'aide de la France, mais le général de Gaulle décide officiellement un embargo aux deux parties[1]. Paris penche pour le Biafra : en 1967, de Gaulle déclare à Jacques Foccart, son conseiller en affaires africaines, qu'il souhaite le « morcellement » du pays[3] afin d'affaiblir la zone d'influence britannique. De plus, le général Gowon reçoit des armes de l'URSS[1]. Pourtant, Gowon avait commandé quarante automitrailleuses à Paris, qui commenceront

Anne. De Gaulle est muté au Levant en 1929 et passe deux ans à Beyrouth avec sa famille. En 1931 il est affecté au secrétariat général de la Défense nationale à Paris. Ce nouveau poste est pour lui important, car c’est l’occasion de s’initier aux affaires de l’État. C’est durant ces années que Charles de Gaulle développe ses théories militaires : il publie La Discorde chez l’ennemi (1924), Le Fil de l’épée (1932), Vers l’armée de métier (1934) et La France et son armée (1938). Ce dernier livre

promulguées de manière inconséquente, pour la protection de la personne et de la propriété privée, menacent les photographes. S’intéresser aux gens dans un café ou dans la rue est une opération à risque. Sortez un appareil dans un aéroport US ou dans le métro de Londres et vous passez pour un terroriste ! Des édifices payés par la collectivité (comme l’Atomium) sont protégés par le droit d’auteur ! La presse répercute les procès gagnés par des lobbies d’avocats spécialisés. Qui construira la mémoire de