Affaire Du Sang Contaminé

distingue souvent des juridictions d’instructions et de jugements. Le juge d’instruction est le juge qui prépare l’affaire avant que la juridiction de jugement se prononce sur la culpabilité de l’accusé. Elle est souvent pour des affaires criminelles, c’est-à-dire les affaires les plus graves. La juridiction de jugement pour se prononcer à besoin d’éléments, ces éléments c’est le juge d’instruction qui va lui les apporter. A la fin de l’instruction : Ordonnance de non-lieu / De renvoi Les décisions

dans la mosquée et la répression du colonisateur. Les précisions terminologiques précisément datées confèrent au récit l’apparence d’une chronique (« quelque expert des Affaires Indigènes… ils furent nommés caïds et cadis d’office… les registres d’état-civil », p. 126-27). Mais l’incertitude liée à l’imaginaire mythique contamine l’évocation historique et affecte l’identité des victimes qui « prête encore, de nos jours, à confusion ». De même que la référence littéraire au Meurtre dans la cathédrale

connaissent l’histoire, ils connaissent la fin car c’est un mythe connu : ils viennent juste voir une mise en scène et peuvent ainsi faire attention aux détails => les spectateurs frémissent car il y a une ironie tragique : « je m’occuperai de cette affaire comme s’il s’agissait de mon propre père » (Œdipe) ou Jacoste qui dit qu’Œdipe ressemble à Laïos. Pour l’histoire le plus important n’est pas le dénouement mais la manière dont c’est raconté. La littérature ne se renouvelle pas par le fond mais par

du travail 24 - Evaluation 26 - de retour à l’IFSI 26 - les problèmes en stage 28 - frais de transport et indemnités kilométriques Ce qu’il faut savoir 42 - La Responsabilité Civile Professionnelle (RCP) 42 - Les Accidents d’Exposition au Sang (AES) : conduites à tenir /// 1 /// édito Cher(e)s étudiant(e)s, § La Fédération Nationale des Etudiants en Soins Infirmiers (FNESI) vous présente la nouvelle version du Guide du Stagiaire. Directrice de publication Eve GUILLAUME Rédacteur

d’alerte et de gestion sanitaires DCAR département de coordination des alertes et des régions DDASS direction départementale des affaires sanitaires et sociales DGCCRF direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes DGS direction générale de la santé ENSP école nationale de santé publique EFS établissement français du sang HAS haute autorité de santé INPE institut national de perfectionnement de l'équipement INSEE institut national de la statistique

Juridiques et Judiciaires Le MEDIATOR, un des plus grands scandales sanitaires français Sommaire Introduction ….............................................................................. p1à5 I- Le Médiator, une nouvelle affaire médicale A- La chronologie d'un scandale sanitaire ….............................................. –l'éclatement du scandale : de 1995 à aujourd'hui –la chronologie du procès pénal –le rôle des médias dans la révélation de ce scandale B- Le Médiator

de la bande d’Aozou, 104 000 km2 au nord. Le Tchad a reconquis ce territoire en 1987 et La Haye lui a donné raison et a obligé les soldats libyens a quitté ces terres. Depuis 2002, il est divisé en 18 régions administratives. Le Darfour en sang Les premiers corps ensanglantés de Darfouriens, liés à la guerre civile dont il est question ici, ont été retrouvés en 2003. En effet, depuis cette année une guerre fait rage dans cet endroit reculé de la planète. Et ce alors que le Soudan sortait

des moyens d'influence et des stratégies qui échappent à la transparence attendue des arguments en démocratie. Cette connotation péjorative s'est encore renforcée au cours des années 1980 et 1990 avec l'éclatement de crises sanitaires (amiante, sang contaminé, farine animale, éthers de glycol...) où le rôle de certains groupes de pression industriels ou corporatistes minimisant les risques grâce à l'action de cabinets de lobbying a été dénoncé par des chercheurs scientifiques (notamment les toxicologues

terminée la cour procède au débat puis statue sur la culpabilité des accusés. Si l’accusé est déclaré coupable, on procède au vote sur l’application de la peine. Cette méthode a été créée avec la réforme du 21 juillet 1993 suite à l’affaire dite du sang contaminé, pourtant de graves problèmes existent. En premier lieu, la cour de justice de la République n’est compétente que pour juger les ministres eux même, la responsabilité des complices ou coauteurs ne peut être jugé que devant les juridictions répressives

respectives des sciences et de la société. Cette dernière justement a des exigences croissantes. En effet, des aspects négatifs de la science arrivent de plus en plus sur le devant de la scène (pollution et réchauffement de la planète, affaire du sang contaminé, etc). Les avancées scientifiques sont de plus en plus remise en cause et en même temps la perception du risque a évolué. La société refuse le risque et exige toujours plus de sécurité alors que ce risque est rempli d'incertitude. Ainsi l’État