Affiche De Propagande Stalinienne

antisémite en arrivant à Vienne. Mais dans ce foyer de l'antisémitisme politique moderne, dirigé depuis 1897 par le maire populiste Karl Lueger, élu sur son programme foncièrement antisémite, Hitler a sûrement été largement influencé par l'abondante propagande antijuive qui circulait alors, à travers une foule de libelles, de caricatures, de journaux et de discours publics. Au printemps 1913, pour éviter son enrôlement dans l’armée de l’Empire austro-hongrois, État multi-ethnique qu’il exècre, il s’enfuit

conçoit son aire d’influence comme plus large que son seul espace de souveraineté. Depuis Monroe l’Amérique latine est sa chasse gardée (depuis qu’elle a obtenu le départ des Espagnols des colonies américaines en 1898) Etude de l’affiche de propagande soviétique : -un modèle construit sur le rejet du capitalisme qui signifie 1/ exploitation des masses par une minorité détenant le capital, la bourgeoisie 2/l’impérialisme, la colonisation et la guerre. -un modèle vécu donc comme libérateur

pays du glacis 2. les pays colonisés anti-impérialistes 3. les PC en Occident 1. principaux effets : a) le Kominform de septembre 47 (Bureau d'Information) 9 membres dont France et Italie b) le rejet du Plan MARSHALL imposé par Moscou (Affiche 5 p.193) 4 répercussions en Europe de l'ouest : 1. fin des gouvernements d'union : France, Italie, Belgique... 1. reprise (radicalisation plutôt) des conflits sociaux : fin de la trêve d’après guerre Cf. grèves de 47 en France, surtout RENAULT

le stalinisme (1928-1953), dans l’Italie fasciste (1922-1945) et l’Allemagne nazie (1933-1945).   Les trois totalitarismes tentent de contrôler tous les aspects de la vie en société pour créer un homme nouveau. Pour cela les Etats usent de la propagande mais aussi de la violence (brutalités policières, déportation, meurtres…). Le dirigeant est un guide infaillible (duce, Vojd « petit père des peuples », führer) auquel est voué un culte de la personnalité. Cependant, malgré un usage commun de la

la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947 après les avoir en partie provoquées par sa politique brutale. Le secret et la propagande systématiquement entretenus autour de ses actes font du travestissement de la réalité et de la réécriture du passé une caractéristique permanente de son pouvoir absolu. Son souvenir est aussi associé à la victoire militaire des Alliés sur l'Allemagne

romaine, assistent aux manifestations du régime, s'entraînent avec des fusils de bois. La force, la violence sont exaltées. Les syndicats sont remplacés par des corporations contrôlées par l'état et le patronat. Le droit de grève est aboli. * La propagande : les emblèmes et slogans fascistes, les chansons de marche, les monuments en béton néo-romains fleurissent partout. Le régime fasciste exalte ses grands travaux : le drainage des marais pontins, les premières autoroutes. On instaure même une ère

au 31 août 1935, l'ouvrier Aleksei Stakhanov aurait extrait 102 tonnes de charbon en six heures, soit, environ, quatorze fois le quota demandé à chaque mineur. Staline encourage les Soviétiques à suivre son exemple. Des portraits de Stakhanov sont affichés partout pour inciter chacun à travailler plus dur pour dépasser les cadences et les quotas imposés. 1936 Les Procès de Moscou et les Grandes Purges: Les Procès dits de Moscou sont au nombre de quatre: Le premier procès, ou procès des 16, touche les

nazis et soviétiques, après la guerre d’Espagne. Quand George Orwell écrit 1984 au sortir de la Seconde Guerre mondiale, dans Londres ravagée par les bombardements et exsangue, il a sous les yeux les atrocités de totalitarismes, tant nazi que stalinien, qui au nom d’un idéal social ont aliéné des peuples entiers. C’est ce « pire des mondes » que présente Orwell dans une dystopie qui n’est que la projection du présent. Plusieurs genres : journalisme, la fiction, mémoires, essais et des polémiques

contenue car expansionniste · Utilisé de manière critique puis devient le terme pour désigner ce conflit : idée d’une menace soviétique qu’il faut endiguer · Terme pas utilisé en URSS jusqu’à la fin de la guerre froide car ne convient pas à la propagande de l’URSS qui se dit comme pacifique Est-ce vraiment une guerre ? · Eric Hobsbawm : la guerre froide peut être considéré comme une troisième guerre mondiale particulière : il se base sur Hobbs : « La guerre ne consiste pas seulement dans la bataille

nationalistes arrivent aux portes de Madrid mais, de façon inattendue, diffèrent l’assaut sur la capitale le temps de secourir les défenseurs de l’Alcazar de Tolède, une forteresse où 1600 personnes supportent le siège de l’armée régulière. La propagande exalte les hauts faits des «héros de l’Alcazar». Le colonel Moscardó devient mondialement célèbre pour avoir refusé de rendre la forteresse quand les assiégeants l’avaient menacé d’exécuter son fils. Le général Franco sort de son rôle subalterne