Affleurements

Le mardi 20 octobre 2009, nous nous sommes rendus dans la vallée d'Ossau (Pyrénées-Atlantiques) afin d'observer différents affleurements. Nous avons effectué un circuit comprenant sept arrêts (Rébénacq, Castet, Turon de Técouère, Plateau du Bénou, Col de Marie Blanque, Arudy, et Courrèges), chacun ayant pour objectif de nous montrer qu'à l'emplacement actuel de la chaîne pyrénéenne il y a eu une période de distension qui a donné naissance à un océan, aujourd'hui disparu. I- Col de Marie Blanque

Compte-rendu sortie du 25 septembre St michel chef-chef, St brévin, St Marc sur mer Affleurement n°1 1) Dans l'affleurement n°1 nous avons pus observer du Micaschiste,oxydé et donc fortement altérée car la zone est ombrée et très humide. On remarque une couhe d'environ 50 cm qui semblerait indiquer qu'il y a des millions d'années il y a eu un dépot de vase qui s'est durçis et a métamorphisé pour enfin donné une roche sédimentaire: la pélite. 2) On peut observer des plis et des microplis

allées dans les Vosges du 6 au 9 Octobre 2010. Nous étions logés au centre des 4 vents, à Ramonchamp .Ce stage nous a permit d’étudier les différentes roches présentes dans le massif vosgien, nous sommes donc allés voir des zones de subduction, des affleurements, enfin nous sommes allés dans un centre géologique (TERRAE GENESIS). Nous avons été accompagnés durant tout le stage par des guides du centre géologique TERRAE GENESIS. Ceci nous a permit de retracer l’histoire des Vosges, du carbonifère jusqu’à

1.Nous arrivons sur le site des affleurements sombres. En étudiant les roches sur place, nous constatons que celles-ci ont une couleur sombre et des cristaux dorés brillants, ce sont des pyroxènes. Cette roche est une péridotite, roche formant le manteau (cf les roches) 2. Continuant notre périple, nous arrivons sur un second site où se trouvent les roches correspondant aux affleurements observés sur la deuxième partie de notre panorama. Ce sont des roches claires à cristaux jointifs (blancs et

La sortie du 27/09/2013 à la station de chamrousse avait pour objectif d’observé et d’étudier le caractère particulier de l’ophiolite de ce site. En effet il s’agit d’une ophiolite renversé. Nous essayerons dans ce compte rendu d’analyser des affleurements observés lors de cette sortie pour pouvoir retracer la mise en place de cette ophiolite, de faire un log stratigraphique, et de comprendre ce qu’est une ophiolite renversé. Illustration : Photo d'interprétation de l'affleurement du rocher de

de calcaires coquilliers accessibles en surface, dans notre région ? » I. Arrêt à Bouzigues. Notre premier arrêt s'est déroulé sur la commune de Bouzigues, nous avons cherché du calcaire coquillier dans la garrigue. Nous avons trouvé un affleurement de roches que nous avons pu identifier comme du calcaire coquillier car cette roche était grise (calcaire daté du Jurassique) et beige(marne datée du Miocène). La première étant plus vieille que l'autre, la beige a rempli la roche grise. Cette

sud de Bordeaux, au sein du bassin sédimentaire Aquitain (qui montre une importante série de dépôts des ères Secondaire et Tertiaire). Les affleurements sont visibles en particulier sur les rives de la rivière le Saucats et son affluent le Brousteyrot. La Réserve se compose de 3 secteurs géographiques sur les communes de Saucats et La Brède. - Ces affleurements ont servi de base à la création des stratotypes de l'Aquitanien (créé par Charles Mayer en 1858) et du Burdigalien (créé par Charles Depéret

naturelles permettant d'étudier la croûte continentale. Nous avons donc pu observé des affleurements de roche soumis à l'érosion. Ces coupes géologiques témoignent de la structure de l'ancienne chaîne de montagne du Massif Armoricain. I) Premier arrêt : Langrolay sur Rance 1) Les falaises En arrivant à Langrolay, nous avons observé des roches dévoilées sur les falaises, on les nomme « affleurements ». Ces affleurements nous ont permis d'étudier les roches de la croûte continentale. Ces roches constituant

de traces sur le motif. AFFLEUREMENT FONCTION Recouper le placage et/ou le support plaqué afin d’obtenir un chant rectiligne et une cote précise. METHODE 1. Affleurement manuel : Scie à placage : travail d’approche qui réalise peu ou pas d’éclats, alignement avec le chant du support difficile. Ciseau à bois : travail plus précis, possibilité de « coucher » les fibres du bois, peu d’éclats mais risque d’éclatement du placage ou d’entaillage du support. 2. Affleurement mécanique : Scie à ruban :

que masque, une efficacité qui n'est nullement proportionnée à leur épaisseur ni, par conséquent, à l'importance qui devrait leur être accordée sur la carte. C'est ainsi que selon le degré de scrupule des auteurs la surface cartographique des affleurements de bed-rock peut se rétrécir comme peau de chagrin vis à vis de celle attribuée aux terrains de couverture ou vice-versa. Disons immédiatement qu'il n'y a aucune recette miracle pour trouver le juste milieu et que, même si l'on a déjà une grande