Afrika Bambaataa

simultanément, en les mélangeant et en les modifiant. Le DJ utilise pour cela des techniques variées comme le scratch, le cutting, le baby scratch ou le crab. Certains DJs du mouvement sont désormais célèbres dans le milieu hip hop comme Kool Herc, Afrika Bambaataa, Dee Nasty (premier DJ français du mouvement hip hop dans les années 1980), et DJ Clue, qui grâce à ses mixtapes fut le premier DJ de la scène hip hop à vendre plus d'un million de disques. Le Rap : Le rap ou MCing est un chant saccadé composé

hip-hop à certaines minorités. On peut donc dire qu'il y a deux tendances au début des années 80, d'un côté une sorte de disco funk un peu rappé inspiré de Chacun fait (c'qui lui plaît) et de l'autre une tradition américaine plus électro funk. Afrika Bambaataa & Soul Sonic Force – Planet Rock. Ne pas négliger le poids des disquaires indépendants et l'autre les radios libres. Phil Barney et Dee Nasty (???) Le premier est un disquaire spécialisé dans l'importation de la musique américaine, notamment

jeunesse des cités. Au début des années 80, le mouvement prend son envol avec de grands rassemblements "bloc party" où s'affrontent danseurs, grapheurs[2], DJ[3] et MC[4]. Des stars commencent à naître comme les Run DMC, Grandmaster Flash ou Afrika bambaataa. La "zulu nation" se forme et le mouvement arrive jusqu'en France. A cette époque, le style musical est très funky et électronique avec des basses très lourdes, on sample[5] déjà les tubes de James Brown et les scratches[6] deviennent très fréquents

H.O.P » est diffusée sur TF1 en 1984 grâce à son présentateur, qui se nomme Sidney. Pour l’anecdote, un commissaire lui confit à l’époque que grâce à son émission, la criminalité a fortement baissé. A New York, un activiste hip hop nommé Afrika Bambaataa, fonde le mouvement de la « Zulu Nation », qui consiste à véhiculer des messages positifs aux auditeurs. La devise du hip hop devient alors la suivante : « peace, love, unity & having fun » ; soit dans notre langue : « paix, amour, unité

père. Il est l’élément déclencheur de la grande vague de rap engagé qui se répandit partout aux états unis vers les années 80. C’est un des personnages les plus importants de toute l’histoire du Hip-Hop au même titre que Grand master flash ou Afrika Bambaataa. C’est un des premiers à utiliser le Hip-Hop pour faire passer un message engagé, la plupart du temps en faveur de la communauté afro-américaine. Chuck D est un artiste engager mais conscient, il est aussi très ouvert car il a fait des collaborations

de l’ambiance dans la fête en débitant des paroles festives. Par cette simple entreprise , Kool Herc devient l’instigateur du rap, industrie qui brassera des années plus tard des milliards de dollars. Autre fer de lance du mouvement hip hop , Afrika Bambaataa , membre du plus important gang du Bronx, les Black Splades. Suite au décès de son meilleur ami Soulski lors d'une fusillade contre la police, Bam créa une association connue actuellement sous le nom de Universal Zulu Nation. Le but des Zulus

sociaux difficiles, éprouvé par la mort de plusieurs de ses amis dans des règlements de compte et musicien occasionnel, fréquentant entre autres le DJ “Kool Herc” qu’il apprécie particulièrement, “Aka Kahyan Aasim“, plus connu sous le nom “d’Afrika Bambaataa”, membre leader du gang des “Blacks Spades” décide, à la dissolution de son gang, de changer de cap et de trouver une alternative "spirituelle" et "vitale" à la violence urbaine et utilise son influence de leader pour parler avec les jeunes et leur

Flash et, un an plus tard, par Planet Rock d'Afrika Bambaataa. Très vite, ce dernier s'impose comme la première idole internationale du mouvement hip-hop. Ce géant noir, né dans l'un des quartiers les plus violents et les plus défavorisés de New York, South Bronx, se fait d'abord remarquer comme chef de gang. Jusqu'au jour où l'un de ses meilleurs amis trouve la mort dans une rixe avec une bande rivale. Tout à coup, c'est la révélation pour Afrika : la violence ne mène qu'à l'autodestruction et au

prend son envol avec de grands rassemblements "bloc party" où s'affrontent danseurs, grapheurs, DJ et MC (c’est le nom que l’on donne à ce que vous appelleriez des rappeurs). Des stars commencent à naître comme les Run DMC, Grandmaster Flash ou Afrika bambaataa. La "zulu nation" se forme et le mouvement arrive jusqu'en France. A cette époque, le style musical est très funky et électronique avec des basses très lourdes, On est loin du rap qu’on peut écouter maintenant. En France, c'est avec l'apparition

métaphoriques de la Liberté : « Libre comme une rivière, plus libre qu'un goutte de pluie... » Dans le contexte plus libre des années 90 et ce malgré que les écarts entre blancs et noirs soient toujours important le Hip Hop et des groupes comme Afrika Bambaataa prônent des valeurs positives telles que la tolérance et la connaissance de soi alors que d'autres comme Tupac Shakur appellent à une révolte violente des personnes défavorisés. Nombreux firent les artistes noir américains à s’engageaient dans