Afrika Bambaataa

réalisé des concerts acoustique. Le hip hop a une popularité grandissante dans plusieurs pays, notamment en Amérique du nord. Hip hop aux États-Unis[modifier | modifier le code] Article détaillé : Hip-hop aux États-Unis. Il a été marqué par Afrika Bambaataa, créateur de la Zulu Nation et Grandmaster Flash, inventeur de la méthode du turntablism qui a sorti le 1er tube de rap dit conscient, The Message avec son groupe The Furious Five en 1982. Hip hop en France[modifier | modifier le code] La

apparition d’un répertoire 8. 1970-80 : influence du disco 9. Fin des années 80 : apparition du hip hop, break dance
 La danse Hip hop
 I.L’émergence d’une nouvelle expression
 1.Le contexte socio-éco Les 70’s à New York avec 3 personnes (Afrika Bambaataa, Kool Herc, Grand Master Flash) à Brooklyn. Avec des sons de Jamaïque, Afrique, disco et funk. On délaisse les emplois industriels pour les délocaliser dans les quartiers du Bronx, de Brooklyn et de Harlem (quartier du Nord). Faussé entre

      Dans   les   années   70,   aux   Etats-­‐   Unis   les   luttes   font   alors   rage   entre   groupes   rivaux   dans   le   Bronx.   et   en   1975,  «  Afrika   BAMBAATAA  »,  le  chef  d’un  gang,  voit  son  meilleur  ami  abattu  par  la  police.  Il   quitte  alors  son  gang  et  se  reconvertit  dans  la  musique  en  devenant

Holly | |1957 | | | |237 | |Planet Rock | |Afrika Bambaataa | |1982 | | | |238 | |I Fall to Pieces | |Patsy Cline

se vivait dans la rue plus que ne s’enregistrait. 1982 : Invention de l’électro. Qui à l’époque désigne une branche du hip hop qui mettait en avant les boites à rythme, une ambiance funk, de jeux vidéo. Celui qui lance vraiment ça c’est Afrika Bambaataa avec « planet rock » produit par Arthur Baker. Jonction du hip hop et de la musique européenne. Phrase de derrière reprend le thème de « Trans.Europe Express » de Kraftwerk ! Groupe allemand référence du hip hop du Bronx. L’Emulator un des

référence reposait sur Aretha Franklin, James Brown, Jackson Five, donc des rythmes relativement rapides. Parallèlement, sur la cote EST des Etats Unis, se développent de plus en plus des « soirées underground » animés par des «DJ’s» à l’image d’ « Afrikaa Bambaata ». Ils se passionnent pour le « scratch » (bruitage permis par des allers retours du disque en vinyle sur la platine). Le « DJ » « scratche », mais parle (de manière scandée et au rythme de la musique) dans son micro, invitant les danseurs à

graffiti à la célèbre association du Hip-Hop Zulu Nation visant à proposer des alternatives pacifistes entres les différents gangs violents qui dirigeaient souvent les quartiers défavorisés de New-York. Elle a été créée et dirigée par le musicien Afrika Bambaataa. Durant les années 1975, les graffeurs deviennent de plus en plus compétitifs, on assiste même à des « guerres de style » et ils cherchent à taguer leurs noms au Bronx, à Queens, sur Staten Island, à Manhattan, et à Brooklyn. Le train et le

support musical pour la danse, c'est un tempo plus qu'une prise de parole. Enfin, l'idéologie dominante de ce premier mouvement importé des États-Unis est plutôt la non-violence, la dignité, la maîtrise de soi, à l'image du leader noir américain Afrika Bambaataa (Dufresne, 1991, 21sqq). Le mouvement s'essouffle cependant rapidement dans la seconde partie des années 80. Les médias qui avaient si fortement contribué à l'émergence de cette nouvelle culture juvénile semblent s'en désintéresser. Symbole

graffiti à la célèbre association du Hip-Hop Zulu Nation visant à proposer des alternatives pacifistes entres les différents gangs violents qui dirigeaient souvent les quartiers défavorisés de New-York. Elle a été créée et dirigée par le musicien Afrika Bambaataa. Durant les années 1975, les graffeurs deviennent de plus en plus compétitifs, on assiste même à des « guerres de style » et ils cherchent à taguer leurs noms au Bronx, à Queens, sur Staten Island, à Manhattan, et à Brooklyn. Le train et le

aspects sont composantes fondamentales du hip hop et ne peut se proclamer « hip-hop » que les personnes qui respectent ces principes. Le 12 novembre 1974, la Bronx River Organization devient Zulu Nation, Aka Kahyan Aasim prend le pseudonyme d'Afrika Bambaataa et inscrit son action dans une démarche de retour à la culture africaine. Il adopte la devise « Peace, Unity, Love and Having Fun » ou encore « Peace, Respect, Unity ». En 1979, c’est la consécration, le groupe Sugar Hill Gang commercialise le