Agenda 21 local

« développement durable » répondent souvent aux différents enjeux environnementaux : tri sélectif des déchets, mise en place d’espaces verts, développement des transports en commun, construction de bâtiments à basse consommation énergétique. Les agendas 21 locaux, qui se sont multiplié, sont d’ambition variable et inégale selon l’importance des initiatives et leur cohérence. Un développement durable suppose une arroche qui intègre tourtes les dimensions de l’espace urbain. Les écoquartiers en sont la

l’information. Méthodes d’accès : protocole d’interrogation de moteur de recherche. Critères d’efficience de l’information recueillieS2.4 Outils de communication électroniqueFonctionnalités et logiciels de travail collaboratif (gestionnaires de tâches, agendas partagés, plateformes collaboratives…)S2.5 Bases de données principes et fonctions (normes de construction des bases de données, standardisation des données). Système de gestion de bases de données (SGBD), fonctions de base (modèle relationnel, tables

critères des agendas 21. La loi du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement mentionne l’agenda 21 comme instrument possible de contractualisation avec les territoires sur la base des contrats « État-région ». Un premier sous indicateur mesure le taux d’acceptation des projets territoriaux au regard des critères des agendas 21. Un deuxième sous indicateur mesure le nombre total de projets territoriaux de développement durable et d’agendas 21 locaux reconnus. Ce

respectueux du développement durable A. La prise en compte du développement durable dans l’aménagement urbain • après le sommet de la Terre de Rio en 1992, l’Europe met en place une politique de développement durable en appliquant les agendas 21 à l’échelle locale. • mise en place d’un réseau de villes durables. Aujourd’hui, plus de 2500 collectivités se sont engagées à respecter la charte d’Alborg dont beaucoup de villes scandinaves comme Växjö en Suède et Stockholm • dans les pays développés

agriculteurs, cinq Instituts Techniques se sont associés pour conduire une étude portant très concrètement sur cinq territoires. Son objectif était d’identifier, par des enquêtes, d’une part les enjeux de chaque territoire et les demandes des acteurs locaux à l’agriculture, d’autre part l’opinion des agriculteurs sur les différentes fonctions et la diversité des pratiques qu’ils mettent en œuvre dans leurs exploitations. Cette confrontation des demandes sociales et du positionnement des agriculteurs

tour-opérateurs Les territoires Les associations Les labels 21 21 26 28 30 39 42 3. RECOMMANDATIONS D’ACTIONS Gouvernements, autorités locales et organisations professionnelles Entreprises du secteur touristique 48 48 54 4. QU’EST-CE QU’UN PRODUIT TOURISTIQUE DURABLE ? Conclusion 60 61 Auteur du guide : Ugo Toselli Directrice de publication : Dorothée Briaumont Août 2008 Agir ensemble pour un tourisme durable Comité 21 -2- Pourquoi ce guide ? Il aura fallu du temps avant

..................................... 15  2.6.  Analyse des coûts et budget........................................................................................................ 15  2.7.  Les plans de prévention ont-ils des liens avec les Agenda 21 des CG ? ................................... 16  2.8.  En quelques mots, qu’est-ce qu’une action d’exemplarité dans un plan de prévention des déchets ? ............................................................................................

énergies et des déplacements - mixité sociale - gestion des ressources, eau, végétal, paysages… (la nature dans la ville) - gestion de la vie collective, déchets, propreté… Les démarches locales pionnières - penser globalement, agir localement, l’exemplarité - les agendas 21 - les éco quartiers - l’appel à projet les politiques publiques - la loi SRU - les PLH - les politiques transport - la politique de la ville 1-2 Les objectifs du développement

impliquées dans les décisions prises par l’entreprise, comprenant en interne les dirigeants, les salariés et leurs représentants (syndicats) ; et en externe les sous-traitants, clients, fournisseurs, partenaires financiers, ONG, riverains, collectivités locales et autres organismes dits de « société civile ». Dans son livre vert sur la RSE, la Commission européenne proposait ainsi de définir les démarches de responsabilité sociétale comme recouvrant « ce que les entreprises réalisent volontairement dans

en faveur du développement durable. Ils interpellent les collectivités territoriales pour qu'elles déclinent les grands engagements de préservation de la planète, notamment au sein d'agendas 21 locaux 1994 : Signature de la Charte d'Aalborg. L'Union Européenne a traduit les recommandations de l'Agenda 21 de Rio auprès des villes européennes 1995 : L'organisation mondiale du commerce est créée (OMC) et marque la reconnaissance formelle des liens entre le commerce international, l'environnement