Agir Moralement Est Ce Nécessairement Lutter Contre

pratiques (Freeman, 1984): Actionnaires Employés Clients Partenaires Communautés locales L’environnement Pensée utilitariste (origines de la théorie: Jeremy BENTHAM et John Stuart MILL) : Doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être global de l'ensemble des individus. Une action qui est utile et éthique est celle qui donne le “plus grand bonheur” au plus grand nombre. « Agis toujours de manière à ce qu'il en résulte la plus grande quantité

pour toujours. Exemple du chrétien qui « n’oppose pas de résistance au mal » ou encore la parabole des deux joues, ce n’est pas réfutable scientifiquement et pourtant il est clair que ces préceptes évangéliques font l’apologie d’une éthique qui va contre la dignité. Suivant les convictions profondes de chaque être, l’une des éthiques prendra le visage du diable, l’autre celle du dieu et chaque individu aura à décider, de son propre point de vue, qui est dieu et qui est diable. La religion catholique

philosophes de Lumières (et Kant en partic) et dans leur observation de l’Histoire de tenir compte de ce que l’Histoire a de destructeur, négatif, particulier, polémique… tout en étant capable philosophiquement que par-delà ce désordre, cette guerre de tous contre tous (Hobbes) une raison est éventuellement à l’œuvre, qqch de paradoxal, pb philosophique pour tous ceux qui ont pu désespérer de ce qui arrive dans Histoire. [tout fini par disparaitre, que ordre devient désordre…. Tableau d’une perpétuelle opposition

lors d’un questionnement moral ; le devoir nous permet de résister à la contrainte- d’où viennent les valeurs morales ? ; le bien et le mal sont-ils des conventions ? : * ils ne sont que l’intériorisation des règles (ce qui est bien/mal) ; ce qui est contre la paix sociale = mal ; règles sociales = pouvoir vivre en cohésion dans la paix sociale- Platon ( Ve av JC) : * Anneau de Gygès : fable dans La République ; il s’y demande ce qu’est

psychologique des tendances naturelles de l’homme. Une fois établie la fin que l’homme doit vouloir, on peutdéterminer les principes qui lui permettent d’atteindre cette fin.S’il est difficile à présent d’accepter que Mill soit le promoteurd’une conception moralement exigeante de la liberté qui ne saurait seréduire à l’indépendance à l’égard d’obstacles extérieurs, c’est enraison d’une lecture rétrospective à partir des théories politiques quiont privilégié la liberté des Modernes ou la liberté négative, et

nécessaire de lutter contre des puissances trompeuses qui risquent à tout moment d’aveugler l’homme qui n’aurait plus pleinement conscience de tous ses actes, de leurs motivations et de leurs conséquences possibles, de sorte qu’elles l’empêcheraient d’accéder à une maîtrise de lui-même ? Partons du constat que l’on est parfois surpris par certaines réactions ou certains comportements que nous adoptons dans une situation donnée. Par exemple sous le coup de l’émotion, nous allons agir de façon désordonnée

sûreté du spectacle lointain de la masse confuse des ruines. Cependant, dans la mesure où l’histoire nous apparaît comme l’autel où ont été sacrifiés le bonheur des peuples, la sagesse des États et la vertu des indi­vidus, la question se pose nécessairement de savoir pour qui, à quelle fin ces immenses sacrifices ont été accomplis. C’est par cette question que nous commençâmes notre méditation. Or dans tous les faits trou­blants qui peuplent ce tableau, nous ne voulons voir que des moyens au service

le monde. Mais quelle est la nature de cette liberté à laquelle on aspire ? Elle consisterait à ne plus être empêché de faire ce que l’on veut. puisqu’elle désigne habituellement l’état de ce qui n’est pas soumis à une contrainte. Agir librement, ce serait donc agir sans contrainte. Mais peut-on se contenter de cette définition négative de la liberté ? Ma liberté dépend aussi de la nature de ce que je veux. Car si je veux tuer mon voisin suis-je vraiment un homme libre Dans ce cas n’est-on pas

temps sujet et objet de mon étude. En ce sens, je réalise donc un acte de dédoublement de moi-même pour pouvoir m’objectiver. C-à-d, pour pouvoir me définir ce pour quoi, je fixe nécessairement une représentation de moi-même (je me fige). Mais ce faisant, à chaque fois que j’essaye de me penser, je manque nécessairement l’acte par lequel je tente de me saisir que je réalise. Je sais bien que je suis moi, mais dans ce que je sais de moi, il manque qqch d’essentiel, c-à-d l’acte par lequel je peux

même mesure, par exemple plus on a soif, plus on souffre, plus le plaisir procuré par l'eau est intense. b) Les désirs naturels et nécessaires pour le bien-être du corps. Il s’agit de tout ce qui permet de préserver (protéger) le corps, de lutter contre le froid, les intempéries et les dangers. La vie simple et frugale du sage n’est pas la vie sauvage, elle suppose les premiers acquis de la civilisation ; le feu, les vêtements et l’abri. A l’exception de ces trois choses, tout ce que le progrès