Agriculture Et Déforestation

économiques ; est aggravée par la concentration agricole et la privatisation du Vivant ; peut être combattue efficacement par la souveraineté alimentaire des populations sur leurs territoires, pour éliminer la faim et la malnutrition, et par une agriculture naturelle, économe et respectueuse des écosystèmes, qui peut remplacer l’agriculture productiviste chimique ; nécessite que la place des paysans dans la société, comme gardiens de l’équilibre de la terre, soit revalorisée. Le libéralisme économique

d’abord nous préoccuper, ce sont les constats que nous observons avec certitude, pour lesquels il est impossible de mettre en doute la responsabilité de l’Homme : la désertification de certaines régions du fait de la déforestation; l’épuisement des terres agricoles à cause d’une agriculture exclusivement axée sur la productivité ; la pollution des sols et des eaux en raison des engrais et rejets industriels de toutes sortes ; la pollution de l’air liée à l’émission de gaz toxiques... Tous ces phénomènes

alimentaire encouragé par les gouvernements les plus puissants et par les organismes internationaux est celui de l’agriculture intensive, productiviste et à grande échelle, considérée comme étant la seule viable et adaptée à un monde globalisé. Les agricultures paysannes et vivrières sont éradiquées et avec elles 10 000 ans de cultures et de savoir-faire traditionnels. Une exploitation agricole disparaît toutes les vingt minutes en France et en moins d’un siècle, 3% d’exploitants agricoles ont remplacé

natalité d’une population. SECONDE / GEOGRAPHIE. Comment nourrir près de 7 milliards d'hommes? II. Comment nourrir cette population croissante ?  Étude de cas: Mexique, nourrir une population plus D. Le passage à une nombreuse pages 64 et 65. agriculture intensive. E. F. 1. Les différents moyens d’accroître la production agricole. 2. L’agriculture productiviste des pays développés. 3. L’application de ces méthodes dans les pays du sud : l’exemple de la révolution verte.  La révolution

paraissaient jusque alors en mesure de faire disparaître la faim dans le monde. II) Comment assurer la sécurité alimentaire ? 1) Par l’accroissement des surfaces cultivées ? La conquête de nouvelles terres agricoles par le défrichement (ou déforestation, destruction de la forêt) est la solution la plus ancienne pour augmenter la production agricole, mise en œuvre par exemple en Europe pendant la croissance démographique du Moyen-Age. Dans les pays du Sud, l’ouverture de fronts pionniers (défrichement

l’enjeu environnemental. Notre monde connaît une explosion démographique et d’après les prévisions le nombre de terriens passerait de 6 milliards en 2000 à 9 milliards en 2050. Dans ce contexte, on peut s’interroger sur la capacité de notre agriculture à nourrir chaque individu en quantité suffisante. Cet enjeu n’est pas récent mais avec ce poids de plus en plus important de la démographie il devient primordial d’y répondre au plus vite. En effet la sous-alimentation concerne 842 millions de personnes

coins du globe à une dégradation des sols diminuant cette production agricole. Le recours à l’engrais a entrainé une pollution dangereuse pour la santé et pour les écosystèmes. Pour cité l’Afrique, une nouvelle méthode apparait afin de faire une agriculture arrosée avec l’eau de pluie pour lutter contre la sécheresse. L’intégrité des écosystèmes dans le monde se dégrade un peu partout, réduisant la capacité de produire de l’eau douce potable. Tout cela est lié à la pollution, la ponction excessive

donc un enjeu majeur. L'alimentation est un enjeu important du D.D. Les agricultures les plus pratiquées (productivistes ou vivrières) présentent chacune des limites en termes de santé (OGM ?) et de protection de la nature (intrants, culture sur brûlis). => L'agriculture peut-elle répondre à la croissance des besoins ? => L'agriculture peut-elle assurer le défi de la sécurité alimentaire ? => Une agriculture durable est-elle possible et généralisable à l'ensemble de la planète ?

kg (-8,4 %) entre 1996 et 2008 et en aurait diminué l’impact environnemental de 16,3 % (16). Moins d’herbicides Depuis l’arrivée du soja tolérant à un herbicide, les États-Unis ont observé une légère baisse d’utilisation des herbicides en agriculture (1, 7). Entre 1995 et 1998, les producteurs américains de soja tolérant à un herbicide auraient réduit de 10 % en moyenne la quantité d’herbicides utilisés dans leurs champs (4, 5, 6, 17) .En 2005, la culture de soja tolérant au glyphosate nécessiterait

est-ce vraiment économique et bon pour l'environnement ? Cela peut être économique et bon pour l'environnement certe mais il y a plusieur problème à ça par exemple niveau agriculture on a beaucoup de mal à nourrir 7 milliards d'homme , pourquoi consacré une partie de l'alimentation dans l'essence ? Il y a aussi la déforéstation car il n'y pas asser de terre cultivable . Le 02/02 : Le marché automobile français : chute spectaculaire en janvier Cela ne me choque pas trop je m'y attendais personnelement