Agriculture Ivoirienne

Fluctuations et Crises Les fluctuations de la croissance et les crises économiques : faits stylisés Faits stylisé est un fait qui est présenté de telle sorte qu’il puisse donner lieu à une théorie économique. Question à se poser : définir et distinguer les causes de la dynamique des crises. Analyser les mécanismes de sortie de crises, la manière dont les grandes variables éco (prix, la production, la consommation, les salaires, etc.) s’ajustent pour permettre la sortie de crise. Crise :

continu de croitre. b) …Mais inégale selon les pays. On distingue 3 ensembles :  Les PDEM (Japon, Etats-Unis)  Les PEP (pays communistes)  Les PVD (Afrique etc.) La révolution verte, touche des pays tels que l’Inde, qui intensifie son agriculture pour augmenter sa croissance. c) Les facteurs et les acteurs de la croissance. BLOCK « DEMOCRATIQUE » 1er facteur Facteur humain (baby boom dans les PDEM et explosion démographique dans les pays en voie de développement). 2ème facteur L’état

les mutations du monde rural de 45 à 75 LES MUTATIONS DU MONDE RURAL (1945-1975) Paysannerie = replié sur lui même avant 1945 1940-45 : 1/3de la pop, monde agricole, 7 à 8 millions vivent en zone rurale. Prise de conscience d’une nécessité de transformation à partir des années 50. Modernisation de la France rurale après 1945 Progrès techniques : passage des fermes traditionnelles aux grosses exploitations.Engrais, aliments pour le bétail, nouvelles variétés des plans, fort développement

I – Les aléas de la croissance A) La croissance des productions Anciennes et nouvelles puissances industrielles Amorcée en Grande-Bretagne à la fin du 18ème siècle, l’industrialisation se diffuse en France et en Europe de l’ouest à partir de 1820. en 1851, l’exposition universelle de Londres la supériorité industrielle de la Grande-Bretagne. Un demi-siècle plus tard, cette supériorité est contestée par de nouvelles puissances industrielles comme les Etats-Unis et l’Allemagne

évaluer le degré d’ « agricolité » d’un espace? On fera entrer dans la catégorie « espace peu ou pas agricole » les portions de territoire dont l’activité agricole n’est pas l’activité dominante, mais aussi celles qui connaissent une crise de leur agriculture au point que cette dernière ne suffit plus pour assurer la survie économique de la région, sans pour autant qu’une reconversion soit en cours. Il s’agit donc d’espaces à la situation économique contrastée : espaces en crise, espaces anciennement

céréales et une montée des prix qui attise les tensions sociales. Identification de crises de ce type jusqu'au milieu du 19ème siècle (1829 – 1831 en France). Les crises agraires seraient caractéristiques d'économies pré-industrielles et renvoie à une agriculture faiblement productive (trappe malthusienne). Discussions autour du caractère purement exogène de cette crise (Rosier – Dockes) : - Il n’y a pas simplement les perturbations climatiques mais aussi le fonctionnement de l’éco → quand on est dans

frères et réciproquement avec maris des sœurs) filiation par les femmes | | SAUVAGERIE SUPÉRIEURE | arc et flèche (silex) chasse cannibalisme | apparition du clan ou « gens » (groupe de parenté étendue) | | BARBARIE INFÉRIEURE | poterie agriculture (céréales) outils de pierre tissage manuel | tribus et confédérations de tribus – famille syndiasmienne, c’est à dire mariage monogamique plus ou moins durable d’un couple vivant en communauté avec d’autres | Iroquois | BARBARIE MOYENNE |

« nourrir les hommes » et celui de « l'eau entre abondance et rareté » (l'agriculture représente 70% de la consommation d'eau dans le monde). 3 - Les contrastes de productivité Il faudrait que les élèves prennent conscience qu'il n'y a pas une agriculture mondiale, même si les productions sont les mêmes d'un bout de la Terre à l'autre. Les contrastes de productivité par hectare sont déjà forts (un rapport de 1 à 25 entre un hectare au Sahel - 5 quintaux - et dans les plaines du sud-Vendée - 125 quintaux-)

certainement les clés permettant d’atteindre ce triple défi de l’alimentation, de l’énergie et du climat. Entre productivité agricole et production biologique, existent de vastes possibilités (développement durable, signes de qualité et labels, agriculture raisonnée, sécurité alimentaire…). Dans le même temps, une traque au gâchis à tous les niveaux doit s’organiser. En Afrique, entre 15% à 35% des produits alimentaires sont perdus dès les champs de cultures. Dans les pays développés, 14% à 30%

I. Quelles agricultures durables (cours) Etape 2 : quelles agricultures durables ailleurs ? Est-il possible de vaincre la faim tt en préservant l’environnement et la qualité des produits agricoles ? Une remise en cause des systèmes de production agricole, de l’organisation des échanges, de notre propre consommation de produits alimentaires. * Une révolution biotechnologique. En fait, l’agriculture productiviste a montré ses limites : certes de forts rendements mais de lourdes conséquences