Agriculture sur brûlis

avec un peu de poterie. ¤ Le passage à la période suivante, YAYOÏ (-300 à +300) n’est pas aussi total qu’on pourrait le croire. Il semble que l’arrivée de nouvelles populations porteuses de nouvelles techniques soit la cause de ce passage : agriculture, riziculture inondée, usage de bacs (navires) pontés (on peut aller pêcher en haute mer.) ⋄ Sédentarisation, constitution de grosses bourgades avec apparition de différenciations sociales. Il y aura de petites entités en lutte les unes contres

 des denrées alimentaires et non  alimentaires.  Ces  quelques  mots  de  définition  insistent  sur  deux  points  fondamentaux  qui  distinguent l’agriculture de toute autre activité économique  ‐ D’une  part,  l’agriculture,  qu’elle  soit  archaïque  et  pratiquée  sur  brulis  dans  les  clairières  de  la  forêt  gabonaise  ou  qu’elle  s’exprime  avec  des  technologies  de  pointe  dans  les  serres  des  polders  de  Hollande  a  pour  finalité de travailler sur des « matériaux » vivants. Ainsi, l’activité agricole 

se caractérise par une richesse et une diversité biologique importantes (232 espèces de mammifères, 756 espèces d’oiseaux…). Toutefois, la croissance de la population de 3,5% par an, l'expansion de l'agriculture, la déforestation, l'agriculture sur brûlis, le braconnage et l'abattage des arbres pour le charbon de bois ont entraîné la destruction des habitats naturels, l'érosion des sols et la raréfaction de la faune. L’utilisation de produits toxiques pour la pêche continentale a comme conséquence

a été complètement inondé par d’abondantes pluies laissant des milliers de malgaches sinistrés, sans logement… Ensuite, la déforestation est un problème important, surtout dans le nord du pays. Cela est une conséquence dramatique de la culture sur brulis qui détériore peu à peu les sols afin de les rendre inutilisables pour quelque activité agricole. Enfin, le pays est touché dans de nombreux endroits par des réseaux d’assainissement et de traitement de l’eau assez précaires. La pollution des eaux

de 2 charrues, 1 semoir, 3 houes. -Dans la Vallée et dans les NIAYES, il s’agit d’exploitations en irrigué ou sur aménagement exploitants au moins 9hectares avec 6 actifs. Toutes les exploitations appartenant à ce type intègrent très fortement agriculture et èlevage.Bien qu’elles dégagent des surplus, elles ont également des activités non agricoles qui leur donne une marge de manœuvre permettant de couvrir les risques(une campagne agricole ratée),de faire des choix(ne pas être obligé de liquider

situés entre i 600 et 2 000 m dans les hautes vallées du Kratke Range, chaîne de montagnes atteignant jusqu'à 3 720 m. La végétation est celle de la rainforest, coupée de larges étendues de savanes herbeuses (kunaï), conséquence de l'agr iculture sur brûlis. Les pluies sont très abondantes, les variations saisonnières assez accusées. Chasse et colleete jouent un rôle minime dans l'alimentation mais ont une grande importance cérémonielle. Jusque vers 1940, l'herminette de pierre polie, le bâton à fouir

Les pluies sont irrégulières et dans certaines régions d’Afrique, quasiment inexistantes. Mais le vrai danger est l’avancée du désert. La forêt qui s’étend sur seulement 10% du continent, est en péril. Le principal coupable étant les cultures sur brûlis qui déciment les arbres. Conséquence : le désert s’agrandit progressivement au détriment de la végétation. Population : Au Maghreb et dans la région de l’Atlas, y compris au Sahara, on note la présence du peuple berbère qui est la plus ancienne

prend appui sur les problématiques indiquées. Pour chaque chapitre, le manuel propose deux études de cas au choix. Nourrir les hommes • Croissance des populations, croissance des productions. • Assurer la sécurité alimentaire. • Développer des agricultures durables ? L’eau, ressource essentielle L’enjeu énergétique Chapitre 4 Étude de cas sur la Californie p. 116 ou la Russie p. 120 X Contexte mondial p. 126 et cours 1 p. 134 X Contexte mondial p. 128 et cours 2 p. 135 X Contexte mondial p. 130

serre et autres polluants potentiels. Une bonne gestion des terres doit non seulement répondre aux besoins immédiats de l’agriculteur mais également être acceptable pour l’ensemble de la communauté. Pour les cultivateurs qui ne pratiquent pas une agriculture de subsistance, le système doit également être économiquement viable de manière à leur permettre de poursuivre une bonne exploitation et d’améliorer le niveau de vie de leur famille. Les problèmes généraux de gestion durable des terres sont examinés

culture, sports et loisirs ................................................................................................. 19 CHAPITRE V : ACTIVITES ECONOMIQUES .......................................................................... 19 5.1 Agriculture .............................................................................................................................. 19 5.2 Elevage ......................................................................................................