Agriculture Vivrière

mutations, mais c’est au sortir de la deuxième guerre mondiale que le primaire entame une révolution avec l’essor de la mécanisation et la généralisation des engrais et des pesticides: dans les pays développés capitalistes, le choix est fait d’une agriculture productiviste et intensive. Il y a un peu plus de trente ans, de nombreux progrès ont commencé: toutes les exploitations ont été équipées de tracteurs diesel et de moyens pour entretenir et cultiver les terres. La main-d’œuvre a beaucoup diminuée

une politique de développement largement fondée sur l’activité touristique, a souhaité aménager les marges sahariennes, en s’appuyant à Tozeur sur la palmeraie. Les trois étapes de l’oasis ces vingt dernières années, à savoir la période agricole vivrière, puis l’arrivée du tourisme de masse et enfin la volonté récente d’attirer une clientèle haut de gamme, sont étudiées et évaluées tour à tour en termes de développement durable, en refusant de céder à l’antienne du « c’était mieux avant » ou au fantasme

appauvris… 2. Processus de segmentation (2) Des structures foncières qui évoluent de manière complexe, et une société qui devient composite… Au-delà du dualisme, une segmentation complexe - Agriculture vivrière de subsistance - Agriculture familiale marchande - Agriculture commerciale orientée vers le mar local - Agriculture commerciale orientée vers l’exportation Désagrégation des unités de production (régime de succession) et fragmentation du tissu rural, ce qui conduit à: aug. micro-exploitations, réd

entrepris avec succès au lendemain de la Seconde Guerre mondiale : protéger leurs agricultures vivrières dans le cadre de marchés communs régionaux par le biais de droits de douanes conséquents. D'où la nécessité de ne plus leur exporter à vil prix nos surplus céréaliers. Il nous faut réorienter nos agricultures vers des productions sans doute plus artisanales mais destinées à nos marchés intérieurs. La défense d'une agriculture plus respectueuse de l'environnement et de la qualité de nos aliments en Europe

participative et horizontale, favorisant l'émergence de consensus.  pour une économie à dimension humaine privilégiant la transformation artisanale, la proximité, l’autonomie, l’échange, la mutualisation des pratiques et des savoir-faire.  pour une agriculture respectant les équilibres naturels et replaçant les paysans au cœur du système de production, un modèle agricole à même de maintenir un tissu rural vivant et d’assurer la souveraineté alimentaire des territoires.  pour des activités humaines

évidemment sur le prix du transport, mais aussi sur celui des engrais, de l'irrigation par pompage et de la transformation agroalimentaire. Elle se répercute ainsi également sur le prix des produits agricoles. Il s’agit donc aujourd’hui d'inventer une agriculture et un système de transformation et de commercialisation agroalimentaire moins énergétivores. C’est un enjeu majeur. Si les pays du Sud utilisent moins d'énergie fossile pour leur production agricole, ils subissent aussi durement la hausse du prix

ne peut pas travailler la terre, et une autre humide où l'on peut travailler la terre). Puis, dans le village de Mamadou, on cultive les arachides et le coton qui sont des cultures commerciales et le mil et le sorgho qui sont des cultures vivrières pendant la saison humides. Il font donc de la polycultures (fait de faire plusieurs cultures en même temps) Après, leurs maisons sont faites en torchis. A proximité, il y a des jardins où sont engraissés des déchets ménagers. Plus loin, des

exploiter les produits les plus rentables. -Anglais avec l’Afrique du Sud pour ses diamants et son charbon. -Français avec l’Indochine pour l’hévéa. Les petites exploitations disparaissent, les indigènes devenant salariés. On passe d’une agriculture vivrière à une d’exploitation. Les produits qu’ils consomment sont devenus chers car ils sont importés. Les européens ne se mélangent pas avec les indigènes, la ségrégation est non seulement raciale mais aussi sociale (les bantoustans sont les quartiers

le tourisme au détriment de certains secteurs ouvriers. Mais il ne faut pas oublier un autre secteur mis de coté au détriment du tourisme : l’agriculture. Elle aussi n’échappe pas à l’évolution que connait la montagne et se transforme passant de vivrière (le payant ne produit que ce dont il a besoin pour vivre) à commercial (il ne produit plus pour lui mais vend les produits qu’il fabrique et achète ce dont il a besoin avec les profits qu’il en tire). Les techniques elles aussi évoluent ; autrefois

détriment des  cultures vivrières;  ­ absence de capitaux (argent), dépendance technologique, endettement, et choix  politiques peu pertinents de certains dirigeants.    Face à cette situation de sous­développement, les états optent pour deux modèles de  stratégies de développement économique qui vont être efficace jusque dans les 70’s:    ­ Économie de type capitaliste: le modèle de développement libéral (ouverture aux  capitaux et entreprises étrangères, agriculture commerciale et prédominante du