Ah Cruel Tu M As Trop Entendue

sois tranquille, je vais la soigner tant, tant que je ne la casserai jamais. Je vais demander à maman d’inviter Camille et Madeleine à déjeuner avec nous, pour leur faire voir ma jolie poupée. PAUL. – Elles te la casseront. SOPHIE. – Non, elles sont trop bonnes pour me faire de la peine en cassant ma pauvre poupée. Le lendemain, Sophie peigna et habilla sa poupée, parce que ses amies devaient venir. En l’habillant, elle la trouva pâle. « Peut-être, dit8 elle, a-t-elle froid, ses pieds sont glacés

sois tranquille, je vais la soigner tant, tant que je ne la casserai jamais. Je vais demander à maman d’inviter Camille et Madeleine à déjeuner avec nous, pour leur faire voir ma jolie poupée. PAUL. – Elles te la casseront. SOPHIE. – Non, elles sont trop bonnes pour me faire de la peine en cassant ma pauvre poupée. Le lendemain, Sophie peigna et habilla sa poupée, parce que ses amies devaient venir. En l’habillant, elle la trouva pâle. « Peut-être, dit-elle, a-t-elle froid, ses pieds sont glacés. Je

charmes, du don Juan, comte de Ravila.La mise en scene est preparee comme un lieu ultime de seduction et de jugement, comme devoilement de la verite, derniere verite avant l'Enfer, ou le vieillissement qui mene en fin du compte a la Mort. Une seduction cruelle, apogee d'une vie qui se termine en mort. Et il raconte a la demande de l'une de ses douze juges splendides de l'Enfer...une anecdote grotesque cocasse, horrible, religieuse, seduisante, de son pouvoir de seduire qu'il a exerce sur l' une de ses victimes

scarabée qu’il croyait tout à fait nouveau et sur lequel il désirait avoir mon opinion le lendemain matin. – Et pourquoi pas ce soir ? demandai-je en me frottant les mains devant la flamme, et envoyant mentalement au diable toute la race des scarabées. – Ah ! si j’avais seulement su que vous étiez ici, dit Legrand ; mais il y a si longtemps que je ne vous ai vu ! Et comment pouvais-je deviner que vous me rendriez visite justement cette nuit ? En revenant au logis, j’ai rencontré le lieutenant G… , du fort

que j'ai rencontré en ex ; indigence crème , et j'ai grandi à servir mes enfants . Ma femme , qui n'était pas peu fier de ces deux enfants , m'a appelé tous les jours pour retourner dans notre patrie . ¬ je me sentais en dépit de moi-même , oui ? trop tôt . Nous embarquons ¬ camos. - étaient Epídoro une ligue , avant la mer , toujours docile aux vents , nous avions nous menacés d' un tragique accident , mais ne gardons pas mu de temps cho ¬ espoir . Le manque de clarté que nous pres de taba le ciel

il ignorait que (1) (2) IMHOULCTION IS II nimnit la bonne chère, ses aises, et il est inutile d'insister sur sa coniplexion voluptueuse. lia donné assez de preuves de son humanité sous la Terreur pour qu'on puisse affirmer qu'il était moins cruel que ne le laisseraient entendre certaines de ses actions, grossies et dénaturées, et qu'il ne parait à la lec- On ture de ses ouvrages. sait qu'il n'a jamais été fou ni ma- niaque. Les récits de Jules Janin, l'anecdote rapportée par Victorien

et des comparaisons peu valorisantes : la jeune femme devient le « joujou » de son âme et sa présence et comme du « vin délicieux », ce qui nous laisse deviner le penchant alcoolique du personnage. De plus, il conserve ses expressions populaires : « Ah que nenni ! » ou encore « Ahi, ahi » alors que Lisette, servante de Silvia, sait rester digne et son langage, bien que moins recherché que sa maîtresse, est tout de même meilleur que celui d’ Arlequin Le clivage entre les deux classes sociales est donc

4 en vous disant : Peut-être ceci va-t-il m'amuser. Après avoir lu les secrètes infortunes du père Goriot, vous dînerez avec appétit en mettant votre insensibilité sur le compte de l'auteur, en le taxant d'exagération, en l'accusant de poésie. Ah ! sachez-le : ce drame n'est ni une fiction, ni un roman. All is true , il est si véritable, que chacun peut en reconnaître les éléments chez soi, dans son cœur peut-être. La maison où s'exploite la pension bourgeoise appartient à madame Vauquer. Elle

CELUI DE SATURNE Après que Son Excellence se fut couchée, et que le secrétaire se fut approché de son visage: « Il faut avouer, dit Micromégas, que la nature est bien variée. - Oui, dit le Saturnien ; la nature est comme un parterre dont les fleurs... - Ah ! dit l'autre, laissez là votre parterre. - Elle est, reprit le secrétaire, comme une assemblée de blondes et de brunes, dont les parures... - Eh ! qu'ai-je à faire de vos brunes ? dit l'autre. - Elle est donc comme une galerie de peintures dont les

m'accueillir je n'ai eu que pour seule visite les célèbres giboulées du même mois. Je n'ai jamais demandé que ce soit l'enjouement lors de ma naissance, mais un minimum de complaisance des autres envers celle qui m'a donné la vie n'aurait pas été de trop ! La seule marque de reconnaissance, si j'ose dire, viens de la part de l'obstétricienne qui poussa un cri de soulagement une fois qu'elle avait fini de m'extirper de mon cocon douillet. Contrairement au brouillon qui se nomme « frère » je n'ai pas