Ah ! si j'étais riche

de Ruy Blas et de Gudiel, qui porte une cassette et divers paquets qu'on dirait disposés pour un voyage. 1 Don Salluste est vêtu de velours noir, costume de cour du temps de Charles II. La toison d'or au cou. Pardessus l'habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d'or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout Il galonné, rouge et or.

représente comme si l'on parlait d'Adam et Ève. Eluard montre la beauté d'une femme à travers son regard, ses yeux ce qui est assez unique et Lerutan lui vise une femme en particulier qui est en réalité un tableau, La Joconde, qu'il a du mal à cerner et ceci est intriguant. Pandora d'Alexandre Cabanel 1873 «si j'étais roi, je donnerais l'empire,Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genouxEt ma couronne d'or (...)» Victor Hugo, A une femme A une femme Enfant ! si j'étais roi, je donnerais

Une Saison en enfer 1 Poetes.com > Textes à télécharger Une Saison en enferUne Saison en enferUne Saison en enferUne Saison en enfer par Arthur Rimbaud **************** « Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. -Et je l'ai trouvée amère. -Et je l'ai injuriée. Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine

Poetes.com > Textes à télécharger Une Saison en enfer par Arthur Rimbaud **** « Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. -Et je l'ai trouvée amère. -Et je l'ai injuriée. Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié! Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute

voir si elle le serait. Elle l’a été. L’auteur aujourd’hui peut démasquer l’idée politique, l’idée sociale, qu’il avait voulu populariser sous cette innocente et candide forme littéraire. Il déclare donc, ou plutôt il avoue hautement que Le Dernier Jour d’un Condamné n’est autre chose qu’un plaidoyer, direct ou indirect, comme on voudra, pour l’abolition de la peine de mort. Ce qu’il a eu dessein de faire, ce qu’il voudrait que la postérité vît dans son œuvre, si jamais elle s’occupe de si peu, ce

ces filles mariées mais il possédait d’abord la plus belle chambre du premier étage et pouvait se permettre de se faire plaisir sans restriction. D’ailleurs Madame de l’Ambermesnil le qualifiait d’homme qui pouvait combler une femme sans problème : “ Ah ! ma chère dame, un homme sain comme mon oeil, lui disait la veuve, un homme parfaitement conservé, et qui peu donner encore bien de l’agrément à une femme. (p.45) Evidement, l’amusement que Goriot pouvait apporter à une femme venait de son argent

suivi de Ruy Blas et de Gudiel, qui porte une cassette et divers paquets qu'on dirait disposés pour un voyage. Don Salluste est vêtu de velours noir, costume de cour du temps de Charles II. La toison d'or au cou. Pardessus l'habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d'or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête

suivi de Ruy Blas et de Gudiel, qui porte une cassette et divers paquets qu’on dirait disposés pour un voyage. Don Salluste est vêtu de velours noir, costume de cour du temps de Charles II. La toison d’or au cou. Par-dessus l’habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d’or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête

SCENE PREMIERE DORANTE, ARLEQUIN ARLEQUIN, introduisant Dorante tardera pas à descendre. DORANTE __ __ Ayez la bonté, Monsieur, de vous asseoir un moment dans cette salle ; Mademoiselle Marton est chez Madame et ne Je vous suis obligé. Si vous voulez, je vous tiendrai compagnie, de peur que l'ennui ne ARLEQUIN DORANTE __ vous prenne ; nous discourrons en attendant. __ Je vous remercie ; ce n'est pas la peine, ne vous détournez point. Voyez, Monsieur, n'en faites pas de façon

le lecteur à être convaincu de la réalité de cette histoire, dont tous les personnages, à l'exception de l'héroïne, vivent encore. D'ailleurs, il y a à Paris des témoins de la plupart des faits que je recueille ici, et qui pourraient les confirmer, si mon témoignage ne suffisait pas. Par une circonstance particulière, seul je pouvais les écrire, car seul j'ai été le confident des derniers détails sans lesquels il eût été impossible de faire un récit intéressant et complet. Or, voici comment ces détails