Ahimsa

la “marche du sel” (faite par Mahatma Gandhi en 1930 pour libérer l'Inde du domaine britannique), ou bien celle de Martin Luther King pour la fin des loi discriminants envers les noirs au U.S.A. La non-violence est aussi connue sous le mot indien “ahimsâ” (a; “négation” et himsâ; “violence”). Motivation Nous avons choisi ce sujet parce que nous voulions montrer à tout le monde qu’il y a aussi des autres méthodes, alternatives à la violence à laquelle nous sommes tous habitués. En effet la non-violence

hindous, le dharma est essentiel à la préservation du bon fonctionnement de l’Univers. » Dans le dharma, il y a deux types de devoirs : les devoirs communs à tous et les devoirs particuliers à chaque individu. 1) LES DEVOIRS COMMUNS À TOUS * AHIMSA – non-violence, non injure, tolérance et compassion. Le premier devoir incite tout hindou à renoncer à l’intention de souhaiter ou de faire du mal à quelqu’un. L’Ahimsa, par sa pratique, permet le développement de la tolérance et de la compassion

et potentialité, l’absolu) du microcosme et du macrocosme. BRAHMA ou BRAHMAN : « C’est l’âme du monde » ; NETI NETI : expression = ni comme ceci ni comme cela = dieu est tout, et tout est dieu. AHIMSA : la doctrine AHIMSA - signifie non violence à aucun objet vivant, car tout objet est sacré. AHIMSA : la non violence se trouve dans le JAÏSME. VII. CONCEPTE FONDAMENTAUX DE LA RELIGION Dans l’hindouisme nous pouvons constater que pas d’éléments forme celui-ci : 1. religions primitives tribales

la matinée (avec l’aide de quelques thés ou cafés…). Une autre notion de l’amour de soi tempéré et accepté est évoquée à propos de ce qu’on appelle en sanskrit ahimsa, le premier des Yamas1 dans l’aspect spirituel du Hatha-Yoga2. Ce terme ahimsa se traduit souvent par « non-violence » et fut immortalisé par le Mahâtma Gandhi. Mais ahimsa signifie aussi « non-nuisance », à autrui et à soimême, précepte que doivent suivre nombre de professionnels en relation constante avec les autres, comme les enseignants

Vedânta. Chacune de ces dernières a interprété à sa façon les textes et a produit sa propre série de sous-commentaires — tout en prétendant être seule fidèle à l'original. Le « Jaïnisme » est une philosophie indienne basée sur la non-violence (ahimsa) ou respect de toute vie (humaine, animale, végétale) et sur la tolérance (anekantavada) ou reconnaissance de la multiplicité des points de vue. Il implique trois grands principes que sont : * la vision juste des réalités (tattvas), *

écoles nāstika On distingue traditionnellement trois écoles non orthodoxes que sont le jaïnisme, le bouddhisme et le Cārvāka. Le jaïnisme Article détaillé : Jaïnisme. Le « Jaïnisme » est une philosophie indienne basée sur la non-violence (ahimsa) ou respect de toute vie (humaine, animale, végétale) et sur la tolérance (anekantavada) ou reconnaissance de la multiplicité des points de vue. Il implique trois grands principes que sont : la vision juste des réalités (tattvas), la conduite

Vedânta. Chacune de ces dernières a interprété à sa façon les textes et a produit sa propre série de sous-commentaires — tout en prétendant être seule fidèle à l'original. Le « Jaïnisme » est une philosophie indienne basée sur la non-violence (ahimsa) ou respect de toute vie (humaine, animale, végétale) et sur la tolérance (anekantavada) ou reconnaissance de la multiplicité des points de vue. Il implique trois grands principes que sont : la vision juste des réalités (tattvas), la conduite

du Vedânta. Chacune de ces dernières a interprété à sa façon les textes et a produit sa propre série de sous-commentaires — tout en prétendant être seule fidèle à l'original. Le « Jaïnisme » est une philosophie indienne basée sur la non-violence (ahimsa) ou respect de toute vie (humaine, animale, végétale) et sur la tolérance (anekantavada) ou reconnaissance de la multiplicité des points de vue. Il implique trois grands principes que sont : * la vision juste des réalités (tattvas), * la

encore les poètesSeyhan Kurt, Kenneth White143. Jim Harrison revendique également la paternité littéraire de Walden144. Gandhi a lu, en prison, le livreLa Désobéissance civile de Thoreau et en a tiré l'idée de résister par la non-violence ou « ahimsa » en hindi. Walden a également directement inspiré plusieurs œuvres littéraires. En 1948, le psychologue béhavioriste Burrhus Frederic Skinner écrit un roman à thèse, Walden Two dans lequel il imagine une communauté expérimentale utopique (experimental

Qaeda[2]; terrorist[1]; attacks[1]; This article also triggered the following alerts: Conflict; Abdul Ghaffar Khan was a man of peace. He approached Islam in the hope of finding a complementary message to Gandhi’s interpretation of Hinduism as Ram Raj and ahimsa (nonviolence) and he found it A question that keeps popping up in discussions on violence, terrorism and the Taliban is the following: is the use of force and violence intrinsic to Pakhtun culture? Superficially it seems that it must be so because