Aimer Lire

explore les thèmes de l'amour, de la religion, de l'hypocrisie sociale et de la tragédie. Elle est considérée comme l'une des plus grandes pièces de théâtre romantique de l'histoire de la littérature française, elle suit ce principe d'un théâtre à lire plutôt qu'à mettre en scène. Musset est donc l'un des premiers à poser l'idée d'un théâtre qui serait indépendant du spectacle. Cela va lui permettre de s'affranchir des contraintes de la scène. On ne badine pas avec l'amourLa pièce donne d’emblée

rappelle de mon nom ; c’est fou je t’assure. Aimer autant, sans pouvoir partager ces sentiments ? Et puis dit moi, toi qu’est ce que t’en pense de tous sa, dit moi si j’ai une chance avec toi, ne serait-ce qu’une petite ? Dit moi le, tu sais sa m’aideras. Et puis ton regard, je sais pas il à quelque chose de particulier, sa me fait quelque chose. Tu sais que j’aimerais vraiment que tu saches tout sa mais j’aurais jamais le courage de te dire ou de te faire lire ne serait-ce qu’une seul de ces phrase,

loin de m’attendre, Et je me croyais mort à toutes les amours ; Mais j’ai vu ton regard spirituel & tendre ; Et tout m’a bien prouvé, dans les instants trop courts Passés auprès de toi, blonde soeur d’Ophélie, Que je pouvais aimer encore, & pour toujours. Et je ne me dis pas que c’est une folie, Que j’avais dix-sept ans le jour où tu naquis ; Car le triste passé, je l’efface & l’oublie, Et tu ne peux savoir à quel point c’est exquis ! François

qui atteint une portée universelle. Ce que j’ai aimé : - Le magnifique hommage rendu à sa mère et aux mères en général. C’est un roman émouvant que chaque enfant aurait aimé écrire pour sa propre mère. Un roman que vous devez lire… « Je vous salue, mères pleines de grâce, saintes sentinelles, courage et bonté, chaleur et regard d'amour, vous aux yeux qui devinent, vous qui savez tout de suite si les méchants nous ont fait de la peine, vous, seuls humains en qui nous

CYRANO, se rapprochant de Roxane et prenant son souffle  : Roxane, je vous connais depuis maintenant de longs mois, et depuis le premier jour où je vous ai rencontré, je n’ai jamais cessé de penser à vous et de vous aimer en secret par crainte que vous ne puissiez jamais m’aimer à cause de mon physique. Chaque seconde mon cœur bat pour vous, chaque minute mon cœur palpite pour vous, chaque heure mon cœur s’emballe en pensant à vous, chaque heure mon cœur ne bat que

Propositions d’exercices de création poétique « Léo Lionni, l’émerveilleur » in Lire écrire à l’école, 03 / 1999, pp. 51-56 Pistes de travail en classe et atelier d’écriture à partir de l’œuvre de Lionni, écrivain et illustrateur d’albums de jeunesse. Poética : pour un univers imaginaire.- Sombrero Productions, 1997.- 1 vidéocassette VHS, 73 mn : coul., SECAM, sonore Choix de trente poèmes du monde entier et de tous les temps, mis en images par des plasticiens et des vidéastes dans des courts

la violence, de la surenchère. Le vrai pardon ne s’enracine pas dans un sentiment, mais dans une décision de la volonté qui entend surmonter le désir instinctif de vengeance. Pardonner, c’est aimer. L’amour pardonne tout, supporte tout, espère tout. Par-donner, c’est donner au-delà, aimer au-delà, par-dessus tout, malgré tout le mal qu’on nous a fait. Le pardon est le signe que l’amour peut triompher de la mort. Il est le fruit de l’amour et de l’humilité. En effet, il faut beaucoup

dernier pour la jeune femme. Roxane déclare aimer Christian plus pour les mots qu’il lui écrit que pour sa beauté, et Christian comprend alors que, même si elle ne le sait pas, elle est amoureuse de Cyrano. Christian, malgré toute la tristesse qu’il ressent quand il comprend que Roxane ne l’aime pas, veut dire la vérité à Roxane et lui demander de choisir entre lui et Cyrano, alors même qu’il sait qu’elle choisira Cyrano pour son esprit. Il veut être aimer pour celui qu’il est et non pas pour celui

m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Jean-Pierre Claris de FLORIAN   (1755-1794) Le voyage Partir avant le jour, à tâtons, sans voir goutte, Sans songer seulement à demander sa route ; Aller de chute en chute

dire que Charles influença beaucoup l’avenir de Jean-Paul dans la littérature, d’abord c’est en se promenant dans la bibliothèque de son grand-père qu’il commença à aimer les livres, a les admirer alors qu’il ne savait pas encore lire, puis se fut lui qui lui acheta son premier livre les contes de Maurice Bouchor. Il lui apprit donc à aimer les livres, et quand il décida d’être écrivain son grand-père s’opposa à lui. A cause de cette opposition Jean-Paul fit tout pour le devenir de manière à lui donner