Aimé Césaire Ma Négritude

2003, Université de Paris X - Nanterre, publiée par Ed. Awen, 2004, 674 p.) [1]. Dans les années 1930, René Maran fréquente le salon littéraire de Paulette Nardal où il rencontre Léopold Senghor, Aimé Césaire, Jean Price Mars[2]. René Maran exprime des réserves sur le mouvement naissant de la négritude dont il dénonce les dangers : II). Résumé de l’œuvre Il s’agit de l’histoire, dans la brousse africaine, d’un moukoundji (chef de village) nommé Batouala. Il prépare la fête des Gan’zas qui doit

françaises, eût une production poétique en parallèle de ses activités politiques au Sénégal, dont il fut le premier président de la République. Senghor s’est battu pour que l’on ne dévalorise pas les africains. Il instaure avec son ami Aimé Césaire un nouveau concept la négritude : un grand mouvement de revendication pour l’honneur de l’homme noir et de sa culture qu’il définit lui-même comme étant : «  la simple reconnaissance du fait d'être Noir, et l'acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de

des usines inhumaines et qui sont les victimes de leurs conditions de travail. Verhaeren aussi prend le parti des ouvriers et dénonce un travail infernal. Aimé Césaire et Senghor défendent eux la condition de leur peuple d’origine, en Afrique ; ils écrivirent des poèmes en faveur des peuples colonisés. Ils inventent une réflexion sur la « négritude » qui serait l’ensemble des valeurs culturelles de l’Homme noir. Ainsi, la poésie a alors pour fonction de délivrer un message sur le monde et de le faire

Liban. A partir de 1920, les idées communistes se diffusent dans les colonies et en particulier dans l’Indochine française qui veut en finir avec la colonisation. Un autre mouvement qui apparait, sur le plan intellectuel, est le mouvement de la négritude avec un retour à l’identité africaine. Enfin, le nationalisme commence à se développer et se structurer. Les territoires concernés sont l’Indochine, la Syrie, le Liban et l’Afrique du Nord. Mais c’est à la fin de la Seconde Guerre Mondiale que ce

soient des philosophes africains contemporains (Hountondji, Boulaga) qui ont entamé la critique la plus radicale des thèses de Tempels sur la "philosophie bantou". D'autres critiques des thèses de Tempels 1 se trouvent dans les oeuvres de Aimé Césaire, Frantz Fanon, et Emmanuel Chukwudi Eze. Paulin J. Hountondji, philosophe d'origine béninois né en 1942, récuse fermement l'attitude qui consiste à appeler "philosophie" la vision du monde d'un peuple donné. Il propose l'usage discriminatif suivant

libérer, éviter « Les affaires la guerre le tricot la guerre  Les affaires les affaires et les guerres » Tout comme Prévert a su se libérer par la poésie, Aimé Césaire et Léopold Sedar Senghor se sont eux aussi servi de la poésie pour se libérer d’une servitude ancestrale. L’ écriture poétique leur a permis de créer la poésie de la négritude, une poésie salvatrice dans le sens où celle-ci a permis aux poètes de dépasser le passé douloureux des antillais, l’exil, la solitude afin de se sortir de

Léopold Sédar Senghor d’origine sénégalaise marqua la poésie française en y apportant un nouveau mouvement littéraire nommé par lui-même, Aime Césaire et Damas : Négritude. Cet auteur diplômé de l’ENS agit en parallèle en politique et sera le premier président de la République du Sénégal. Le poème « femme noire » est l’un de ses plus grands et est présent dans son recueil Œuvres poétiques .Il décrit dans celui-ci sa terre natale; l’Afrique en la confondant à la femme noire . Ainsi nous nous

autres. Il a été le premier président du Sénégal (de 1960 à 1980). Senghor fut aussi le premier Africain à siéger à l'Académie française et le premier Africain titulaire de l'agrégation. Leopold Sédar Senghor a lutté pour défendre la négritude (culture noire) avec Aimé Césaire. Le poème "A New York" est issu de Ethiopiques (1956). New York est la ville phare, typique du XXème siècle, les gratte-ciel apparaissent, la ville a changé. Fascination / répulsion Lecture du texte A New

Colonialisme d’Aimé Césaire. Il faut savoir qu’il est l'un des fondateurs du mouvement littéraire de la négritude et un anticolonialiste résolu. C’est pourquoi dans ce discours il dénonce avec force ce qu'il voit comme la barbarie interne à la civilisation occidentale. Il met en cause la colonisation et son histoire. Il généralise sa critique à tous les continents et présente les colonies comme des victimes et il critique l’Europe Occidental et met en avant sa culture. Ici Aimé Césaire compare deux sociétés

l´assimilationnisme dans lequel ils voyaient le viol systématique de la personnalité culturelle africaine. Les adeptes de la Négritude se consacrèrent de ce fait à la défense et à la sauvegarde des cultures africaines menacées par la colonisation et ses institutions, principalement par une école et église non adaptées aux réalités africaines. Dans cette lancée Aimé Césaire, dans le Discours sur le colonialisme, accuse l´Eglise d´avoir œuvré à la destruction des cultures indigènes et créé un vide