Akkadien

basse Mésopotamie). La céramique devient extrêmement soignée et la métallurgie du cuivre se développe. La première culture dominante de la région est sans doute la culture sumérienne (IVeIIIe millénaires), culture non sémitique, suivie par celle des Akkadiens, des Babyloniens et des Assyriens. L’invasion perse au VIe siècle av. J.C. marquera la fin de la civilisation mésopotamienne. Céramiques "archaïque" peinte “ Céramique "standard", même formes et dessins que la précédente céramique mais traits

Méditerranée et l’Inde, l’emplacement stratégique et la richesse de la Mésopotamie font d’elle le centre d’attrait de nombreux peuples. Il est possible d’observer, du sud au nord de la Mésopotamie, les traces laissés par les Sumériens, les Akkadiens, les Babyloniens, les Assyriens et les Perses. En effet, c’est d’abord dans la vallée inférieure de la Basse Mésopotamie que l’on trouve les premiers indices d’une culture urbaine avec les villes Ur et d’Uruk. Puis le centre se déplace dans la

commence avec l’invention de l’écriture en Mésopotamie et se termine avec la fin de l’Empire romain (Romulus, dit Augustule est vaincu par Odoacre, roi des Hérules.) Si elle a vu fleurir de très grandes civilisations comme la civilisation suméro-akkadienne, l’Egypte des pharaons, la Perse, c’est surtout l’Antiquité grecque et latine qui retiendra notre attention.  En effet, toute la littérature occidentale se réfère aux dieux de l’Olympe grec, à ses mythes, ses tragédies, ses philosophes. Les romains

royales. D’autres encore, découverts dans les ruines des bibliothèques des temples ou des écoles où l’on formait les scribes, forment un corpus de textes canonisés, une littérature secrète. Ils furent écrits en langue sumérienne puis traduits en akkadien (la première langue sémitique) et autres langues anciennes. Même ces écrits, qui ont plus de six mille ans, font référence à des « livres » perdus (textes inscrits sur des tablettes de pierre). Le mot « chance » ne suffit pas à qualifier la découverte

influencé l’occident -Ils ont inventés : la roue, l’écriture, les mathématiques, l’algèbre, le calendrier de 365 jours, table de multiplication et division, racine carré, comptait en base 60, bière et le potager -Akkadiens et Sumériens. Les Sumériens sont assimilés par les Akkadiens qui ont créé le royaume de Babylone. -À l’Antiquité le monde est magique. Quelqu’un doit bien faire bouger les choses : les Dieux. Ils régissent l’univers. -Étude des Dieux. Le Babyloniens invente un Dieu pour chaque

cunéiforme, une des premières formes d’écriture apparue vers 3000 av. n è. On découvre ainsi au cours du XIXème siècle plusieurs tablettes gravées à différentes époques (de 2300 av. J.-C. à environ 1200 av. J.-C) et en plusieurs langues (sumérien, akkadien, hittite, hourite). C’est la version ninivite parfois complétée par la version babylonienne et par d’autres fragments de tablettes retrouvés dans différentes régions qui a servi de base à l’élaboration de la traduction en Français réalisée par

remontent aux Perses de la période mazdéenne, chez qui le magoï était une personnalité importante dans le système religieux du zoroastrisme[1] . D'autres, enfin, regardent vers les peuples sémitiques du Moyen-Orient, voyant son origine dans le mot akkadien magdim. MAGIE ET SCIENCE : Une très grande majorités de personnes opposent ces deux notions, qu'il soit "du côté de la science", ou "du côté de la magie". Certains toutefois considèrent que l'une comme l'autre tentent toutes deux de modéliser

déesse grecque de la germination, de l'amour, des plaisirs et de la beauté. Elle a pour équivalent Vénus dans la mythologie romaine et Turan chez les Étrusques. Elle semble dériver de la déesse appelée Inanna chez les Sumériens, Ishtar chez les Akkadiens et Babyloniens, Astarté ou Athtart à Ougarit, Shaushka ou Shaushga chez les Hourrites, et Ashtart en langue punico-phénicienne. On peut distinguer deux conceptions différentes d'Aphrodite : celle du plaisir de la chair, plus « terrienne » en quelque

signes hiéroglyphiques ou hiératiques. 2. Langues et écritures égyptiennes L’égyptien fait partie des langues afro-asiatiques ou chamito-sémitique (de Cham et Sem, fils de Noé, ancêtres des Africains et des Sémites). Comme les langues sémitiques (akkadien, hébreu, arabe…), l’égyptien ancien est marqué par l’importance du consonantisme : l’écriture ne note pas la vocalisation. 2.1. L’évolution de la langue De l’Ancien Empire au Moyen Empire, la langue a évolué de façon sensible de l’ancien au moyen

région tandis que l’akkadien devenait, vers 1800 avant J.-C., la langue diplomatique régionale. En outre, tout en donnant naissance à l’écriture, cette civilisation, qu’Arnold Toynbee1 appelle suméro-akkadienne, parce que les Sumériens, population non sémitique, s’y mêlèrent à des Sémites (Akkadiens) dès l’origine de nos connaissances, apporta entre autre, tout comme l’autre grande civilisation du Moyen-Orient qui vit le jour en Égypte, de nouvelles techniques agricoles dans les deux grandes plaines