Alain Définitions La Conscience

Suis-je responsable de ce dont je n’ai pas conscience ? Dans cette interrogation, le concept de responsabilité est associé au concept de conscience ; plus précisément on questionne la responsabilité d’un individu (soi-même) lorsqu’il est dans un état moral de non conscience. En effet, l’expression « ce dont je n’ai pas conscience » désigne toute action qui a lieu sans que « je » en sois consciencieusement informé : un automobiliste sur une route quelconque est en excès de vitesse sans que

Qu'est ce que prendre conscience? Qu'est que prendre conscience? S'il on est conscient, il semble difficile de prendre ce que l'on a déjà. Est-ce prendre quelque chose que l'on avait pas avant? S'approprier une nouvelle capacité a se connaître ou a connaître? Prendre conscience de quoi? Des événements en cours ou passés? De son comportement d'hier ou d'aujourd'hui? La définition première de la prise de conscience est le fait de devenir conscient de quelque chose. 'Prendre' signifie faire sien

oui penser implique toujours une negation comme le pense le philosophe Alain c'est commencer par nier ce qui parait evident, vrai certain reel. Toute pensee a pour origine une remise en cause un doute.c'est mettre en doute les certitudes etablies pour ne pas se laisser berner par les illusions du monde; IIpenser c'est affirmer c'est dire oui dans un 1 temps penser implique negation c'est insuffisant, cette phase de negation doit etre suivie d'une phase de creation.. nier ne suffit pas pour penser

le sujet à surmonter ses troubles en faisant revenir à sa conscience ce qui en est à l’origine. Mais ne doit-on pas alors considérer que cette hypothèse de l’inconscient ôte au sujet toute responsabilité et toute liberté ? IV) La problématique morale L’idée freudienne d’un psychisme pose problème car elle implique que nous sommes manipulés par des forces qui nous échappent : l’inconscient n’est pas le calque négatif de la conscience mais une forme souveraine et autonome de notre psychisme.

l’inconscient remet-elle en question? On définit l’homme comme un animal doué de conscience. La conscience, comme faculté de se représenter mentalement sa propre existence et celle du monde extérieur, fonde la liberté et la responsabilité de chacun. L’homme est capable de choix et est amené à répondre de ses actes. Or, l’hypothèse de l’inconscient psychique avancée par Freud à la fin du 19éme siècle semble contester cette définition communément admise. Si l’inconscient me détermine, je suis comme étranger

LES DEFINITIONS DE L'ETHIQUE A. le sens ancien 1). Etymologique. La recherche étymologique n'apporte rien, comme dans tous les cas où la dérivation est importante (ex. la Mode, la publicité, la relaxation...). Le mot Ethique vient d'un terme grec Ethiqué, qui signifiait "les moeurs". Le même passage du fait au droit s'est opéré dans le mot "morale" qui peut signifier "les moeurs" dans l'expression "la morale des Gaulois" ou un système d'exhortation à se conformer à des règles relatives

qu'on s'est prescrite) mais l'épreuve de soi ne peut pas ne pas être, ce serait la perte de la conscience! Une conception politique du moi permettrait peut-être d'échapper à l'aporie, l'embarras: le soi comme ce qui a surmonté les autres instincts: résultat d'une victoire.   Alors on pourrait changer d'instinct et ne plus être le soi qu'on était; Le soi ne serait alors qu'un nom, une "notation commode" (Alain), désignant une pluralité d'instincts en lutte et le vainqueur provisoire. Pense aux sophistes

me donne aucun privilège particulier pour dire qui je suis. La conscience me permet d’affirmer que je suis le mieux placé pour dire qui je suis. Par contre, l’hypothèse de l’inconscient me déloge de cette place. Le moi enfin, ne demeure-t-il pas essentiellement un inconnu ? S’interroger sur qui on est, implique d’être capable de se représenter soi-même. Or, tel est le propre de la conscience. Et que découvre cette conscience ? Qui suis-je, moi, qui, m’interroge sur moi-même ? Il faut d’abord

être un sujet, c’est être une personne, quel rôle joue la conscience dans l’affirmation et l’existence de cette personne. I°/ La conscience Etymologie : du latin « cum-scientia », accompagné de savoir. La conscience, c’est un savoir qui m’accompagne. Ex : Je vis et je sais que je vis. Et le ver de terre le sait-il ? Je mange et je sais que je mange. Il semble que la conscience nous permet d’être là en personne ? 1° Rôle de la conscience dans l’affirmation et l’existence de la personne. - Examen

Une définition de la religion La religion est l'ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports de l'être humain avec le sacré ou la divinité. Une religion particulière est définie par les éléments spécifiques à une communauté de croyants : dogmes, livres sacrés, rites, cultes, sacrements, prescriptions en matière de morale, interdits, organisation, etc. La plupart des religions se sont développées à partir d'une révélation s'appuyant sur l'histoire exemplaire