Alain Finkielkraut

penser dans le calme, de questionner le monde, de l’analyser afin de construire patiemment sa propre liberté. » Alain Finkielkraut De nos jours, l’univers de la consommation influence et agit sur le comportement humain. Il est désormais difficile de résister à ce milieu qui préconise l’enrichissement par les biens au détriment des connaissances. A ce propos, Alain Finkielkraut affirme que les connaissances et la culture enseignées au sein d’une école ont une valeur non monétaire. L’apprentissage

Maistre et Louis de Bonald). Génération des nationalistes (Maurras, Barrès) et extrême droite (Le Pen). Position néoconservatrice relativement récente et a sa version constructive (Tocqueville) et sa version quasi-réactionnaire et nostalgique (Finkielkraut). I) Sociétés pré-modernes sont des sociétés holistes ou pré-individualistes Dans ces sociétés les individus n’existent pas au sens symbolique au sens où l’individu est membre d’un tout. L’individu est une invention récente dans l’histoire

il n’y a rien à voir…
 Pourtant, depuis quelque temps, une floraison d’essais signés par des philosophes s’étale sur les rayons des librairies : Le Paradoxe amoureux (Pascal Bruckner), Le Sexe ni la mort(André Comte-Sponville), Éloge de l’amour (Alain Badiou), De l’Amour (Luc Ferry)… pour ne citer que quelques publications récentes.
 Opérations commerciales (l’amour, cela fait vendre) ? Effet parmi d’autres d’une certaine « mièvrerie postmoderne » comme le suggèrent de façon un peu méprisante les

que toute forme d'expression culturelle en vaut une autre a imposé non seulement l'impossibilité de hiérarchiser les cultures et leur contenu, mais également le fait de ne pas même pouvoir définir ce qu'est le culturel de ce qui ne l'est pas. Alain FINKIELKRAUT (écrivain et philosophe français) dans La défaite de la pensée pense que puisqu'il n'y a pas de culture légitime, tout jugement de valeur devient illégitime car infondé. La preuve de ce relativisme culturel se trouve dans l'extension de ce patrimonial

organisé le 27 février à l’Assemblée Nationale avec l’Institut d’Etudes Lévinassiennes A l’occasion des centenaires croisés de Sartre, Aron et Lévinas Avec la participation de : Franz-Olivier GIESBERT, Bernard–Henri LEVY, Alain-Gérard SLAMA, Alain FINKIELKRAUT, Jérôme BINDÉ, Eric MARTY, Gilles HANUS, Laurence PARISOT, Laurent WAUQUIEZ-MOTTE, Jacques TOUBON. ____________________________________________________________ ___________________ Aux initiatives conjointes de notre Club et

pendant des années jusqu’à sa réhabilitation par Alain Finkielkraut dans Le Mécontemporain, Charles Péguy, lecteur du monde moderne (1992) où il écrit : « L'heure est venue, si nous voulons comprendre notre temps, de lever la quarantaine, de lire Péguy, de réintégrer dans la cité intellectuelle sa grande pensée poétique et critique. » Péguy, enfin, est à l’origine du pèlerinage de Chartres qu’il fait pour la première fois en 1912 avec son ami Alain Fournier, priant pour son fils malade. Un siècle

de la promesse considérée comme absolue et qui engage la fidélité. L’amour dans le mariage est alors un amour action, qui est de l’ordre de la construction et de la création. Enfin, dans La sagesse de l’amour le philosophe contemporain Alain Finkielkraut fait l'éloge de l'amour passion. Effectivement, la passion amoureuse est sans doute l’expérience la plus intense et la plus profonde de cette défection irréductible de l’autre. Vivre l’amour passion (il suffit, à ce propos, d’évoquer les

non plus pour un simple séducteur. Aujourd'hui Dom Juan n'est plus un scandale : il fait partie du vocabulaire. La legende du libertin unique et solitaire est devenue le nom commun dont s'affuble l'arrogance des dragueurs, de Pascal Bruckner, Alain Finkielkraut

l'école justifiaient leur position au nom de la défense de la laïcité et des valeurs républicaines. Dès 1989, alors que des jeunes filles refusaient de retirer leur voile dans l'enceinte du lycée de Creil, Élisabeth Badinter, Régis Debray, Alain Finkielkraut, Élisabeth de Fontenay et Catherine Kintzler avaient fait publier, en couverture du Nouvel Observateur, un manifeste titré: «Ne capitulons pas!» Il s'agissait de réagir aux propos de Lionel Jospin devant l'Assemblée nationale, qui avait déclaré

qu’on peut, hélas, considérer comme imaginable –, il dramatise dans une direction précise, choisissant d’agiter lui-aussi l’épouvantail favori des médias : l’islam. Ce faisant, il accomplit un acte politique tout sauf neutre – n’en déplaise à Alain Finkielkraut en service pré-commandé de défense préventive de ce livre dans Le JDD du 28 décembre. Soumission s’avère la fausse carte d’un territoire bien réel. Un mauvais plan tiré à partir des colonnes de Causeur ou de Valeurs Actuelles, illustré par