Alain Propos Penser N 39 Est Pas Croire

moniteurs. haut de page II. QUELQUES DONNÉES STATISTIQUES Sources : Elles sont disparates. Il faut les rassembler de plusieurs endroits. • Statistiques générales sur la situation démographique en France (INSEE). • Population (Revue de l’INED à propos de l’enquête Cocon –Cohorte contraception– mai-août 2004). • Population et sociétés, Pourquoi le nombre d’avortements n’a-t-il pas baissé en France depuis 30 ans, N° 407, décembre 2004. Note : on entendra par "avortement" tout acte volontairement

nouveaux venus auprès de cette source intraitable ; il leur ménage des accès et des transactions particulières avec elle ». (§ 9) Sans autorité, le monde écraserait le nouveau venu ; sans autorité, la culture, loin d’être une source signifiante pour penser son rapport à soi, aux autres et au monde, deviendrait bruit et non-sens. Ce que les détracteurs modernes de l’autorité oublient c’est cette vérité anthropologique : on n’entre jamais seul dans le monde. À sans cesse rabattre la relation d’autorité

remanie, puisque les institutions culturelles et politiques sont toujours inspirées par l’imagination. Gilbert Durand montre ainsi, à la suite de Bergson, que l’imagination aide à surmonter les angoisses que l’intelligence ne peut vaincre (textes 34 à 39). VI) L’imagination au pouvoir Au fil de ces diverses lectures, il est possible de dégager une idée vers laquelle l’ensemble des textes semble converger. L’imagination de l’homme, autre nom de la liberté, n’est pas (seulement) la faculté de reproduire

éveiller leur conscience citoyenne. Dans ce sens, leurs auteurs attendent des téléspectateurs qu’ils soient une « cible intellective » pour emprunter son expression à Patrick Charaudeau., c’est à dire « une cible à laquelle on attribue la faculté de penser »7. Il s’agit de séries qui doivent amener le téléspectateur à réfléchir sur le monde social qui l’entoure et si possible à agir notamment par la prise de position politique. De manière générale, la néo-série endosse donc le rôle de « révélateur social

Estudios de Lengua y Literatura francesas, 14, 2003, 33-61 L'effacement énonciatif dans les discours représentés et ses effets pragmatiques de sous- et de sur-énonciation Alain Rabatel IUFM de Lyon, GRIC, Université de Lyon 2, UMR CNRS 5612, France Ce travail vise la mise en relief de stratégies variées d'effacement énonciatif (EE) dans les discours représentés (DR) et des effets pragmatiques qu'elles induisent. Il s'agit là d'un objectif particulièrement ambitieux, de par sa nature a priori aporétique

qu’ils sont. Proposition 3 Notre participation aux identités collectives engendre une intériorisation de valeurs, d’intérêts, de normes et d’affects. L’individu intériorise, au sein de sa culture et dans son milieu social, ce qu’il convient de sentir à propos des traits qui composent son identité et celles des autres. Ainsi, il apprend à connaître quelles sont ses valeurs, quels sont les intérêts, quels doivent être les affects et quelles sont les traditions qui sont 4 attachés à ces identités,

marginalité par rapport à la psychanalyse conçue comme science » (p. 11). Cette présentation d’Anzieu est un échantillon typique de la manière dont les freudiens font l’histoire de la psychanalyse. Anzieu sélectionne et interprète des faits de façon à faire croire que Freud a créé une véritable « science » et qu’il en est l’incarnation. Cette présentation hagiographique appelle au moins quatre remarques. 1. La première scission dans la saga freudienne n’est pas l’exclusion de Jung en 1913 mais, deux ans plus

................ 37 Texte 8 : La liberté chez les Anciens et les Modernes, B. Constant (1767-1830) ................................................................ 38 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 39 Texte 9 : Les libertés individuelles, J. Stuart Mill (1806-1873) 40 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 41 3. Les chemins de la liberté .................................................... 43 La liberté

ethnographique privilégie la banalité quotidienne, ou s’attache à la répétition rituelle, tandis que, en miroir de l’ethnologie, l’anthropologie oublie volontiers la temporalité. Si la première appréhende la culture en son essence, la seconde préfère penser l’universalité dans son abstraction. Parallèlement, la sociologie s’interroge plus souvent sur des logiques générales, et non particulières, sur des structures, et non des fêlures. Alors que l’entretien et l’observation s’attachent implicitement

3 Penser demain : du rêve au cauchemar ½½manuel de l’élève p. 92 à 135 I ntroduction « Le programme de Troisième, disent les IO, invite l’élève à s’interroger sur les problèmes de l’humanité et les grandes questions de notre monde et de notre temps. » Or, s’il est une question soulevée par l’histoire du xxe siècle, c’est bien celle de la violence, de la barbarie, et de la manière dont l’individu y consent malgré lui. L’expérience des totalitarismes a profondément marqué l’histoire occidentale