Albert Zafy

Dénouement sur la Peste Albert Camus Introduction Le dénouement est la clôturassions de la Peste. Le narrateur était anonyme pour préserver le lecteur de toutes les influences et maintenir le caractère du récit. Le narrateur c’est Rieu. Il consacre les dernières pages à la délivrance d’Oran qui était mis en 4ans. La porte s’ouvre au monde extérieur. Il y a une fête organisé. Tard dans la soirée, Rieu rend visite au vieil espagnol asthmatique. Il monte sur la terrasse qui, surplomb la ville. L’idée

FICHE PERSONNAGE : TARROU. Nom : Tarrou Prénom : Jean Description : Tarrou est décrit par Rieux (lors de la première rencontre des deux personnages) comme « un homme encore jeune », « à la silhouette lourde, au visage massif et creusé, barré d'épais sourcils », les « yeux gris », le « regard calme ». Le narrateur le décrit une seconde fois, vers la fin du roman, alors qu'il lutte contre la maladie, étendu sur son lit de mort, la « poitrine forte », des « épaules épaisses », un « visage

cultures Arts, mythes et religions Art, espace, temps Arts techniques, expressions Arts, États et pouvoir Arts, ruptures, continuités Nom de l’œuvre - Nom de l’auteur ou de l’artiste GERMANIA – Albert Speer Reproduction de l’œuvre : Le projet inachevé d'Hitler et de son architecte Albert Speer pour la ville : Welthaupstadt Germania, capitale du monde Germania. Arts de l’espace Arts du son Arts du langage Arts du spectacle vivant Arts du quotidien Arts du visuel Le XXème siècle

L ’Étranger peut être défini comme un roman philosophique, même si aucun système de pensée n’y est explicitement exprimé. Mais à travers le personnage de Meursault, plus com- plexe qu’il n’y paraît, Albert Camus nous présente sa conception du monde en 1942. L ’auteur lui-même a insisté sur cet aspect dans la préface à la première édition américaine du romant : « J’ai résumé l’Étranger , il y a très longtemps, par une phrase dont je reconnais qu’elle est très paradoxale : dans notre société

protagoniste et notre antihéros du roman L’étranger, incarne le rôle d’un personnage indifférent à tout, sans aucuns sentiments, et étranger du monde. Dans ce livre, nous le voyons aussi bien indifférent au décès de sa mère, qu’à la femme qui l’aime. Albert Camus nous décrit ici un personnage faisant aussi preuve de naïveté, et ayant des réactions que l’on pourrait caractérisées d’absurdes. Il vit pour soi-même, et sont comportement nous éloigne d’un antihéros pathétique. Par ailleurs, cette thématique

1978, année de la femme, des voix se lèvent pour supprimer la loi salique, qui exclut les femmes de la succession au trône. Depuis 1991, une femme peut donc être chef d’Etat en Belgique, à condition d’être une descendante directe de l’actuel Roi Albert II. En Belgique, l’ordre de la succession au trône ce suit comme ceci : • Le Prince Philippe • La Princesse Elisabeth • Le Prince Gabriel • Le Prince Emmanuel • La Princesse Eléonore • La Princesse Astrid • Le Prince Amedeo •

pris sa forme explicite de courant philosophique au XXe siècle dans la philosophie continentale, d'abord dans les travaux de Karl Jaspers et Martin Buber dans les années 1930 en Allemagne, puis dans les travaux de Gabriel Marcel, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Simone de Beauvoir et Maurice Merleau-Ponty dans les années 1940 et 1950 en France, et au Canada avec Jacques Lavigne. Leurs travaux ont porté sur des thèmes tels que « la peur, l'ennui, l'aliénation, l'absurde, la liberté, l'engagement et

à Paris et à Rome. C’est un professeur d’art plastique à Berlin, il va être remarqué par le ministre de la propagande, Goebbels. Il travaillera ensuite à la gloire du régime et de son idéologie. Contexte : Hitler vient de confier à l’architecte Albert Speer la construction d’une nouvelle chancellerie à Berlin et Arno Breker est chargé de la sculpture. Description : La statue représente un homme nu avec des muscles luisants et un front soucieux tenant un glaive dans sa main gauche. Cette statue

Albert Camus était un philosophe, un dramaturge et un essayiste mais surtout un écrivain du XXème siècle. Il est né en Algérie et est mort en France. Il a écrit de nombreux romans, dont Caligula, qui fut publié en 1944. Dans cette scène de dénouement, Caligula fait, seul devant son miroir, le bilan de sa vie. Il regrette de n’avoir jamais pu atteindre l’impossible et exprime pour la première fois ses sentiments. Il sait qu’il va mourir et avoue sa peur et sa souffrance. Nous verrons

pas les péchés, au contraire il en commet un. S'il est une figure du Christ, c'est par le fait que son sort devient celui de l'humain, ce meurtre lui fait rejoindre la condition de l'homme le plus humble et le plus humilié. 1 Pierre-Georges Castex, Albert Camus et « L'Étranger » 2 Camus, Carnets I.