Alceste

pourrait dire qu’il est direct car il s’exprime par un dialogue entre deux personnages soutenant des idées contradictoires ; nous allons l’observer dans Le Misanthrope de Molière , entre Alceste et Philinte. Dans l’acte I, scène 1 ils exposent leurs points de vue, chacun par le biais d’une tirade, et s’affrontent. Alceste explique les raisons qui le poussent à haïr les hommes : « Les uns, parce qu’ils sont méchants et malfaisant, Et les autres, pour être aux méchants complaisants » (l.119-120) ; de l’autre

sa thèse, une dénonciation de la vanité, de l’hypocrisie. Alceste défend lui dans le récit la sincérité et l’honnêteté, fait référence aux mondanité et a la superficialité en société avec des arguments généralisants, des énumérations, démonstratifs péjoratifs…Alceste lui va faire référence à la réciprocité et à la politesse avec des arguments de bienséances, un intérêt de groupe social sur l’individu, obéit à des règles, à des codes. Alceste sera donc représentatif de l’être et Philinte du paraître

apparaissent deux divergences quant à la vision de l’amitié. Un des concepts mené par le personnage Alceste prône la sincérité et les valeurs de l’honneur comme on peut le voir à la première ligne avec « Je veux qu’on soit sincère, et qu’en homme d’honneur ». Cette vision refuse catégoriquement l’hypocrisie et les fausses promesses qu’il qualifie de « lâche méthode » à la ligne 39. Pour Alceste le défaut d’un éloge simulé envers les amis rend ces mêmes amis banals et communs au lieu d’amis uniques

est convenu d'appeler la « réforme de l'opéra » et reste comme l'un de ses chefs-d'œuvre. En 1764 il donna un opéra-comique, La rencontre imprévue, et l'année suivante deux ballets, puis deux nouveaux opéras, toujours sur des livrets de Calzabigi, Alceste (1767) et Paride ed Elena (1770). Gluck décida alors d'appliquer ses théories à l'opéra français et, en 1774, il donna Iphigénie en Aulide et Orphée et Eurydice, version française de son opéra de 1762. Ce fut un triomphe en même temps que le point

scène par Molière en 1666. Cette comédie se compose d'un personnage principal, Alceste qui hait l'humanité et les gens malhonnêtes qui est donc ici notre misanthrope. Il dénonce aussi l'hypocrisie sociale. Cependant il sera contraint dans la scène IV de l'acte II que nous étudions, de vivre avec l'humanité et son hypocrisie suite à la demande d'Alceste à Célimène de vivre avec lui. Dans cet scène du Misanthrope Alceste se trouve contraint de rester dans la salon bourgeois de Célimène où celle-ci

LE PETIT NICOLAS- PERSONNAGES Alceste C'est le meilleur ami de Nicolas. Il est très gros car il mange tout le temps. Les dessins le représentent presque toujours en train de mettre quelque chose dans sa bouche. Sa nourriture rend aussi ses mains sales ce qui est parfois une gêne pour ses copains. Ses parents sont aussi gourmands que lui. Il est d'humeur assez égale, généralement positif, il n'aime cependant pas partager sa nourriture avec ses copains ce qui crée quelquefois des disputes et quand

la faillite de deux solutions extrêmes, la recherche absolue de la vérité préconisée par le misanthrope Alceste et la compromission de l’hypocrisie que cultive la coquette Célimène. Dans l’extrait proposé, Alceste et son ami Philinte opposent leurs conceptions de l’amitié, des relations sociales. Scène première La scène est à Paris, dans la maison de Célimène. PHILINTE, ALCESTE [...] ALCESTE
 Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur, On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur. PHILINTE


décalage avc son temps...) I) Alceste : un procès contre les usages de la Cour, l'hypocrisie des « singes de la Cour » a) les cibles = l'humanité observée à la Cours + le « franc scélérat » b) un ton polémique qui définit le personnage et son tempérament II) Philinte : le type de l’honnête homme a) une critique voilée des propos d’Alceste : opposition de registres b) La morale de Philinte, le « modus latin », le « rien du trop » I) Alceste : un procès contre les usages de la

scène dans laquelle Marc traite le tableau d'Antrios acheté par Serge de "merde" peut d'ailleurs faire écho à la scène dans laquelle Alceste déclare à Orgon que son sonnet est "bon à mettre au cabinet". Dans les deux cas la sincérité des personnages a également des effets calamiteux: la remise en cause de toute son amitié avec Serge pour Marc, un procès pour Alceste. Ainsi "Art" remplit bien une fonction cathartique. On y dit ce que, dans notre monde civilisé et policé, on a tendance à réfréner

diverses facettes du comportement humain. Génératrice de tension, la dispute suscite l’émotion du spectateur. Dans Le Misanthrope de Molière, Alceste, pourtant amoureux de Célimène, se dresse contre elle et sa jalousie le pousse à l’affronter pour la quereller. Au cours de ces « scènes » (au sens sentimental du terme), Célimène arrive à maîtriser Alceste en le réduisant à l’obéissance. Cette lutte d’influence va d’une tension extrême à un apaisement final et fait passer le spectateur par diverses