Alexandrin Sur La Mer

faut y travailler très dur sinon cela ne marche pas. De plus, beaucoup de poèmes, en particulier les classiques, sont écris en alexandrins pour favoriser la musicalité du poème. La poésie est aussi utilisée pour s’incérer véritablement dans l’histoire. Homère, grand poète de l’antiquité, se sert de la poésie pour écrire L’Iliade et L’Odyssée. L’Iliade, écrit en alexandrins, raconte l’histoire de la guerre de Troie, guerre figurant dans la mythologie Grecque. Cela a eu un tel succès que, environ 2500

Lecture linéaire : o 1ère strophe « jusqu’au bout » : o « En ce temps-là » : établie un écart entre le présent du poète et son passé qu’il évoque, fait penser au « il était une fois » des comptes on à l’impression qu’il va une histoireo 1er vers alexandrin : vers traditionnel mais modernisé par absence de ponctuation → C fait un mélange de modernité poétique et de tradition o Cadre spatio-temporelle : temps « adolescence » , lieu « Moscou » o Se début de poème se présente comme autobiographique

jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font les fruits d'or autour de Baratier Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le bout de tes jolis seins roses Je rougirais ta bouche

déictique, propre à une situation de communication orale (on nous montre quelque chose à voir) + exclamation x3 => caractère insistant. Type exclamatif propre au discours oral, au registre oratoire. b. un rythme narratif vivant ‐ Poésie composée en alexandrins, avec de nbx groupes rythmiques ds chaque vers ‐ Exemple avec le vers 1 qui se décompose, grâce à la ponctuation, en gradation 2/4/6 => 2 césures. Rythme plus propre à la prose : haché et vivant c. la situation spatiotemporelle ‐énonciation

du Mal (1857). Il apparaît dans la seconde édition en 1861, avec le numéro XXIII. Baudelaire place ce nouveau texte dans la section « Spleen et Idéal », tout de suite après Parfum exotique. La chevelure est un long poème de sept quintils (35 alexandrins). Il est caractéristique de l’inspiration exotique fréquente chez Baudelaire (par exemple dans « Parfum exotique »). Tout laisse à penser que la figure féminine, lascive et sensuelle, évoquée par le poème est celle de Jeanne Duval, la compagne métisse

marche au bord des flots profonds, Courbé// comme celui qui songe. Je regarde//, au-dessus// du mont et du vallon, Et des mers// sans fin remuées, S'envoler// sous le bec du vautour aquilon, Toute la toison des nuées ; J'entends le vent dans l'air,// la mer sur le récif, L'homme liant la gerbe mûre ; J'écoute,// et je confronte// en mon esprit pensif Ce qui parle// à ce qui murmure ; Et je reste// parfois couché// sans me lever Sur l'herbe rare de la dune, Jusqu'à l'heure où l'on voit// apparaître et rêver

l'élévation, l'idéal, et sa condition humaine réelle, le spleen. I-Anecdote A la première lecture, « L’Albatros » se présente comme la narration d’une scène de la vie en mer. Épisode que l’on pourrait trouver facilement dans un film ou dans un roman. Des verbes d’action au présent de l’indicatif dans un poème en alexandrins : « prennent » (v. 2), « suivent » (v. 3), « laissent » (v. 7), « agace » (v. 11), « mime » (v. 12). Des adverbes temporels au début des 2 premières strophes : « souvent »

qu’on
devine
être
un
bateau.
Un
personnage
montre
du
doigt
le
bateau,
d'autres
agitent
des
draps.

 La
composition
:
Sur
la
partie
inférieure
de
la
ligne
d’horizon
marquée
par
la
mer,
l’eau
est
agitée,
il
y
a
une
tempête
 (visible
aussi
par
le
vent
dans
la
voile
et
les
nuages
noirs).
Dans
la
partie
supérieure
à
droite,
on
peut
distinguer
au
loin
 que
la
mer
semble
plus
calme.
 Les
formes
:
Les
personnages
de
l’arrière
plan
forment
une
pyramide.
Ceux‐ci
s’opposent
aux
personnages
de
premier
 plan
qui
sont
assis
ou
étendus

Apollinaire. Le titre du poème, Chantre, désigne dans ce contexte le chef de chœur à l’église. On retrouve ainsi le chant, par lequel la légende dit qu’Orphée pouvait charmer même les arbres. Le terme « trompettes marines » ne se rapporte pas à la mer mais à l’instrument de musique éponyme à une seule corde qui était joué dans les couvents. « L’unique cordeau » désigne alors la corde de la trompette marine. Connaissant l’intérêt d’Apollinaire pour Orphée, cet instrument peut être rapproché de la

pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles ! Description  C’est un sonnet, construit sous la forme ABBA CDDC EFF GHH (classique). Les vers sont des alexandrins et il y a des coupes à l’hémistiche dans les quatrains. Les assonances en « el » et « ierre» du premier quatrain lui donnent de la fluidité, contrairement au son « our » bien que cela lui donne une belle musicalité. Place du poème dans le recueil