Alexandrin Sur La Mer

première strophe met en avant l’importance accordée au cadre de la rêverie, par example “quand” avec effet d’attente. Il utilise le mot "l’odeur" pour faire référence au titre. Les vers 1 et 2 sont construits sur des sonorités douces et de longs alexandrins font rentrer le lecteur dans la rêverie. Moment entre été et automne, en début de soirée, au lit avec sa maîtresse. L’odeur de sa peau provoque la rêverie, intimité amoureuse. C’est un rêve éveillé. Tout ce cadre détermine la puissance de la rêverie

par l’hétérogénéité du recueil par longueur du poème (poèmes long et courts (comme colchique)) et de la diversité des vers (réglés ou libres) ? Sujet : apparent par le titre (fleurs violettes, nom vient d'un pays de l'Antiquité sur les bords de la mer noire la Colchide, célèbre pour être le pays de Médée (magicienne venue de Colchide, célàbre empoisonneuse) voilà pourquoi les colchiques sont liées au poison, mangées par les vaches=meurent. Ici poème d'amour, colchique lié à la femme aimée par la

comparaison entre la mer et l’amour 1. L’entrelacement de 2 thèmes, la mer (élément concret) et l’amour (sentiment de l’ordre de l’abstrait) - Deux champs lexicaux primordiaux : « la mer » 6 fois, « l’amour » 8 fois - Les répétitions parallèles, le chiasme, les anaphores, la paronomase (l’amer, la mer) créent un sentiment de confusion - Une mer tourmentée devient la métaphore filée de l’amour et de ses dangers, va et vient de la Mer. 2. Les ressemblances entre la mer et l’amour Ces ressemblances

Auteur : Baudelaire Titre : La musique Époque : 19 ième Oeuvre dont est tiré le titre : Les Fleurs du mal La musique : La musique souvent me prend comme une mer ! Vers ma pâle étoile, Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther, Je mets à la voile ; La poitrine en avant et les poumons gonflés Comme de la toile J’escalade le dos des flots amoncelés Que la nuit me voile ; Je sens vibrer en moi toutes les passions D’un vaisseau qui souffre ; Le bon vent, la tempête et ses convulsions

sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots. De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare. Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos. Est-ce un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos, Battant l'archipel grec de sa rame tartare ? Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour, Et coupent l'eau, qui roule en perles sur leur aile ? Est-ce un djinn qui là-haut siffle d'un voix grêle, Et jette dans la mer les créneaux de la tour

plaint que l’on ne puisse arrêter le temps. On se demandera en quoi ce texte est une élégie romantique sur le thème du Tempus fugit. D’abord, des quatrains 1 à 5 (trois alexandrins + un hexasyllabe), le poète plante le décor du lac et sa plainte concernant le temps qui ne s’arrête pas. Puis, du quatrains 6 à 9 (deux alexandrins, deux hexasyllabes), c’est la bien-aimée qui parle en tentant de faire arrêter le temps. Enfin, des quatrains 10 à 12, le poète se désespère de la dualité cruelle du temps

s’intitule « Parfum exotique » et il est issu du recueil de poème Les Fleurs du mal écrit par Charles Baudelaire en 1857. Ce texte est composé de quatrains pour les deux premières strophes et de tercés pour les deux dernières. Tous les vers sont en alexandrins constitués de rimes embrassées. Le titre a un lien direct avec le contenu du poème car on remarque qu’il y a un champ lexical prédominant qui est celui de la chaleur. Le terme « exotique » fait référence au soleil et à l’été ce qui va être l’un

m’ont pas toujours vu. Feuilles du jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d’une couvée d’aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l’innocence

antique.AdverbesPlus, Ne.NomsSerpentes, sable, humaine, mer, ange.VerbesMarche, mélange. Analyse poétique Après la lecture du poème, « XXVII - Avec ses vetements ondoyants et nacres », extrait du recueil Les Fleurs du Mal écrit par Charles Baudelaire, on peut être observé les aspects suivants : · La création poétique de Baudelaire est un sonnet, parce qu’il est composé de deux quatrains et de deux tercets, tous les vers étant alexandrins. · Il y a des élisions du « e » muet

La mère de l’amour eut la mère pour berceau ». En effet, la déesse naquit dans l’écume grâce aux semences de Cronos dispersées dans la mer. Voilà une première métaphore entre l’histoire du poète et une histoire mythologique. Dans un second temps, la comparaison entre « la mer » et « l’amour » nous explique le danger de s’aventurer dans les deux : « la mer et l’amour ne sont point sans orage ». Le poète met en garde celui qui ne veut pas souffrir dans la deuxième strophe en utilisant le subjonctif