Algonquin

érige l’« Habitation du Québec », au pied du Cap Diamant. Logé sur un promontoire rocheux, à l’embouchure du fleuve Saint-Laurent, Québec constitue une forteresse naturelle qui se trouve être intéressante pour l’établissement d’une ville. Le mot algonquin : « Kebec » signifie : « là où c’est bouché ». Cinq siècles plus tard, Québec et sa banlieue comptent 700 000 habitants. Elle présente ainsi toutes les caractéristiques d’une grande ville, c’est-à-dire, un espace doté d’une forte densité de population

l’aurait fort probablement mentionné s’il lui avait été donné d’en voir ou d’en consommer là où il se trouvait. Cependant, au début du siècle suivant, il y a suffisamment de cidre dans la région de Trois-Rivières pour qu’on puisse en vendre aux Algonquins. Or, vers le milieu du 18e siècle, Kalm mentionne que les vergers de la colonie entière ne peuvent fournir une quantité de pommes suffisante pour que l’usage du cidre devienne général parmi la population. Rappelons cependant que certains habitants

à être acceptées comme monnaie d’échange. En effet, avant l’arrivée des colons européens, les peuples autochtones avaient une économie propre dans laquelle des coquillages, enfilés comme des perles, servaient de monnaie. Les wampums, de leur nom algonquin, n’étaient pas échangés très fréquemment parmi les Indiens. Ils étaient davantage considérés comme une réserve de valeur. Ils étaient cependant échangés pour régler des dettes importantes, surtout entre villages et tribus. Il est intéressant de noter

les Hollandais et les Suédois autour de l'embouchure de l'Hudson16. Ils nouent des contacts avec les Hurons et les Penobscots au nord, les Algonquins au centre,Delawares au sud. En 1609, Henry Hudson fonde à l'extrémité de la presqu'île de Manhattan, la Nouvelle-Amsterdam, pour le compte des Hollandais. Peter Minuit achète l'île pour 24 dollars aux Algonquins en 1624. Une colonie hollandaise s'y implante. Les premiers établissements suédois dans le Delaware datent de 1638. Dans tous ces établissements

L'Amérindien chasse les animaux (Castors)  Indispensable collaboration des Amérindiens (rôle de chasseurs, mais aussi d'intermédiaires avec les nations plus éloignées).  Pour s'approvisionner en peaux, les Français s'allient avec les Hurons et les Algonquins.  De leur côté, les nations iroquoises s'entendent avec les Hollandais et les Anglais.  Les deux groupes convoitent les mêmes bassins de fourrures (la Vallée de l'Ohio et la Baie d'Hudson). Cette concurrence entraînera des guerres sanglantes

relations avec la communauté autochtone Éducation : Plus de 42 000 nouveaux membres d’équipe ont suivi la formation de sensibilisation à la culture autochtone. Emploi : Nous entretenons un partenariat au sein du programme DevelopMENTOR du collège Algonquin afin de fournir aux étudiants autochtones des possibilités d’emploi dans les restaurants. Autonomisation des jeunes : Nous avons accueilli 2 300 jeunes autochtones dans les différents camps de la Fondation Tim Horton pour les enfants. Développement

et de reconnaissance devant une totalité à la fois énorme, toute-puissante et bienveillante. La divinisation de la totalité cosmique pas du tout une spécialité des monothéismes : même chez les animistes, Wakan Tanka (Dakotas) ou Kitche Manitou (Algonquins), Vaudou (Haïti) ou encore Nzambi (Bantous) – paraît universel. Toutefois cette divinité cosmique, alias le Créateur ou le Démiurge, est souvent reléguée à l’arrière-plan par rapport aux saints, aux esprits, aux loas cf. aucune église consacrée

Greenberg (Language in the Americas, 1987) classe les langues américaines autochtones en trois grands ensembles : une macrofamille amérinde, comprenant toutes les langues d'Amérique du Sud et un grand nombre d'Amérique du Nord (comme les langues algonquines, sioux et iroquoises), la famille na-dene (langues de l'Alaska et langues apaches comme le navajo), et la famille eskimo-aléoute. Comme on l'a vu, cette dernière famille avait été regroupée avec l'indo-européen et d'autres dans le nostratique

fonctions physiologiques de l'homme. 2. [Considéré dans son aspect morphol.] En faisant bien expliquer aux petits Namaquois que tu es l'homme blanc (Sue, Atar-Gull,1831, p. 13) : 4. À l'époque où, chez nous, Corneille donne Le Cid, les hommes rouges, Algonquins ou Mohawks, pénètrent parfois dans Broadway pour y massacrer les habitants. Morand, New-York,1930, p. 12. SYNT. L'homme blanc, noir, métis; l'homme de couleur, l'homme de race jaune, rouge. 3. [Considéré dans son milieu géogr.] L'homme du Midi

les Hollandais et les Suédois autour de l'embouchure de l'Hudson9. Ils nouent des contacts avec les Hurons et les Penobscots au nord, les Algonquins au centre,Delawares au sud. En 1609, Henry Hudson fonde à l'extrémité de la presqu'île de Manhattan, la Nouvelle-Amsterdam, pour le compte des Hollandais. Peter Minuit achète l'île pour 24 dollars aux Algonquins en 1624. Une colonie hollandaise s'y implante. Les premiers établissements suédois dans le Delaware datent de 1638. Dans tous ces établissements