Algonquin

les Hollandais et les Suédois autour de l'embouchure de l'Hudson9. Ils nouent des contacts avec les Hurons et les Penobscots au nord, les Algonquins au centre, Delawares au sud. En 1609, Henry Hudson fonde à l'extrémité de la presqu'île de Manhattan, la Nouvelle-Amsterdam, pour le compte des Hollandais. Peter Minuit achète l'île pour 24 dollars aux Algonquins en 1624. Une colonie hollandaise s'y implante. Les premiers établissements suédois dans le Delaware datent de 1638. Dans tous ces établissements

estiment que ce premier peuplement pourrait remonter à environ 10 500 avant Jésus-Christ[9]. Avant l'arrivée des Européens, le territoire de l'actuelle New York était peuplé par des Amérindiens Lenapes qui appartenaient au groupe linguistique des Algonquins[10]. Différents sous-groupes occupaient cet espace. Les Manates vivaient sur l'île de Manhattan, les Canarsies, à l'est de Brooklyn, les Matinecocks et les Rockaways, dans le Queens. Cette ancienne présence amérindienne se manifeste encore aujourd'hui

la dernière syllabe) mots d'origine amérindienne: Les langues amérindiennes ont fourni des mots à la langue québécoise, surtout en ce qui concerne les réalités qui n'existent pas en Europe. achigan (mot algonquin): perche noire caribou (mot algonquin): renne nordique mocassin (mot algonquin): chaussure souple en cuir ouananiche (mot montagnais): saumon d'eau douce de la région du Saguenay ouaouaron (mot iroquois): grenouille de très grande taille Néologismes: Les Québécois sont créatifs et

 La puissance des élèves dans le cadre du cours SPH3U présenté à Mme Dubytz par Mikeala Guillemette École secondaire Catholique Algonquin ÉCOLE SECONDAIRE CATHOLIQUE ALGONQUIN Rapport de laboratoire La puissance des élèves Mikeala Guillemette Abstrait Le but du laboratoire était de déterminer la puissance des élèves lors d’une activité physique pour ensuite pouvoir les classifier en ordre de

Algonquiens et les Iroquïens forment les deux familles linguistiques et culturelles des Amérindiens du Québec. Les aînés peuvent être gardiens de la foi, mères de clans, chefs héréditaires et dirigeants spirituels pour les six Nations. Dans la Nation Algonquine, les aînés sont comme quelqu'un qui possède les qualités de Chef Spirituel lequel est acquis par la connaissance de la culture et des traditions. Leurs rôles est de conseiller et de soutenir ( psychologiquement et spirituellement ) les employés

Le resserrement du fleuve entre les villes de Québec et de Lévis, sur la rive opposée, aurait donné le nom à la ville, Kebec étant un mot algonquin signifiant « là où le fleuve se rétrécit ». Une autre théorie, bien que moins répandue que la précédente, est aussi avancée pour expliquer l’origine du nom de la ville. Ainsi, Samuel de Champlain aurait pu prendre l’invitation des Amérindiens à descendre (Kepec) pour la désignation de leur région. Une telle confusion ne serait pas unique puisque le nom

19e siècle, le racisme envers les canadiens français et les indiens d’Amérique par les anglais était fréquent. C’est ce qu’à voulu dénoncer Bernard Assiwi dans le roman «Le bras coupé» parut en 1976. Le dernier passage du livre décrit comment un Algonquin fier revient à son village après de multiples meurtres commis pour se venger de cinq anglais qui l’avaient jadis mutilé. Son retour inattendu au village provoque la peur chez les habitants, mais pourtant, Menji-mendam reste particulièrement résolu

l’hermine n’est pas plus blanche, les moutons sont moins doux, les aigles moins fiers, et les cerfs ne sont pas si légers que l’était Abacaba. Elle poursuivait un jour un lièvre dans notre voisinage, environ à cinquante lieues de notre habitation ; un Algonquin mal élevé, qui habitait cent lieues plus loin, vint lui prendre son lièvre; je le sus, j’y courus, je terrassai l’Algonquin d’un coup de massue, je l’amenai, aux pieds de ma maîtresse, pieds et poings liés. Les parents d’Abacaba voulurent le manger

préférable de la consommer crue. Histoire : Originaire d'Amérique, la citrouille aurait été domestiquée au Mexique il y a environ 9000 ans. Les graines de citrouilles ont toujours été utilisées pour leurs vertus pharmaceutiques. Les Menominis, des Algonquins, utilisaient les graines de citrouille comme diurétique. Les colons d'Amérique du Nord les broyaient et les mélangeaient à de l'eau, du lait ou du miel pour en faire un vermifuge. Les Cherokees s’en servaient également pour traiter l’énurésie (pipi

est également une destination de choix pour de nombreux visiteurs étrangers. L'Etat et la ville ont été nommés pour le 17e siècle duc d'York , James Stuart, le futur Jacques II et VII de l'Angleterre et l'Ecosse . New York était habitée par les Algonquins , Iroquois , et Lenape Native American groupes à la fois néerlandais colons se sont installés dans la région au 17ème siècle. En 1609, la région a d'abord été revendiquée par Henry Hudson pour les Néerlandais. Fort Nassau a été construit à proximité