Alice Comedies

Leblanc : Pourquoi s’obstiner à vouloir divertir ? Regardez, toutes ces personnes, qui à l’époque, ont acclamé Racine pour des tragédies telles que Phèdre ou Andromaque. Ce ne sont pas des ignorants ! Et pourtant ce sont ces tragédies ou bien des comédies comme celles de Molière, qui ont fait le succès du XVIIe siècle ! -Christian Schiaretti : Certes, mais il faut savoir se renouveler ! Avec l’apparition du genre romantique au théâtre, il faut avouer que les règles de la tragédie ont un caractère

maraud voudrait me payer mes cent écus sans bourse délier. Note du professeur : avant de rédiger son commentaire, revenir aux différents types de procédés comiques (lire ci-dessous). LES DIFFERENTES FORMES DU COMIQUE Le rire dans la comédie théâtrale est un moyen de toucher les destinataires, c'est-à-dire les auditeurs, les spectateurs. Ce qui est ridicule est tout près du rire. Lorsque le rire est déclenché, par la volonté du dramaturge, mais aussi grâce au talent des acteurs, il devient

Une fable est un court récit en vers ou occasionnellement en prose qui vise à donner de façon plaisante une leçon de vie. Elle se caractérise par la mise en scène d'animaux qui parlent, à moins que ceux-ci cèdent la place à des éléments naturels ou à des personnages types. La moralité, exprimée à la fin ou au début de la fable, est parfois implicite, le lecteur devant la dégager par lui-même. Pour Phèdre, le grand fabuliste latin, « Le mérite de la fable est double: elle suscite le rire et donne

sur une comédie de Molière qui accuse « son auteur d'avoir fait l'école du libertinage », c'est à dire à la fois un libertinage philosophique et un libertinage de mœurs. De fait, au début de la pièce, Dom Juan n'existe d'abord que dans la bouche de son valet, Sganarelle, qui le décrit comme « plus grand scélérat qu'on est jamais connu ».Or voici qu'apparait Dom Juan à la Scène 2qui confirme lui-même son libertinage.* Quelles valeurs conserve ce libertinage lorsqu'il est inséré dans une comédie ? Nous

LE THEATRE On purge bébé, Georges Feydeau _Acte I, scène 1 _ Livre p.222 * En quoi ce début de pièce est-il comique et satirique ? Cet extrait est la scène d’exposition d’un Vaudeville de Feydeau mettant en scène la bourgeoisie, avec histoires légères et personnages caricaturaux. I/ Une scène comique * Construite sur un jeu de mots : Hébrides _ Objet d’une conversation ridicule. Follavoine se trompe sur l’orthographe du mot. Le spectateur ne l’apprend qu’à la fin de la scène (l.60)

se présente chez le seigneur Don Juan dans l’espoir de recouvrer les sommes qui lui sont dues. Don Juan, qui n’est guère disposé à régler ses dettes, s’amuse du petit bourgeois présomptueux et le paye finalement, à sa façon. •Cette scène de pure comédie nous permet de découvrir une fois encore les talents de séducteur de DJ mais aussi de retrouver chez celui-ci son goût de la transgression. I) Comment fonctionne l’humour dans cette scène 1) Une scène dont l’humour se fonde sur le rythme : •Rapidité

Introduction : Jean-Baptiste Poquelin, né en 1622 et mort en 1673, est issu d’une famille bourgeoise. Il débute sa carrière théâtrale avec des débuts très difficiles en compagnie de sa troupe de l’Illustre Théâtre. Mais pendant une tournée qui dure treize ans, il se nomme Molière. Au XVIIème siècle, la troupe est devenue la plus prestigieuse. Il écrit L’Ecole des Femmes, lors d’une des plus grandes folies de sa vie. Arnolphe, le personnage principal, a acheté une très jeune paysanne, Agnès, pour

poétique, mais aussi la plus radicale, par Lucrèce, qu'il aurait alors traduit et dont il reprendra quelques vers dans Le Misanthrope7. À sa sortie du collège, selon un contemporain bien renseigné, Le Boulanger de Chalussay, qui publie en 1670 une comédie satirique contre Molière, « en quarante (en 1640 Molière a dix-huit ans), ou fort peu de temps auparavant,/ Il sortit du collège, âne comme devant ;/ Mais son père ayant su que, moyennant finance,/ Dans Orléans un âne obtenait sa licence,/ Il l’endoctora

publication de votre œuvre ‘Maximes et Réflexions sur la Comédie’, moi, élève ordinaire du Lycée Descartes à Rabat, je me permets de vous écrire au sujet d’un extrait du Chapitre XII, lu en classe, dont je ne peux approuver les idées qui m’ont poussé à exprimer quelques de mes propres réflexions. En premier lieu je pense que ‘le trouble, la commotion de l’esprit’ provoqués selon vous par ce genre de spectacle, sont à relativiser. En regardant une comédie, le spectateur est plutôt éloigné de la réalité que

tout moulu, et les épaules me font un mal épouvantable. »et que Géronte finit par le croire même s’il est bien persuadé d’avoir reçu des coups : « Comment !C’est sur les miennes qu’il a frappé ! ». c) Comédie reliée à la farce. Les différentes formes de comiques utilisées rapprochent cette comédie d’une farce car ses objectifs sont de faire rire lecteur ou le spectateur . 3) L’échange des rôles serviteur-maître Les différentes procédés de vraisemblance et de comique de ce passage permettent