Aliénation

de tâches et rémunération: l’ouvrier est agent économique Les conséquences • L ’homme n ’est pas uniquement un agent économique mais s ’inscrit dans une dimension sociale • La séparation entre la planification et l ’exécution ont contribué à l ’aliénation et la monotonie au travail • Loyauté faible du groupe/ attitudes négatives envers les cadres • Buts minimaux individuels / absence d ’initiatives / absentéisme • Difficulté à long terme • Valorisation des connaissances et des expériences acquises

autant de soutient que la moralité. » comme le dit Freud dans L’avenir d’une illusion. La religion est aussi une aliénation de la conscience car l’homme refuse de se considérer comme son créateur en se disant créature de Dieu. La conscience de l’homme est fausse dans la religion, elle est inversée. L’Homme se subordonne à une entité qu’il a lui-même créé, d’où une aliénation de celui-ci. Feuerbach disait : «  La philosophie doit permettre de désaliéner la conscience. L’homme doit se reconnaitre

considère que la raison conseille une vie de la pensée, alors le fait qu’une majorité de personnes mènent une vie pratique révèle le fait que ces personnes n’en ont pas eu le choix, ou alors mais cela semble peu probable, car cela impliquerai une aliénation totale de l’espèce, ces personnes sont délibérément allé à l’encontre de leur raison. Lorsque que l’on parle de raison, il faut distinguer la raison pure de la raison impure. La raison pure met de côté l’expérience, on peut l’assimiler à la logique

dans les rapports de production et dans les relations de pouvoir, de telle façon qu’ils ne perçoivent pas l’influence des déterminismes sociaux sur leurs destinées individuelles. Dans ce cas l’identité imposée équivaut à une aliénation Quand il y a identité et non plus aliénation cela suppose une prise de conscience des contradictions. En effet la conscience active de l’identité se fait à partir des conflits qui sont le propre de société dotée d’historicité. Pour qu’un individu devienne un acteur il

L’athéisme : Il nie radicalement l’existence de Dieu. Ils admettent la possibilité d’une réalité sans cause, pourquoi ne pas admettre que cette réalité sans cause extérieur c’est l’univers même ? Critiques de la religion La religion est une aliénation Marx a été tenté par la théorie des Lumières dites « théorie de l’imposture », formulée par Voltaire « Qui fut l’inventeur de la religion ? Ce fut le premier fripon qui rencontra un imbécile ». On faisait de la religion l’invention du prêtre. Marx

forme d’association où chacun est protégé par la société mais il faut également que l’individu se sente aussi libre qu’avant son entrée dans la société. • Le contrat social est un double contrat :  chacun s’engage à faire partie de la société (aliénation volontaire ; engagement envers soi-même) ;  chacun s’engage envers le tout formé par l’ensemble des associés (volonté générale) et chacun se place sous l’autorité de cette même volonté générale. Le Peuple est l’unité des individus associés par

liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) D. L’aliénation 1. L’inconscient (Freud) 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 6. Critique de la théorie de l’aliénation III. Liberté et déterminisme A. Liberté et déterminisme s’opposent 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 2. La liberté comme initiation d’une chaîne

Feuerbach « Théorie du Soupçon » ∟ Réduction anthropologique de D = il est le fruit de l’immanence Humaine et ne renvoi à aucune transcendance ▪Marx : ''religion = fruit du déterminisme (aliénation, privation de liberté) ''id. de D = consolation illusoire, fictive, dicté par intérêt) ''aliénation éco = résulte de la lutte des classes au XIXème Chez les prolétaires : '' « C’est l’opium du peuple » = drogue, calmant qui console la misère ouvrière, victime du K Chez les Kiste : '' fct

comme fondement de l’autonomie morale du sujet. 2) La tyrannie des désirs et de la passion Nul individu ne peut être dit libre s’il est incapable de se dire non parfois, s’il cède à chacun de ses penchants. La passion (peut être entendue comme aliénation, servitude)est l’exacerbation d’un sentiment qui polariser toute la vie affective autour d’un seul objet unique ; ce qui pose le problème de la dévalorisation de tout ce qui n’est pas l’objet de la passion. Lamartine, « Un seul être vous manque

de la société de consommation occidentale qui est mise en avant, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est présenté comme une aliénation et un avilissement. La consommation de masse, qui se traduit par l’achat par tout le monde des mêmes choses au même endroit (et souvent au même moment : fin d’après-midi, week-end), nous prive de notre liberté (alors même que nous croyons nous émanciper