Aliénation Les Belles Soeurs

général ? Etant donné sa particularité, l’histoire des femmes s’est vue contrainte de défendre continuellement ses acquis et d’en souligner l’intérêt pour l’histoire générale, c’est-à-dire à justifier en permanence son existence. Mais elle a bel et bien contribué à l’histoire instituée. Du point de vue des sources tout d’abord, puisque étant donné l’absence des femmes dans les sources traditionnelles, les historiennes ont montré les limites des sources écrites. Elles ont prouvé que la source

que Dieu ne pourrait faire surgir tant de force de tant de fatigue… » (C.E. I, 7, p.42) 103 . Dans ses Notes de théâtre 104 , Montherlant cite Sainte-Beuve qui a ainsi défini la sœur Angélique : « Une âme forte, triste, tendre, capable de toutes les belles agonies, une âme grande aussi dans son ordre et admirable», et ailleurs : « une âme malade». Dès son entrée en scène, ce personnage donne l’image d’une âme forte : « …Nous ne redoutons pas la persécution, nous l’espérons et l’attendons. Et, selon

vers le lieu de réunion leur chaise à dossier sur l’épaule et s’installent en cercle à l’abri des arbres qui ombragent la place (84). Les jeunes gens CgbajZê, jeunes hommes et talus, jeunes fties) et les femmes - à l’exception de quelques vieilles, sœurs aînées,du chef et des notables qui apportent leurs propres chaises (85) - se rangent en cercle autour des vieux ou s’assoient sur le «banc des jeunes gens» (86). C’est aussi le lieu ou l’on juge les palabres qui dépassent le privé de la cour. Dans

Hassan Alhabbal Histoire d’Ali Baba et de quarante voleurs exterminés par une esclave Histoire d’Ali Cogia, marchand de Bagdad Histoire du Cheval enchanté Histoire du prince Ahmed et de la fée Pari-Banou Histoire des deux sœurs jalouses de leur cadette Fin du troisième Tome Histoire du dormeur éveillé (Suite) Retour à la Table des Matières Abou Hassan, encore tout plein de sa fureur, regarda celui qui lui parlait sans lui rien répondre ; et, en

Nouman Histoire de Cogia Hassan Alhabbal Histoire d’Ali Baba et de quarante voleurs exterminés par une esclave Histoire d’Ali Cogia, marchand de Bagdad Histoire du Cheval enchanté Histoire du prince Ahmed et de la fée Pari-Banou Histoire des deux sœurs jalouses de leur cadette Fin du troisième Tome Les Mille et une Nuits, traduction de Galland – Tome III 4 Histoire du dormeur éveillé (Suite) Retour à la Table des Matières Abou Hassan, encore tout plein de sa fureur, regarda celui qui lui parlait

fous, ou des inspirés ; par hasard. Il n’y a que vous autres qui vous entendiez. Oui, monsieur le philosophe. Je m’entends ; et je m’entends ainsi que vous vous entendez. MOI. – Voyons ; eh bien, pourquoi pour lui ? LUI. – C’est que toutes ces belles choses-là qu’il a faites ne lui ont pas rendu vingt mille francs ; et que s’il eût été un bon marchand en soie de la rue Saint-Denis ou Saint-Honoré, un bon épicier en gros, un apothicaire bien achalandé, il eût amassé une fortune immense, et qu’en

bibliothèque aussi importante que celle de la maison familiale n’étant pas courante au XIXe siècle et dans le milieu qui était le sien, et ce doux rêveur avait même des velléités d’écrivain. Sidonie Gabrielle, qu'on nommait «Gabri», que son père appelait «Bel-Gazou» (ce qui signifie «beau langage» en provençal), que sa mère surnommait «Minet-Chéri», était la dernière de quatre enfants : d'un premier mariage, sa mère avait eu une fille, Juliette, «ma sœur aux longs cheveux», née en 1860, et un fils, Achille

Modèle de communication humaine (ou d'absence de communication!), la pièce de Loranger met en présence ÉTUDES LITTÉRAIRES-AVRIL 1981 166 francophones et anglophones, conseillers municipaux et contribuables impuissants, jeunes et adultes. Aliénation des uns, superbe conquérante des autres, la dure réalité est progressivement dévoilée au gré des échanges tantôt vindicatifs, tantôt rageurs, des personnages-acteurs. Fait encore plus significatif, l'échange d'information entre ces derniers donne

Apollinaire (préfet de Rome et évêque d'Auvergne) prononce ceci " de nos jours, bien peu de personnes s'adonnent à la culture des Lettres. Et sur ce nombre, bien peu avec éclat". Grégoire de Tours fait exactement ce constat : " de la décadence du culte des belles Lettres." ON a oublié la beauté de la culture grecque et latine. Il note également une grande différence qui existe entre les Gaulles du Sud et du Nord, du Regnum francorum qui est nettement plus cultivée que la Gaulle du nord, qui reste pêtrie de

associée à cette bien légitime proposition.» (Siegfried Kracauer, Les Employés, 1930) La perte du sens métaphysique ne se distingue pas, dans la Jeune-Fille, de la «perte du sensible» (Gehlen), en quoi se vérifie l’extrême modernité de son aliénation. La Jeune-Fille se meut dans l’oubli de l’Être, non moins que dans celui de l’événement. Toute l’incompressible agitation de la Jeune-Fille est, à l’image de cette société en chacun de ses points, gouvernée par le défi caché de rendre effective