Alliance de la gauche démocratique

Russie et de la présenter comme une défense légitime des intérêts nationaux. 3. L’opinion publique française à la veille de la première guerre mondiale En France, les journaux étudiés ont relevé une polarisation de l’opinion publique autour d’une gauche pacifiste et d’une droite nationaliste. Contrairement à l’Allemagne, la société civile française se rassembla pour défendre leur nation contre une agression et non pas pour satisfaire à des aspirations impérialistes.  « L’union sacrée » par laquelle

l'antipluralisme, le militarisme, l'antiaméricanisme, le pessimisme, le populisme culturel, la xénophobie, l'anti-immigration, le fascisme, ou encore l'ultranationalisme. Doit-on, en plus de ces critères, prendre en considération le traditionnel axe gauche-droite? Certains spécialistes ont tenté d’élaborer une classification des partis d’extrême-droite, opposant le fascisme (en tant qu’extrême-droite « traditionnelle ») à une nouvelle extrêmedroite post-industrielle (Pero IGNAZI). H. KITSCHELT, lui

légal était encore plus manifeste. L’ordre politique, économique et social qui avait été adopté à la fin des années 40 et au début des années 50 reposait sur un large consensus concernant l’État-providence libéral-démocratique, qu’aucune force politique significative - de droite comme de gauche - n’osait remettre en question. Cela valait au moins pour trois éléments clefs des accords constitutionnels d’après-guerre, qui furent adoptés, justifiés et défendus en fonction de leur contribution à la croissance

Autonomie : situation d’une colonie qui s’administre elle-même tout en restant sous la souveraineté de la métropole. (5) 7 Bipolarisation : la configuration du paysage politique qui favorise l’opposition entre un bloc des droites et un bloc des gauches au détriment du centre. (3) 8 Bipolarisation : Division du monde en deux blocs, chacun dirigé par un pôle ou une grande puissance (Etats-Unis et URSS durant la guerre froide). (6) 8. Bloc : l’ensemble de pays constituant un camp structuré

d'une république démocratique qui s'inscrit dans une logique de rupture avec la monarchie, régime antérieur. Cet abandon de la conception autoritaire explique ainsi le choix par l'assemblée constituante italienne d'un régime parlementaire, traduction de la crainte du peuple d'un exécutif fort. Naquit alors le régime politique italien qui court encore aujourd'hui. La Constitution du 27 décembre 1947 consacre, avec le principe de suprématie du Parlement, l'importance du rôle démocratique des partis comme

Dubosc. Source : manuel Hachette 3ème, p. 73, 2007.  1 QUESTIONS (8 points) 1. Document 1 : 1 a) Qu’est-ce qu’une ligue ? (1 point) 1 b) Pourquoi cette journée du 6 février 1934 à Paris a-t-elle été un moment historique important pour la gauche en France ? (1 point) 2. Document 2 : Quelles sont les trois forces politiques qui composent le Front populaire dirigé par Léon Blum en 1936 ? (1 point) 3. Document 3 : Quelles sont les quatre mesures du Front populaire dont parle cet ouvrier ? (2

décisives pour cette influence: ces relations sont liées à la présence des partis membres dans les différentes institutions communautaires (p. ex. PSE au Conseil européen) facteurs propres aux institutions européennes, comme p. ex. la logique duale au PE (gauche – droite) évolution des fédérations: déterminée aussi par l'élargissement aux pays d'Europe centrale ou par le financement public possible des fédérations   PREMIERE PARTIE : APPROCHES THEORIQUES ET CONTROVERSES Chapitre 1 : vers une théorie

LA MONARCHIE, ACTEUR CENTRAL DU SYSTÈME POLITIQUE Réussir la transition démocratique au Maroc L’ALTERNANCE politique est une réalité au Maroc. Après plus de trente ans de régime conservateur caractérisé par de fréquentes et féroces répressions contre les forces progressistes, le gouvernement de coalition que préside M. Abderrahman Youssoufi, chef de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), marque une importante rupture. Même si sa marge de manoeuvre paraît étroite (plusieurs ministères

certaines idéologies politiques tendent à associer le fascisme avec leurs ennemis, ou le définissent comme étant l'opposé de leurs propres visions politiques. En son sens large, le fascisme se définit comme une réaction aux valeurs de l'humanisme démocratique du Siècle des Lumières. Issu des frustrations engendrées par ce nouveau modèle de société, le fascisme rejette les droits de l'homme, le communisme, l'anarchisme, les libertés individuelles et le libéralisme. Mussolini, dans La Doctrine politique

formation politique marginale, non seulement ce candidat ne sera pas élu, mais, qu'en outre, la voix ainsi exprimée sera perdue puisqu'elle fera défaut à une formation politique plus importante se situant dans la mouvance générale de droite ou de gauche qui a les faveurs de l'électeur. Sont ainsi favorisées les grandes formations politiques qui, puisqu'elles ont des chances d'avoir des élus, recueillent les votes utiles. Cependant lorsque les grandes formations politiques sont déconsidérées parce