Alliance nationale

sottement " séduire " par un hypocrite. Rien n'y fait. Orgon fait part à Marianne, sa fille, de son projet de la marier à Tartuffe. Incrédule, celle-ci ne trouve rien à dire. Dorine, quant à elle, intervient et confronte Orgon avec l'idée de cette alliance insensée. Ne pouvant la faire taire, Orgon se met en colère. Dorine réprimandera sa jeune maîtresse qui a manqué de fermeté face à son père. S'il est vrai qu'elle aime Valère, il faut qu'elle s'affirme et qu'elle tienne tête à son père. Profondément

Mise en situation : Phase terminale Analyse la situation: -La femme de mon frère, Julie, est hospitalisée et je viens de découvrir qu’elle a un cancer du poumon mais son mari (mon frère) n’est pas au courant. -Elle ne veut pas que je lui dise, ni à lui, ni à ses filles. -Dilemme : Si jamais je ne le dit pas à mon frère et que sa femme meurt à la suite de son cancer et qu’il apprend que j’étais au courant depuis le début, il m’en voudra. Par contre, en ne lui disant pas, il n’aurait pas pu

rois actes, vingt-trois scènes Acte I : George Dandin regrette d’avoir épousé Angélique et de sans cesse subir le mépris de cette dernière et de ses parents. Surprenant Lubin sortir de chez lui, il l’interroge et apprend, sans dévoiler son identité, que sa femme entretient une correspondance avec Clitandre, et que Lubin courtise Claudine. Accablé, il se plaint auprès de ses beaux-parents, lesquels fustigent d’entrée son habituel manque de savoir-vivre et sa basse condition. Une fois informés

TD N°1 : Droit de la famille Les liens familiaux : Question 1 : 1 : Lien de parenté/collatérale : cousin germain au 4e degré. 2 : Lien de parenté/collatérale : grand-tante au 4e degré. 3 : Lien de parenté/collatérale : cousins au 5e degré. 4 : Lien de parenté/directe : mère (1er degré) Question 2 : Lien de parenté/ligne collatérale : cousines issues de germains au 6e degré. Question 3 : Marion à Gaston : lien de parenté/collatérale : Gaston = grand-oncle 4e degré/Marion petite-nièce

Phèdre (Jean Racine) I. Résumé Phèdre, de Racine, raconte l’histoire d’une famille déchirée par des amours impossibles. Ainsi, Hyppolyte, fils de Thésée, désire quitter Trézène pour fuir son amour Aricie qui fait parti d’un clan ennemi de Thésée, et qui l’aime en retour. Phèdre, femme de Thésée, aime son beau-fils Hyppolyte, apprend que son mari est mort et déclare alors son amour à Hyppolyte. Mais Thésée qui n’est pas mort, arrive en ville et apprend par Oenone, la servante de Phèdre qui

Examinons tout d’abord le thème dominant de cette scène : les rangs sociaux. Tout au long de la scène, M. Jourdain évoque qu’il ne veut rien d’autre qu’un gentilhomme comme gendre, ce qui est totalement à l’encontre des idées de la famille à l’époque, vu que lui-même, ne fait pas partie de cette classe grandement surestimer. Dans la scène, Nicole, la femme de ménage de la famille Jourdain, insiste sur le fait que le rang social d’une personne ne veut pas forcément dire intelligent : « le fils du

19 / Janvier / 2012 TRITRE PRELIMINAIRE : introduction au droit de la famille Section 1 : Notion de famille §1 : Définition : La famille est un phénomène universel > c'est une unité, une eantité que l'on retrouve dans ttes les sociétés malgré des formes différentes selon les civilisations, les époques, les pays... > On a une pluralité de modèles familiaux Pas de def de la famille dans le code civil. Famille : groupe de personnes unies entre elles par des liens qui peuvent être

Lycéens et apprentis au cinéma « Les mains »   un film de Christophe Loizillon Photographie de Caroline Champetier Genre: Art et Essai Choix du film Le film est riche en contenu et en thématiques. Le thème centrale propose une manière différente de présenter un personnage. Le réalisateur invite le spectateur à s'attarder sur les gestes inconscients que l'on peut réaliser quand on s'exprime, ou bien les gestes que l'on réalise consciemment pour renforcer l'oralité. Ainsi nous pourrions

Il était une fois une veuve qui avait deux filles : l'aînée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage, que, qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses, qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et, en même temps avait une aversion

FICHE PEDAGOGIQUE NIVEAU : Debutant Activitè : Le temps imparfait Date : 15/01/2013 Objet d’une séance : A la fin d’une séance l’elève doit être capable d’utiliser l’imparfait correctement. Lisez le texte suivant attentivement et répondez aux questions ci-dessous après le texte ; Il était une fois une veuve qui avait deux filles : l'aînée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage, que, qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses, qu'on