Alliterations

Elles peuvent être plates (aabb), croisées (abab), embrassées (abba). Les allitérations et les assonances, l’homophonie interne Les rimes peuvent créer des effets sonores à l’intérieur d’un même vers. L’allitération correspond au retour d’une même consonne ; l’assonance au retour d’une même voyelle. Par exemple, dans "Voici venir les temps où vibrant sur sa tige" (Baudelaire), on trouve dans ce vers une allitération en [v] et une assonance en [ã]. 4/ Le rythme des vers La combinaison de

Les figures de styles FIGURE DE STYLE | DEFINITION | EXEMPLE | ALLEGORIE | Personnification d'une idée abstraite | - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! | ALLITERATION | Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots | Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :Cassandre sous sonCapuce | ANAPHORE | Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers | - Partout l’image idée, partout

homme " ; " bon apôtre " ( = disciple de Jésus - Christ ) qui contraste avec son acte de violence Jean de la Fontaine utilise également des allitérations : - Une allitération en "r" vers 34 " fourré, gros et gras " qui donne l'impression que le chat ronronne pour mieux duper le lecteur , car l'on ne se méfie pas d'un chat ronronnant . - Une allitération en " k" vers 45 " d'accord en croquant " qui renvoit à la violence de l'acte du chat . On peut penser que c'est le son du craquement des os du

lumière). 2ème S : lumières indirectes + tamisées (reflets par des miroirs ou par des meubles). Le vers 38 = flamboiements du soleil couchant => 2 couleurs : « hyacinthe et d’or ». Pour montrer ces riches matières, ce vers joue avec les sonorités : allitération en (d) et en (t), 2 dentales. + diérèse (d’hy-acinthe) allonge ce mot rare = mettre en relief * Le pluriel « ciels » (v9) = terme technique de peinture. * Ce tableau s’inspire de la peinture hollandaise + flammande + orientaliste :

Allégorie : présentation d’une idée abstraite sous une forme concrète. Exemple : Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant, noir squelette laissant passer le crépuscule. (allégorie de la mort) Allitération : répétition d’un même son consonantique (son de consonnes). Consonnes gutturales en [ke] et [gue] : képi, guitare, bague, bec, claque, quille. Consonnes labiales (se prononcent avec les lèvres) : pomme, bonne. Consonnes liquides en [l] : vole

Quant aux allitérations, on remarque que dans certains passages, les allitérations sont dures : (k) v24 ; (g) v40 ; (t) v28 ; (d) v3 et dans d’autres passages, plus douces (v) v18 ; (s) v47.

contes, ainsi que l'imparfait -rythme binaire et harmonieux: 6/6 dans le parallélisme de construction.  Cf les 2 relatives. -allitération en [s] + écho de rimes « bien / festin » b) marquée par la rupture - « un jour » + le passé composé, qui marque l'accompli par rapport au présent--> répercussions ici et maintenant. -rythme bcp plus court, hâché: 2/6/4 -allitération en [r], absence de rimes, mais présence d'un vers blanc « Je me suis armé contre la justice » (décasyllabe) --> révolte! c)

des Alexandrins et allongé par l’obligation des enjambements et des rejets. Le rythme binaire classique des Alexandrins est accéléré pour devenir Ternaire (V.11) et devient même irrégulier car ternaire cassé dans le dernier tercé (V.13). * Allitérations = retour d’un même son consonantique. Ici [l], [r], [p], [b] = 1er quatrain. * Assonance(s) = Retour d’un même son vocalique. Ici [a], [i], [o] = 1er quatrain. Texte B : En vers libres : « Prose de Transsibérien et de la petite Jeanne »

l'acte V on apprend la mort de Oenone, on l'apprend par Panope, la mort de Hippolyte nous est apprise par Théramène et la mort de Phèdre qui nous est apprise par Panope. L'écriture de cette pièce relève de la poésie car il y a des alexandrins, des allitérations et la création d'images poétiques. Cette poésie est une tragédie classique (tragédie vient de tragos qui signifie bouc>un bouc émissaire). Une tragédie provoque deux sentiments primordiaux chez le spectateur : la terreur et la pitié. Aristote

consommation sans frein des victuailles du jardinier. La dernière péripétie (lâchasse au lièvre) nous montre la course poursuite du lièvre dans le potager. La préparation est toute militaire (v.41). Les trompes et les cors font un tel tintamarre. Allitération (T). Le mouvement rapide et violent de la troupe qui chasse le lièvre est évoqué au vers 48. Face à cette expédition militaire le jardinier est impuissant. Il en est réduit à une résignation fataliste. Elle apparait au vers 53. Le dénouement repose