Alliterations

Traditionnelle : régularité. o Alternance des rimes féminines et masculines respectée. o Poème composé de quatre quatrains en alexandrins. o Les rimes sont croisées. • Sonorités o 1re strophe : double allitération ([s], [z] × 11 → harmonie imitative). o 2e strophe : double allitération ([s], [z] × 8). • Rythme : maladresse de la démarche de l’albatros (3e strophe). o v. 1 : 6+6. o v. 2 : 1+5+6. o v. 3 : 6+6. o v. 4 : 3+3+6. Progression thématique • 1re strophe : mise en situation,

_perception réel/hallucination _effet de surprise dans la structure => semble mimer l'expérience du buveur//verre => refus de l'ivresse _image du tremblement (v.1/v.10) => ébriété/effroi => l'ivresse se communique (v.9) • assonance en « i » + allitération « t » • rythme (v.9) 2/4/6 cadence majeur réel => fantastique 2. Mythologie germanique _le personnage du batelier + figures fantastiques des « ondines » au nombre magique de 7. //_la sirène maléfique & mélancolique « la Loreley » qui

énumérations, répétitions, anaphores, parallélismes, hyperboles, antithèses, ironie… * le ou les registres : pathétique, tragique, lyrique, polémique, satirique, comique, épique, fantastique, réaliste les effets sonores : allitérations, assonances les références culturelles dans les textes narratifs * le statut du narrateur * la focalisation employée * la description (éléments, ordre, utilité …les mouvements, ordre/désordre, les 5 éléments, les 5 sens, verticalité/horizontalité…)

Figures de styles : Allégorie : Personnification d’une idée abstraite par une image, un tableau, souvent par un être vivant. EX : « Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! » Allitération : Répétition d’une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots. EX : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Anaphore : Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers. EX : « Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits »

fantasques, chantant ») qui introduit un rythme alerte et imite le pas des danseurs. Cette assonance de sons nasalisés s'accompagne du son « on », vers 2 : toutes ces sonorités sont plutôt tristes et mélancoliques. On note donc de très nombreuses allitérations et assonances qui donnent au poème toute sa musicalité. Ainsi, on notera l'effet d'écho intérieur au vers 2 (rimes très riches) : « masques et bergamasques » qui accentue l'impression de mouvement dansant (effet d'enchaînement redoublé au vers

sonorités Le jeu des sonorités peut renforcer le sens et l'expressivité d'un poème (harmonie imitative) ou lui conférer rythme et musicalité (allitération, assonance). Une harmonie imitative fameuse : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes... » (Andromaque – Racine). Ici, l'allitération du son « s » imite le sifflement du serpent. Allitération : répétition des consonnes dans une série de mots « Faut-il qu'elle nous ressasse ses soucis sans cesse » Assonance : répétition d'un même

« clartés »/ « obstruées »). * Allitérations (en « p » v.5, en « f » v.6-7, en « m » v.8). III- Le destin tragique de l’homme a) L’évocation de la vieillesse et de la mort * Dernière strophe offre une image traditionnelle de la posture voûtée du vieillard (v.13) -> impression d’écrasement avec * Participe présent « courbant ». * Préposition « sous » (différente de « sur » dans les autres strophes). * Adjectif « bas ». * Allitération en « l ». * Ecrasement progressif

brise »v.5 -> gradation croissante, les termes sont de plus en plus violents. La violence du conflit est croissante. ->dénonce l’horreur de la guerre.  Métaphore v.14, champs=mère  Allitération : répétition de consonnes. V.15-16 en [r]->son dur  Assonance en [ou] v.17-18-> accentue la violence  Allitération en [d] v.8->violence de détruire l’autre. II) L’engagement du poète en faveur de la cause. A) La mise en scène d’une famille : une stratégie argumentative  Champ lexical de la

cascade) «v 3 sur le 4 Les bruits participent de cette animation de la nature. Elle est bruyante (notations auditives) : elle chante au v1 + impression auditive renchérie par l'allitération en [R] du v 1 « trou de verdure ... rivière « : cette allitération suggère la vivacité. La nature est foisonnante (trou de verdure) alors que le portrait du soldat se rapproche paradoxalement d'une nature morte. Il apparaît donc au fil du sonnet que les contrastes se multiplient entre la nature et l'être humain

Puis, nous pouvons souligner que le document C est un poème en prose car nous pouvons relever une mise en paragraphe, pas de rimes ni de vers, des anaphores « J’aitant rêvé de toi » (txt C v.1 ,4 ,9 ,13), des allitérations « J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité » (txt C v. 1) (allitération en [t]) ou des assonances (en [é] v.1) qui sont également desprocédés du lyrisme. Enfin, nous allons justement étudier les procédés du lyrisme dans les différents poèmes du corpus pour prouver qu’ils font