Alphabet

six points maximum, répartis en deux colonnes de trois points, ce qui le rendait instantanément palpable dans sa globalité par la pulpe de l'index. Les 63 combinaisons qui se déclinaient à partir des six points de base permettaient la création d'un alphabet complet, des lettres accentuées, des ponctuations et des chiffres. Il en découlera aussi une notation musicale, une notation mathématique, des systèmes d'abrégé et de sténographie; le système fit également preuve d'une capacité remarquable d'adaptation

mise en page 4.3.1 Dimension de l'écriture 4.3.2 Direction de l'écriture 4.3.3 Forme de l'écriture 4.3.4 « Continuité » de l'écriture 4.3.5 Pression de l'écriture 4.3.6 Vitesse de l'écriture 5 Références 6 Voir aussi 7 Liens externes Alphabet Syllabaire Alphasyllabaire Idéogramme Logogramme Pictogramme Cunéiforme Abjad Braille Sténographie Domaines : Typographie Orthographe Graphologie Graphématique Étymologie Le mot graphologie a été créé par un prêtre français, Jean

Phéniciens utilisent un alphabet comportant 22 lettres, qu’ils ont transmis à plusieurs pays méditerranéens. L'écriture phénicienne Stèle phénicienne ™ 500 ans avant J-C, les Grecs adaptent l’alphabet phénicien et y ajoutent quelques lettres : A, E, I et O, qui sont les premières voyelles. Version grecque de l'Almageste de Ptolemée Parchemin, IXe siècle. ™ 1er siècle après J-C : les Romains adaptent l’alphabet grec et créent le leur avec 23 lettres. Ils gravaient cet alphabet dans la pierre

permettent de nous faire une idée des langues qui étaient parlées dans cet intervalle à l'époque. Ces documents épigraphiques ( inscrits sur un support dur) (6es avant JC_> 4es avant JC) sont nombreux, et dispersés. Ils sont rédigés dans différents alphabets, et sont assez pauvres (courts) . Mais on sait que ces documents ne sont ni en araméen, ni en sud arabique : Inventaire consonantique plus riche que l'araméen :l'araméen ne comporte que 24 consonnes, contre 29 consonnes pour l'alphabet des inscriptions

et chiffra chaque point de 1 à 6. Louis fit une lettre après l’autre. Toutes les lettres de l’alphabet étaient transcrites par six points disposés de différentes façons. C’était tellement simple. Et quand il eut fini, son alphabet apparut. Il passa ses doigts sur son alphabet. Louis Braille, qui avait alors quinze ans, aurait voulu rire, chanter, crier et pleurer. La méthode pouvait être assimilée car facilement sentie. La lecture, depuis cette découverte, n’est plus impossible pour les non-voyants

numérique un symbole graphique (glyphes) 1 A 2 B 3 C 4 D 5 E … 23 24 25 26 … W X Y Z 8 Langage naturel Critères des codes Nom : un code est toujours nommé Taille : Indication du nombre de bits nécessaires pour coder les symboles Symboles (alphabet latin) : – – – – les 10 chiffres, les 26 lettres de l’alphabet les signes de ponctuation ou des opérateurs les caractères de contrôle Traitement : tri des caractères Langage naturel 9 Codes normalisés (1) ASCII – Norme ISO 646 en 1963,

Propriétés des langages I.5. Définition des langages I.6. Le lemme d’Arden Leila Jemni Ben Ayed Théorie des Langages LFI 2 2009-2010 3 I.1. Vocabulaire et mot Définition 1. Alphabet: Un alphabet (ou vocabulaire) est un ensemble fini, non vide de symboles. On le note généralement X. Définition 2. Fermeture: Soit X, un alphabet. On note par X*, l’ensemble de toutes les séquences finies de symboles de X. Rq le symbole * est une fonction qui, appliquée à un ensemble non vide X, donne un autre symbole

CONCLUSION L’écriture fut révolutionnée avec l’invention de l’alphabet : un signe = un son. Inventé il y a 3 000 ans, l’alphabet phénicien serait l’ancêtre de tous les alphabets du monde. Les Araméens propagèrent les lettres phéniciennes de l’Egypte à l’Indus. Les différentes civilisations reprirent cet alphabet en l’aménageant. Aujourd’hui, l’écriture navigue du papier à l’écran d’ordinateur. Nous inventons certainement une nouvelle forme d’écriture : l’écriture devient numérisée, codée

égyptienne est figurative : les caractères qui la composent représentent en effet des objets divers, naturels ou produits par l'homme , tels que des plantes, des figures de dieux, d'humains et d'animaux.Ce sont les Perses qui ont inventé le premier alphabet de 22 signes représentant les consonnes.Au 9ème siècle, les Grecs transformèrent l'alphabet phénicien en l'adaptant à leur langue. Dans un premier temps, ils affectèrent à certaines consonnes phéniciennes, des valeurs à peu près similaires dans leur

exemple). Si l'on récapitule : K = /ka/ ; Ki = /ki/ ; K* = /k/ (donc, pour écrire /kma/, il faut passer par K*M) ; İK = /ika/ ; İK* = /ik/ ; İKi = /iki/, etc. Au final, il faut quatre signes différents (K, i, * et İ) là où, dans un alphabet, trois sont nécessaires (k, a et i). Parfois, le découpage des caractères ne correspond pas au découpage syllabique français. Par exemple, quand r précède une autre consonne d'un groupement de consonnes en devanagari, il est écrit avec les autres