Altérité

cause de chaque acteur de santé pour que la communication permette plus de reconnaissance, d’humanité et « le souci de l’autre ». Car l’autre qui nous fait face, ce peut être aussi nous-mêmes. Mots clés: souffrance, soin, humanité, résistance, altérité Le thème principal est relation de soin, la place de l'humain dans le monde hospitalier en France. La problématique de l’auteur est la déshumanisation des soins à l'hôpital. Les thèses fondamentales abordées sont les valeurs humaines, la considération

concernant sa conduite, douter, délibérer, choisir. Certains hommes sont fascinés par l’insouciante vitalité de l’animalité. Alain au contraire fait l’éloge ici du doute en y voyant non une faiblesse humaine, un déficit par rapport à l’animalité mais une altérité méritant considération car elle fait du sujet conscient un être plus profond et plus complexe. DISCUSSION Alain laisse entendre que la passion serait une défaite de la conscience, que les hommes entretiennent leur passion ou y cède, bref,

sont des étapes dans le cheminement d’Ulysse semé d’épreuves - Odyssée = cheminement des étapes de la vies - Calypso= ventre de la mère -> Ulysse résiste aux tentations - L’espace permet à Ulysse de passer de choses familières à une altérité totale.

(=l’autre différent) par lesquelles se manifestent la diversité des cultures et grâce auxquelles se forment les identités. * En même temps, la mondialisation tend à devenir pour tous les hommes l’unique générateur d’une altérité absolument inédite, celle d’une altérité à soi. * D’autres formes de reconfiguration de la différence se jouent grâce aux « nouveaux » moyens de communication qui permettent à des groupes virtuels de militants, de collectionneurs, de sportifs,… de se brancher les

voisines ( sociologie, ethnologie, linguistique, philosophie, histoire, psychiatrie, anthropologie, médecine ) pour dégager les fondements d'une démarche non dogmatique. Elle oeuvre à une redéfinition des interfaces : pulsionnel/symbolique, subjectivité/altérité, intériorité/ institution, affects/représentations, en forgeant des instruments conceptuels répondant à cet objectif, et en s'intéressant à ce qui configure le malaise collectif aux symptômes des sujets et des institutions. • Elle se réfère, d'une

hommes dans leur ensemble. Cela signifie que je ne comprends jamais autrui comme étant seulement autre chose que moi, une chose parmi les choses. Dès la perception, je ne vise pas autrui comme je vise une chose inerte, c’est-à-dire comme une pure altérité : autrui est tout à la fois autre que moi et identique à moi. En termes platoniciens, autrui entrelace le même et l’autre. Quel rapport existe-t-il entre moi et autrui ? L’autre, un moi universel Ce souci de définir le semblable en termes

TEMPORALITÉS ÉTUDIANTES : DES MOBILITÉS SANS QUALITÉS Michel Bonnet EMPLOIS DU TEMPS 63 L es analyses de Cornélius Casto- riadis1 caractérisant l’irréversibilité du devenir humain – « identité, altérité, altération » – sont essentielles pour décrire les métamorphoses des significations des temps de la vie quotidienne. – « L’identité » renvoie au temps cyclique, du calen- drier, des saisons ; le moteur en est la réplication d’événe- ments qui sont à la base de l’expérience de la quotidien- neté.

malédiction 2)- Une femme séductrice II)- Entre perversion et destruction 1)- L'imaginaire funeste crée autour de Lilith 2)- L'image d’une femme monstrueuse III)- Une femme de pouvoir 1)- La naissance comme altérité 2)- Lilith, Adam et Ève IV)- La redécouverte du mythe par les auteurs du XIXe siècle 1)- Lilith: une pécheresse? 2)- La « renaissance » de la femme FAUST. Qui est celle-là?

par celles-ci ce qui est désirable pour ne pas perdre cette ouverture, ce débordement, cette altérité. Dire que nous désirons selon l’autre, cela signifie donc d’abord que l’altérité est indispensable à la constitution du désir et ce, dans un double sens. L’autre m’indique par son désir ce qui est désirable mais, je ne l’imite (le désir est mimétique) que parce qu’il est autre que moi et que cette altérité est nécessaire à mon ouverture ! Si personne ne désire une chose, il y a fort peu de chance

les malheurs subis dans cette “vallée de larmes” qu’il lui faut traverser. Il prend une position contre une dépendance, souvent aliénatrice, certes, par rapport à une extériorité oppressive. Ne peut-on envisager une dépendance par rapport à une altérité libératrice ? Dieu est il Père Noël ou Père fouettard ? Ou un Dieu sauveur ? Là est la question. La religion Le point de départ de la critique marxienne est la critique de la religion, qui constitue la « condition de toute critique »