Alternatives économiques

le développement durable sont incompatibles puis étudierons les différents aspects de la croissance qui laisse penser que la croissance pourrait être compatible avec le développement durable voire même l'accompagner. De nos jours la croissance économique non durable est devenue insoutenable , en effet notre consommation et nos modes de vie ne sont plus supportables pour notre planète , de plus nous avons épuisé la plupart de nos ressources. Comme nous pouvons le lire dans le document 6 « l'humanité 

habitant, sur l’axe des ordonnées, augmentent. Par exemple ; les Etats-Unis, dont le PIB est de d’un peu plus de 35 000 dollar par habitants, ont des dépenses de santé moyen s’élevant à environ 4 700 dollar par habitant ; en 2005, selon Alternatives et économique. * Plus le PIB est faible ; plus les dépenses de santé des habitants est de même peu élevé. Par exemple ; la République Slovaque avec un PIB moyen de 4 500 dollar par habitant dépensent à peu près 200 dollar de soins de santé par

comptabiliser en tant que monnaie ? Qui décide de la création de cette monnaie ? Comment contrôler la création et la destruction de monnaie ? Pourquoi les agents économiques souhaitent détenir de la monnaie ? Est-ce que la monnaie est une marchandise comme les autres puisqu’elle est créée et détruite ? Est-ce un phénomène économique particulier avec ses propres lois ? Est-il possible de créer une théorie unique applicable à la monnaie et aux autres marchandises ? La monnaie a-t-elle des spécificités 

croissance économique durant les 30 glorieuses (1950-1973). Un gain de productivité est du à une association plus efficace des facteurs travail et capital, le plus souvent fruit d’une innovation de procédé. Un gain de productivité a pour conséquence directe de réduire le coût unitaire de production. La croissance économique désigne quant à elle l’augmentation de la production totale d’un pays sur le long terme. La productivité est-elle nécessaire à la croissance économique d’un pays

Conséquences économiques du séisme au Japon. Introduction: Le 11 Mars 2011, un terrible séisme a frappé le Japon , troisième puissance économique du monde. Le dernier bilan annonce plus de 27000 morts ou disparus auxquels s’ajoutent 450000 personnes sans abris. Le séisme suivi d'un tsunami devrait avoir un impact économique “considérable” sur l'économie du pays selon le porte-parole du gouvernement. Le cout estimé de la catastrophe est de 235 milliards de dollars(165 milliards d'euros) soit

complètement les notions de base de l’économie classique, au regard des avancées en sciences sociales. Ceci afin de proposer une sorte de paradigme économique alternatif, fondé sur des méthodes rigoureuses d’observation de la réalité sociale et non sur des raisonnements philosophiques plus ou moins abstraits. Ainsi, les conceptions principales de la science économique, par exemple celle d’un individu complètement rationnel, calculant objectivement les avantages et inconvénients du marché pour trouver le meilleur

puissantes », celle d'une résistance populaire à l'exploitation ; celle d'une force voulant maintenir dans l'impuissance cette ferveur réfractaire. Le rôle de la fiscalité - taille, gabelle, surcharge fiscale - apparaîtrait comme signe d'une situation économique très détériorée, en conséquence B. Porchnev analyse les soulèvements populaires au XVIIe siècle dans l'optique du mécontentement de la hiérarchie féodale, et d'un absolutisme au service de la noblesse. Même si celui-ci ne nie pas la présence de

l’essentiel n’est pas là, le PIB ne prend pas en compte toutes les activités non marchandes qui contribuent de manière majeure à notre bien être : les services rendu entre voisins, le bénévolat, et tout le travail domestique…… Louisa toubal :Alternatives économiques n°193 ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………

conséquences humaines, environnementales et économiques des catastrophes liées aux dégradations du climat et aux altérations du cadre de vie sont de plus en plus graves et... financièrement coûteuses. Il y a urgence à changer de modèle et reconsidérer l’économie sous l’angle de l’écologie car nous n’avons plus les moyens de produire et consommer comme nous l’avons fait depuis le 19ème siècle. En détruisant la planète et ses habitants, notre modèle économique archaïque et autodestructeur est incapable

comptes en les trafiquants. Mais il serait trop simple d’en rester là ; Goldman Sachs porte également une part de responsabilité en ayant aidé le gouvernement précédent à cacher l’état de la situation. Sans l’aide de cette banque, la CEE (communauté économique européenne) aurait refusé l’entrée de la Grèce. Ensuite, il faut se demander pourquoi le pays s’est autant endetté. Et là encore, on peut trouver une part de responsabilité dans les marchés financiers qui ont accordé à la Grèce des taux comparables